Elle s'appelait Sarah elle n'avait pas huit ans
Sa vie, c'était douceur, rêves et nuages blancs
Mais d'autres gens en avaient décidé autrement
Elle avait tes yeux clairs et elle avait ton âge
C'était une petite fille sans histoire et très sage
Mais elle n'est pas née comme toi,
ici et maintenant
Comme toi..
Comme toi..
Comme toi que je regarde tout bas
Comme toi qui dors en rêvant à quoi
Goldman - Comme toi
***
Je signale au passage à Ebostanci qu'en vertu ds règles de ce jeu, sa précédente proposition n'était en principe pas acceptable .
3) Si on peut modifier conjugaisons et accords, on ne peut en revanche pas changer la catégorie grammaticale à laquelle le mot appartient.
joey wrote:Mets-toi contre moi
Pourvu qu'on reste
Ici "reste" est un verbe.
Ebostanci wrote:Et si on dormait sous les arbres
Le reste du temps
Et ici, c'est un substantif .
Mais bon, la chanson de Cabrel est tellement jolie, que je laisse passer pour cette fois .
Allez, au boulot !
Maman disait toujours : La vie, c'est comme une boîte de chocolats ; on sait jamais sur quoi on va tomber...
C'est un aquoiboniste
Un faiseur de plaisantristes
Qui dit toujours à quoi bon
A quoi bon
Un aquoiboniste
Un modeste guitariste
Qui n'est jamais dans le ton
A quoi bon
C'est un aquoiboniste
Un faiseur de plaisantristes
Qui dit toujours à quoi bon
A quoi bon
Un aquoiboniste
Un peu trop idéaliste
Qui répèt' sur tous les tons
A quoi bon
C'est un aquoiboniste
Un faiseur de plaisantristes
Qui dit toujours à quoi bon
A quoi bon
Un aquoiboniste
Un drôl' de je m'enfoutiste
Qui dit à tort à raison
A quoi bon
C'est un aquoiboniste
Un faiseur de plaisantristes
Qui dit toujours à quoi bon
A quoi bon
Serge Gainsbourg : l'aquoiboniste
Personne n'est en charge de ton bonheur, sauf toi.
Allez viens boire un p'tit coup à la maison
Y a du blanc, y a du rouge du saucisson
Et Gillou avec son p'tit accordéon
Vive les bouteilles et les copains et les chansons
Tout ça se serait bien terminé
Si nos bonnes femmes n'étaient pas rentrées
Elles ont mis le Pernod sous clé
Elles ont gueulé plus fort que nous
Et on s'est fait virer.
Licence IV - Viens boire un p'tit coup à la maison
Maman disait toujours : La vie, c'est comme une boîte de chocolats ; on sait jamais sur quoi on va tomber...
On s'est tant saoulé la gueule
On s'est engueulé c'est vrai
Mais on ne pensait jamais
Qu'on allait finir tout seul
Avec des reproches à faire
Avec presque même des torts
Avec presque des remords
Et un arrière-goût amer
On s'est donné des bouteilles
A ne jamais déboucher
Mais qu'on débouchait la veille
De l'occasion à fêter
On s'est regardé de près
Au plein jour et on s'aimait
On aimait les mots qui restent
On aimait les mêmes gestes
Lynda Lemay: qu'est-ce qu'on va devenir mon homme?
Personne n'est en charge de ton bonheur, sauf toi.
Nous ne nous parlerons pas
Nous oublierons nos voix
Nous nous dirons en silence
L'essentiel et l'importance
Utilisons nos regards
Pour comprendre et savoir
Et le goût de notre peau
Plus loquace que des mots
JJ Goldman - Nous ne nous parlerons pas
Penn ar Bed
The end of the land
Le commencement d'un monde
C'est pas Noël, c'est pas le printemps,
Y a pas de bougies, y a pas de cadeaux sous les rubans,
Pas de nouvelles sensationnelles
Aujourd'hui est un jour normal tout simplement
Y a pas d'amis qui se marient
Pas de première, pas de soirée d'anniversaire
Mais il fallait que je te dise
Ces quelques mots qui chantent au plus profond de moi
Sacha Distel : je t'appelle pour te dire que je t'aime
Personne n'est en charge de ton bonheur, sauf toi.
Moi je t'offrirai
Des perles de pluie
Venues de pays
Où il ne pleut pas
Je creuserai la terre
Jusqu'après ma mort
Pour couvrir ton corps
D'or et de lumière
Je ferai un domaine
Où l'amour sera roi
Où l'amour sera loi
Où tu seras reine
J. Brel - Ne me quitte pas
Maman disait toujours : La vie, c'est comme une boîte de chocolats ; on sait jamais sur quoi on va tomber...
Si jamais en un jour de cafard
Il te prenait soudain l'envie de me revoir
Si jamais le regret te prend la main
Suis-le n'hésite pas s'il te conduit vers moi
Moi j'oublierais
Le mal que tu m'as fait
Je me tairais
Pourvu que tu reviennes
Si jamais
Tu pouvais comprendre
Que je reste à t'attendre
Viens, tu serais ma reine
Si dans le souvenir de mes caresses
Tu trouvais la tendresse
Qui te manque aujourd'hui
N'oublie pas qu'au bout d'une rue déserte
Ma porte te reste ouverte
Viens chasser mon ennui
Adamo : si jamais
Personne n'est en charge de ton bonheur, sauf toi.
Assise au bord du lit
J'attends que l'orage passe
Que vais-je faire aujourd'hui
Que faut-il que je fasse?
Et devant la fenêtre
Je vois tomber la pluie
Je devrais être prête
Mais je n'ai pas envie
Car j'aime l'ennui
Les attentes et les nuits
Tous les matins sans soucis
Car j'aime l'ennui
Le calme de la vie
Les soirées sans amis
Le temps qui me sourit
Il n'y a plus d'horloge, plus de clocher
Dans le square les arbres sont couchés
Je reviens par le train de nuit
Sur le quai je la vois
Qui me sourit
Il faudra bien qu'elle comprenne
A tout prix
Je lui dirais les mots bleus
Les mots qu'on dit avec les yeux
Toutes les excuses que l'on donne
Sont comme les baisers que l'on vole
Il reste une rancoeur subtile
Qui gâcherait l'instant fragile
De nos retrouvailles
De nos retrouvailles
Christophe : les mots bleus
Personne n'est en charge de ton bonheur, sauf toi.
Le temps est loin de nos vingt ans
Des coups de poings, des coups de sang
Mais qu'à c'la n'tienne: c'est pas fini
On peut chanter quand le verre est bien rempli
Buvons encore une dernière fois
A l'amitié, l'amour, la joie
On a fêté nos retrouvailles
Ça m'fait d'la peine, mais il faut que je m'en aille
Et souviens-toi de cet été
La première fois qu'on s'est saoulé
Tu m'as ramené à la maison
En chantant, on marchait à reculons
Je suis parti changer d'étoile
Sur un navire, j'ai mis la voile
Pour n'être plus qu'un étranger
Ne sachant plus très bien où il allait
J't'ai raconté mon mariage
A la mairie d'un p'tit village
Je rigolais dans mon plastron
Quand le maire essayait d'prononcer mon nom
Tous les matins il achetait
Son p'tit pain au chocolat
La boulangère lui souriait
Il ne la regardait pas
Et pourtant elle était belle
Les clients ne voyaient qu'elle
Il faut dire qu'elle était
Vraiment très croustillante
Autant que ses croissants
Et elle rêvait mélancolique
Le soir dans sa boutique
A ce jeune homme distant
Avec tout le bonheur que se petafine dans le monde que d'heureux on pourrait faire.