Un peu de légèreté

[iubito]

l'AS400, ça marche encore bien ces bêtes-là, on en a un au boulot, mais qui est promis à la retraite d'ici 1 an à mon avis.

Tous les trucs inutiles (le trombonne qui souris ou part en faisant de la mob', les dégradés, fondus et autres transitions...) peuvent se désactiver, c'est ce que je fais pour avoir quelque chose de fonctionnel et rapide, et non pas de super "joli".

Le Windows 3... c'est sûr, ça marchait bien, mais il ne faut pas cracher sur le progrès... XP c'est quand même bien mieux pour regarder des vidéos, des images.

Quant à la mule, si on choisis un fichier qui n'a pas beaucoup de sources, et que comme par hasard les sources ne se connectent pas souvent, on peut attendre trèèèèèès longtemps. Et parfois le résultat n'est pas celui escompté... hein léo?

[Latinus]

LOL !

Exact! Faut dire que c'était aussi au temps où les ordi servaient à faire quelque chose. Pas à regarder des films, ou jouer à tuer des vaisseaux spatiaux avec des euh... "lasers"?

D'ailleurs je fais encore mes travaux scientifiques sur mon vieux 486 qui ne va JAMAIS sur l'Internet. C'est la seule façon 100% sûre que je connais de le garder sans virus.

Pour dessiner des circuits électroniques, résoudre des équations et écrire des textes, c'est nettement supérieur à XP! Tout simplement parce que c'est plus simple. Il n'y a pas un trombone qui me fait des clins d'oeil et des sourires quant j'écris un texte mais bon... je ne suis pas solitaire au point de ne pouvoir m'en passer! Ces petits détails, de même que d'avoir des centaines de polices disponibles mais jamais utiles, des textes qui descendent ou montent lentement en beau glissé etc. coûtent énormément de mémoire et de temps de processeur. Et, en ce qui me concerne, ils ne sont pas très visibles dans le produit fini.

Alors voilà, c'était mon coup de gueule de vieux chiâleux pour aujourd'hui

Je savais certains "professionnels" dédaigneux de l'utilisation de l'informatique qu'a ou que pourrait avoir "monsieur Tartempion" mais, bien que déjà accrochés pour diverses choses, je ne m'attendais pas à ce que ce genre de discours hermétique à tout discernement, voire même de justesse, émane de ta part, tout coup de gueule que ce soit.

Soit, je me suis trompé... Et parce qu'il me plaît de te laisser les pieds dedans, je ne répondrai pas en détail à cette perle

[Anuanua]

Pas très sympathique comme commentaire! Tu m'en veux ou quoi?

C'est vrai qu'il y a quelque chose que je n'ai pas mentionné ci-dessus (mais que j'avais mentionné précédemment) qui est que je ne travaille pratiquement plus comme électronicien. J'ai changé de branche et je prépare présentement un doc en sciences humaines. De sorte que le 486, il sert surtout d'archive. Il m'arrive encore de recevoir des requêtes d'anciens clients demandant le schéma de tel bidule que j'avais conçu pour eux au temps des dinosaures (des dinosaures comme le 486 justement) ; alors je transfère l'information du 486 au Dell qui est branché sur le Net et je la leur envoie. Cependant, JAMAIS je ne transfère quoique ce soit du DELL au 486 (sauf, si nécessaire, et par le clavier). Si un virus passait au 486, quel antivirus pourrait nettoyer cette antiquité?

Pour moi, mon 486 est donc un musée, un "storage" des chefs-d'oeuvre(?) du passé.

