Pauvre script girl! Elle va se faire parler! Enfin, si elle a de la chance... Sinon, on ne lui parlera plus!
I te rahiraa o te taime, mea pāpū aè te reo ia taì mai i te mafatu, e mea haavarevare roa atoā rä o ia. La langue est souvent plus éloquente, mais aussi plus trompeuse que le coeur.
Bon, les journalistes sportifs nous en font de bonnes pendant les JO mais là, j'ai bien aimé. Les États-Unis, ce n'est pas chez l'oncle Sam mais l'oncle Tom (tout juste sorti de sa case je suppose)
Ouf! Tu n'as rien vu! Ici, au Canada, on avait un Premier Ministre auprès duquel Sarkozy a l'air d'un académicien puriste. Jean Chrétien. (On l'appelait Jean Crétin, mais bon...) Il y a d'ailleurs un livre qui a été consacré à ses bourdes : Les chrétienneries. (On doit au même auteur Le pied dans la Bush.)
Sans vouloir empiéter sur les droits de l'auteur (qui a lui-même empiété sur les droits du véritable auteur) citons comment présenter ses respects à un évêque
Jean Chrétien wrote:You take his hand and you kiss his bag
Il voulait dire "Vous prenez sa main et vous embrassez sa bague".
I te rahiraa o te taime, mea pāpū aè te reo ia taì mai i te mafatu, e mea haavarevare roa atoā rä o ia. La langue est souvent plus éloquente, mais aussi plus trompeuse que le coeur.
Ah, ça, du temps de Staline, c'est sûr, c'était mieux fait. Les photos sans Trotsky ou Kamenev laisaient parfois un pied en trop, mais au moins il ne manquait rien.
...N'empêche : avec la généralisation de photoshop, le recul relatif des dictatures dans les pays développés et la libération des moeurs (qui rend bien moins intéressantes les photos de président, ministre, ambassadeur, général et PDG en compagnie d'un ou deux ou plusieurs individus de l'un ou l'autre sexe ou du troisième avec ou sans accessoires), je crois qu'il y a un talent qui est en train de se perdre, celui des bons vieux trucqueurs et photomonteurs sur pellicules argentiques. Quand le dernier vieux briscard de la DST aura pris sa retraite (Papi, raconte-moi l'affaire Marcovic...), quand le dernier ancien du KGB aura rejoint le paradis des espions, quand l'ultime private investigator en imper ira boire une bière avec Hoover (encore qu'en enfer, la bière doit être un peu amer, tiens j'ai fait une homéotéleute), comment fera-t-on ? Eh oui, un savoir-faire de nos campagnes qui disparaît. Vite ! Un sujet de Jean-Pierre Pernaud pour les 13 heures !
La plupart des occasions des troubles du monde sont grammairiennes (Montaigne, II.12)