http://www.professeurdesecoles.net/
J'ai pensé que ça intéresserait quelques-uns d'entre vous

Concernant les ministres donc...Sol wrote:À tous les 4 ans la ville se retrouve en campagne
Sol wrote:Bon : on est dirigés par des garnements, tout le monde sait ça. Et un garnement, c'est surtout constitué de dépités. Mais on ne peut pas demeurer dépité toute sa vie, il faut bien faire quelque chose de temps en temps. On ne peut passer toute notre vie dans la chambre! Alors, à force d'être dépité, on devient minus. Et là on passe notre vie aux cabinets.
Sol wrote:Une fois tous les quatre ans, le premier minus les réveille. C'est toujours lui qui vient avant les autres : c'est pourquoi on l'appelle monsieur le précédant. Il parle à la presse parce qu'il est pressé : s'il ne presse pas, si on passe devant, il ne sera plus précédant. Alors il leur dit "Mes dents et mes yeux, prêtez-moi une oreille à tentative. Le temps est venu de se tenir debout devant le peuple! Il faut se tenir bien droits : c'est la période des érections. Si vous voulez être augmentationnés, il faut commencer par ça. Il faut penser à l'avenir dès le présent, il faut être fermes! Si on est mous, sans ambition pendant que le peuple nous regarde, pendant qu'il pense à l'avant et à l'après si nous demeurons pendant, salaire de quoi je vous l'demande! N'ayons pas peur de l'inflamation : allons de l'avant! Si vous rêvez grand, il y a pas d'autre façon!"
Ainsi s'exprimait Marc Favreau (le comédien qui incarnait Sol), le 21 mars 2002 au CPIQ Conseil Pédagogique Interdisciplinaire du Québec), en tant que lauréat du Mérite d’honneur 2002 du français et de la francophonie en éducation.Sol wrote:Je vous en prie, ne donnez pas votre langue au chat. Elle est trop précieuse, elle est notre instrument de survie.
À travers toutes vos matières à enseigner, de tous ces chats que vous devez fouetter, le plus récalcitrant sera toujours notre langue : c’est plus qu’un chat, c’est un tigre! On n’en a jamais fini de l’apprivoiser…
Dites à vos élèves qu’ils ne sont pas seuls, qu’ils partagent un français bien vivant avec des millions d’étudiants, dans 52 pays… que leur langue se doit d’être claire, nette et précise, car il en va de l’image que projette le Québec à l’étranger.
Nous attendons de vous, chers professeurs, que vous appreniez à nos petits-enfants, en toute sincérité, que rien n’est facile, que le passé n’a jamais été très simple… que le présent est plutôt vindicatif… et que leur futur sera toujours conditionnel…
Notre langue, toute en images, nous offre un aspect ludique.
Faites en sorte qu’ils jouent avec les mots, qu’ils y trouvent du plaisir.
Apprendre, parler, conjuguer, accorder, discourir, rédiger, s’exprimer… dans une langue aussi complexe que la nôtre, quel bonheur!
Et quelle joie d’en savourer toutes les nuances et les subtilités!
Merci !svernoux wrote:Je suis depuis quelques temps le blog BD incisif d'un traducteur... Il lance un nouveau blog sur les aventures de sa chérie professeur des écoles, en français...
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J'ai pensé que ça intéresserait quelques-uns d'entre vous
Madame ! Kokoyaya il a triché sur moi !!!kokoyaya wrote:Merci
De moins en moins : à force d'explications, ils ont fini par comprendre que le lésé était plutôt le copieur que le copié et que ça ne servait à rien de râlerMaïwenn wrote:Tu l'entends souvent, Yaya ?![]()