Cependant je maintiens mon désaccord avec le fait que monsieur Bill Gates nous impose, dans son Windows et sa suite Office, des milliers de fonctions qui consomment une quantité phénoménale de mémoire et de temps de CPU. Ceci permet, je n'en doute pas, de demeurer concurrentiel pour vendre à des clients qui utilisent des capacités phénoménales de puissance de calcul pour animer à toute vitesse de belles images 3-D dans une multitude de jeux vidéo, mais est tout à fait inutile à ceux qui se servent d'un ordi comme outil de travail. À mes yeux, une fonction aussi simple qu'un traitement de texte n'a aucune raison valable d'atteindre ou dépasser 50 mégaoctets et d'avoir des fonctions purement esthétiques à moins que le client ne le désire. Auquel cas je n'ai aucune objection à rendre ces fonctions optionnelles et qui les veut les installe. Mais je ne suis pas d'accord pour les imposer à quelqu'un qui n'en n'a pas besoin.

Ce qui me fait gueuler contre cette pratique est que, ayant travaillé sur des "mainframes", j'y ai développé une mentalité où on essayait d'économiser mémoire et temps d'exécution. Je crois que très peu de personnes ont conscience des possibilités réelles d'un ordinateur programmé selon cette mentalité.

Pour vous en rendre compte, je propose un exercice facile à faire. Premièrement, essayez de calculer un sinus à la main avec 12 chiffres significatifs. Sans calculatrice : avec crayon et papier. Si vous êtes très familier avec les maths et habitué au calcul mental, vous en avez pour au moins une demie-heure! Monsieur et madame Toulmonde (ou Tartempion comme dirait Latinus) en ont pour au moins 3 heures.

Maintenant, ouvrez Excel. Dans la cellule A1 inscrivez 0 (zéro). Dans la cellule A2 inscrivez =A1+E$1. Dans la cellule E1 inscrivez 0.01 Puis revenez à A1 et recopiez vers le bas jusqu'à A1000. (La cellule A1000 contiendra =A999+E$1) Maintenant, dans la cellule B0, inscrivez =SIN(A0). Dans la cellule C0 écrivez =COS(A0). Dans la cellule D0 écrivez =TAN(A0). Maintenant, saisissez B, C et D et recopiez-les vers le bas jusqu'à 1000. Sitôt fait, TOUTES les valeurs apparaissant dans les cellules. Maintenant voici le test : allez à la cellule E1, changez sa valeur puis appuyez sur Enter (ou Entrée) : aussitôt, toutes les valeurs dans les cellules changent. En moins qu'une demie seconde, l'ordi a calculé 999 valeurs interdépendantes (la suite dans la colonne A) et 3000 valeurs trigonométriques. Ceci nous est tellement familier que ça nous en fait oublier la vitesse de ces engins. De plus, je vous rappelle qu'Excel est un langage extrêmement peu efficace, très lent comparé à d'autres dits "de bas niveau". Donc qu'il ralentit considérablement l'ordi.

Maintenant, vous comprenez peut-être que, quand je vois un ordi qui met quatre minutes à devenir opérationnel, 5 secondes à ouvrir une page etc, je demeure avec l'impression qu'il a dû faire des milliards d'opérations non nécessaires. Ces opérations sont, pour les plupart, des tests (l'équivalent de IF, THEN, ELSE) vérifiant si telle option a été sélectionnée ou non, la plupart ne l'ayant pas été (donc, sur 10,000 tests, avoir 9,900 ELSE).

Je regrette donc de continuer à penser que ceux qui se servent d'un ordi comme outil de travail ne devraient pas se faire imposer le temps et l'espace mémoire requis pour faire ce qu'ils n'utilisent pas. Et si vous ne me croyez pas, essayer de proposer à une université d'installer ces bébelles dans son centre de calcul servant à la recherche en sciences...

Et, oui, je demeure 100% daccord pour garder ces bébelles accessibles à ceux qui les désirent. Que ceux-là, et eux seuls, paient le temps et l'espace mémoire qu'ils ont LIBREMENT choisi d'utiliser.

[Latinus]

(un peu de légèreté)

[Anuanua]

un petit passage au CNRS avec l'Univac 1110 très gros celui là

J'ai aussi touché au 1110. Très performant pour son époque. Beau look aussi, très sexy. À propos, il venait souvent avec un accessoire que j'appréciais particulièrement. On peut le voir dans cette illustration entre la console et l'imprimante.

Mais, dans le mainframe, j'ai surtout tripoté un CDC (Control Data Corporation) Cyber 6600. L'image absolument classique du gros mainframe de l'époque.

Au premier plan on voit le lecteur de cartes, la console de l'opérateur (qui était une console de 6400, ce qui ne faisait pas la moindre différence), les icôniques "tape drives" pneumatiques qui ont grandement contribué à la réputation de CDC, à droite ce sont les unités de disques et au fond, au centre de l'image, les armoires en forme de croix, c'est le CPU. Oui : le "Central Processing Unit", ce qui tient aujourd'hui sur une puce... Mon terrain de jeu est à l'extrême gauche de la photo, derrière les "tape drives" : le centre technique.

Les unités de disques n'utilisaient pas la magnétorésistance géante (inconnue à cette époque) mais des têtes lectrices inductives comme celles d'un magnétophone. Douze surfaces de lecture (6 disques empilés sur un axe commun) étaient utilisées parce que le 6600 utilisait des mots de 12 bits. Les 12 bits étaient ainsi lus en parallèle, permettant une lecture bien plus rapide que la lecture sérielle. Il y avait 48 têtes d'écriture/lecture par unité (4 par bras). Chaque unité avait deux banques de 6 disques, totalisant une capacité de 75 mégamots de 12 bits, correspondant à 112.5 mégaoctets. Je sais : ces unités sont énormes quand on les compare à un disque dur moderne de 20 gigaoctets, mais ces derniers ont été rendus possibles après 1988 par la découverte de la magnétorésistance géante par les équipes de Grünberg et Fert, ce qui leur valut le prix Nobel de physique, d'ailleurs. Ce principe permet de réduire considérablement la surface active d'une tête lectrice, diminuant d'autant la taille d'un bit sur le disque.

Bon : le serveur ne veut plus ajouter de pièces attachées : max de trois. Suite au prochain post.

[Beaumont]

Il ne manque plus que les mecs en pyjama beige et on est dans Cosmos 1999...

[Anuanua]

Suite

Les écrans des Cyber avaient une particularité très euh... particulière.

Le console avait deux écrans vectoriels. Je veux dire par ça que l'image n'était pas dessinée par balayage comme sur un écran de télévision (ou les moniteurs actuels) mais que le faisceau électronique se déplaçait de gauche à droite et de haut en bas comme votre main quand vous dessinez ou écrivez. Par exemple pour écrire CDC, le faisceau dessinait un C puis s'éteignait ; il se déplaçait à droite, s'allumait et dessinait un D puis s'éteignait, puis dessinait le deuxième C. Cette technique de traçage est encore utilisée dans les imprimantes à plumes qui font des grands dessins sur papier.

Moi, mon terrain de jeu, là-dedans, c'était ceci :

Les modules du CPU étaient contenus dans les armoires en forme de croix que vous pouvez voir dans mon post précédent. il n'y avait aucun circuit intégré : tout était transistors et résistances (avec quelques condensateurs). C'est d'ailleurs CDC qui, avec Motorola, a développé des modules ECL (Emittor-Coupled-Logic) qui devaient faire monter la performance du Cyber 6600 à 6.8 megaflops (6,8 millions d'opérations à point flottant par seconde) alors que les meilleures performances étaient de 0.48 megaflops (par Honeywell et IBM). C'était un "quantum leap", un saut majeur quoi. C'était rendu possible par l'utilisation d'un contrôleur central (situé au centre de la croix) et de 10 processeurs parallèles dits "esclaves". Ce concept fut "pondu" par le génie de l'informatique Seymour Cray qui devait plus tard fonder sa propre compagnie : "Cray Calculators". Une autre caractéristique qui permettait ces performances était que les opérations autres que l'addition et la soustraction étaient prises en charge par des multiplicateurs matériels ("hardware multipliers") et non par le logiciel. ainsi, pour multiplier deux nombres, le processeur ne faisait pas une suite d'additions (ce qui prend des centaines de cycles d'horloge) ; il faisait trois opérations : 1° injecter les deux mots à multiplier aux entrées du multiplicateur, 2° donner au multiplicateur l'ordre de multiplier et 3° lire le résultat à la sortie. Ça prenait 12 cycles d'horloge. Cette vitesse valut d'ailleurs à CDC d'empocher le contrat extrêmement convoité de fournir les ordinateurs du centre de commande de l'OTAN!!!

Aujourd'hui encore, ce principe est utilisé dans les supercalculateurs tels que les Cray, les Hypercube, et les IBM scientifiques comme le "True Blue".

Et maintenant le Blue Gene de IBM et le Jaguar de Cray ; tous les deux dépassant le petaflop (un million de millions d'opérations à point flottant à la seconde!!! Presque 148,000 fois plus rapide que le Cyber 6600... )

Oui, croyez-le ou non, ceci est un supercalculateur (une sorte de superordinateur spécialisé dans le traitement des nombres) : le Jaguar de Cray!

Suite et fin au prochain post.

[Anuanua]

Il ne manque plus que les mecs en pyjama beige et on est dans Cosmos 1999...

LOL! Bin, moi j'aimais bien la petite extraterrestre terrestre extra en costume orange et noir d'Univac...

Suite et fin
Puisque moi je ne travaillais pas dans l'informatique (dont je ne connais rien d'ailleurs : les langages qui me sont familiers étant le binaire (eh oui, dans la "technique" on travaillait et pensait souvent binaire), l'Assembler et Forth (qui fut mon coup de coeur)) mais que j'étais plutôt électronicien, l'écran que je regardais le plus souvent n'était pas celui de la console (dans mon post précédent) mais celui-ci :

Les oscilloscopes Tektronix série 7000 (celui-ci est un 7844R) étaient les seuls capables de lire les signaux de la section ECL (le coeur à haute vitesse).

Il y avait un autre avantage aux Tektronix : les séminaires pour techniciens et ingénieurs et les préposées au service de la clientèle

TEKSmall.gif (6.91 KiB) Viewed 819 times

Autre avantage à être électronicien plutôt qu'informaticien, pour ne pas déranger les opérateurs, on me demandait de travailler préférablement de nuit. J'étais donc le plus souvent seul avec un opérateur de nuit avec qui je m'entendais très bien. On jouait aux échecs contre l'ordi en temps partagé... On pouvait se faire venir des pizzas ou quoi que ce soit d'autre, on écoutait la musique qu'on aimait... toutes choses interdites de jour!

En ces temps comme aujourd'hui, c'était un pur plaisir de noctambuler.

Bon voili voilou voilà : moi je retourne au Club des Noctambules.

[Latinus]

Tu ne fais que confirmer ce que je voulais te signifier ; ton coup de gueule (comment faut-il comprendre ton "lol" par ailleurs) "défend" un monde (devrais-je plutôt dire un domaine) de l'informatique qui, bien que non négligeable, est un monde parmi d'autres. Et il n'est pas question ici d'écraser l'un ou l'autre, du haut de quelque expérience que ce soit ; d'ailleurs, en terme de progrès chacun a fait profiter l'autre à son tour et à plusieurs occasions, le nier serait absurde... donc vive (aussi) l'informatique de monsieur Tartempion.

On part d'une ""discussion"" entre windows 3 et XP dont l'un et l'autre n'ont strictement rien à voir avec ce dont tu accouches par la suite.

En tout les cas je note, mais seul le fou en aurait douté, combien tu maîtrises un des nombreux domaines de l'informatique et combien tu aimes le marteler en guise d'argumentaire. Félicitations, je n'ai pas d'autre mot.

Retour aux légèretés (là c'est l'étiquette modo qui parle), si tu veux discourir des nuits durant sur le sujet, ce n'est pas ce topic qui en sera l'hôte ; il y a une zone informatique qui n'est pas là que pour dépanner les ptits bobo électroniques du quotidien (elle a son bêtisier aussi, svp, au moins l'étincelle -insoupçonnée- déclenchera-t-elle le feu en un lieu plus approprié).

[leo]

c'est pour moi un peu de légèreté, mais pas trop pour la centaine d'employés du groupe qui vont être licenciés... Christian Lacroix est en passe d'arrêter sa maison de Haute Couture...

un investisseur du petit émirat d'Ajman n'aurait pas pu donner les garanties adéquates...

à quand notre cher Karl...

et attention... Dubaï est en crise à ce qu'on peut lire

punaise, vais investir dans l'or (que je n'ai pas) moi !!!

[iubito]

En attendant une traduction d'un ami grec, je demande à Google... *explosé de rire*

Jasmine mon cocky and Hold.
Sur un des murs loués coincé.
Et dire que pendant la nuit
le rivage, comme les vagues.
Avec les boîtes de licence de la bière.
À chuter.
Là, il a été le terrain de la joie
et une fois comme un gosse
et sorcière, une fois ERV.
Pour tourner.
Ne t 'et une bicyclette bleue
ne peuvent pas obtenir la lumière s'allumer et les tribus.
Ne pas mettre la lumière pour 'sortir
en Amérique.


La descente obtiendrez et de sortir.
Pay Day à Haro pas dues.
Avec de bonnes affaires amour
A l'intérieur du rivage, les vagues
le coeur de le faire dés
et tous les oiseaux.
Là, il a été le terrain de la joie
et une fois comme un gosse.
Et une fois que l'ERV Witch
de tourner là-bas.
Vers qui se tourner vers la gauche
et la vie des autres télégraphié.
Et on s'attend plus à la vie
plutôt que la prison.

[Maïwenn]

Elle est psychédélique, ta chanson !!

[Anuanua]

Elle est psychédélique, ta chanson !!

En voici une qui date du temps où Montmartre avait une odeur particulière. Du temps de Joan Baez et Bob Dylan...

Je vous parle d'un temps
Que les moins de vingt ans
Ne peuvent pas connaître
Baez en ce temps-là
C'était California
C'était toujours renaître
Et si l'humble guitare
Qui nous accompagnait
Ne payait pas de mine
C'est là qu'était notre art
Moi qui tant y croyais
Et toi qui le chantais

Peace and love, Peace and love...
Ça voulait dire on y croyait
Peace and love, Peace and love...
On le chantait, on espérait...

Souvent il arrivait
Que devant mon piano
Je passais des nuits blanches
Ajoutant une blanche
Un accord, un silence
Une phrase ou un mot
Et ce n'est qu'au matin
Qu'on s'asseyait enfin
Devant un autre joint
Epuisés mais ravis
Fallait-il que l'on s'aime
Et qu'on aime la vie!

Peace and love, Peace and love...
Ça voulait dire fin à la guerre
Peace and love, Peace and love...
C'était tout un monde à refaire

Quand au hasard des jours
Je m'en vais faire un tour
Sur un autre Youtube
Je ne reconnais plus
Ni les cris ni l'élan
Qui ont fait ma jeunesse
Woodstock est-il bien mort?
Où est passé cet art
Dont plus rien ne subsiste?
Sans cet espoir de paix
Les jeunes semblent tristes
Et les élans sont morts

Peace and love, Peace and love...
Ça voulait dire on vit d'amour
Peace and love, Peace and love...
En nous ça survivra toujours!

[leo]

Je vous parle d'un temps
Que les moins de vingt ans
Ne peuvent pas connaître

là, c'est Aznavour, trop bien la chanson...

[Anuanua]

là, c'est Aznavour

Bin oui... Pourquoi crois-tu que j'ai parlé de Montmartre au tout début...?

trop bien la chanson...

Mici! Je l'avais d'abord posté sur un autre forum ; on y parlait de Joan Baez.