le datif représente le non-protagoniste inactuel ultérieur supposant l'existence d'un présent délocuté et en recueillant durablement les apports positifs ou négatifs
C'est pas délocuté, c'est déculotté.
Tout ça pour une faute de frappe, tu exagères, Sisyphe.
La transcendance est le domaine de développement d'un mouvement qui prend son départ au point où un mouvement antérieur s'est terminé. La transprédicativité, transcendance de la prédicativité, est du point de vue le plus général, un mouvement vers une infinitude faisant suite à une finitude atteinte. Le système s'ouvre donc au pont où le mouvement structural, caractérisé par son infinitude, se fait porteur de substance notionnelle. L'infinitude première est déjà binaire intérieurement, par inscription en elle du tenseur binaire radical (marche à l'étroit, marche au large) : aussi la substance rencontrée est-elle répartie dans deux cadres, nominal et verbal. Une fois produits ces deux cadres, le mouvement structural va continuer son développement en s'éloignant, par décadence verticale, de l'horizon aperturale du système et rencontrer une série de finitudes dont l'adverbe est la dernière.
Vous faites tout ça chaque fois que vous utilisez un adverbe !
*
ElieDeLeuze wrote:C'est pas délocuté, c'est déculotté.
Tout ça pour une faute de frappe, tu exagères, Sisyphe.
Sisyphe wrote:
le datif représente le non-protagoniste inactuel ultérieur supposant l'existence d'un présent délocuté et en recueillant durablement les apports positifs ou négatifs
C'est pas délocuté, c'est déculotté.
Tout ça pour une faute de frappe, tu exagères, Sisyphe.
J'ai toujours dit qu'il y avait quelque chose d'intrinsèquement érotique dans la pensée de Gustave Guillaume, mais de là à passer au SM... Pourquoi pas.
La plupart des occasions des troubles du monde sont grammairiennes (Montaigne, II.12)
j'ai étudié de plus près ma dernière facture gentiment envoyée par l'EdF (avec surestimation de ma consommation comme chaque anneé à la même époque !):
"Au 01/01/2011, le montant de la CSPE évolue et les TLE sont remplacées par les TCFE."
La transcendance est le domaine de développement d'un mouvement qui prend son départ au point où un mouvement antérieur s'est terminé. La transprédicativité, transcendance de la prédicativité, est du point de vue le plus général, un mouvement vers une infinitude faisant suite à une finitude atteinte. Le système s'ouvre donc au pont où le mouvement structural, caractérisé par son infinitude, se fait porteur de substance notionnelle. L'infinitude première est déjà binaire intérieurement, par inscription en elle du tenseur binaire radical (marche à l'étroit, marche au large) : aussi la substance rencontrée est-elle répartie dans deux cadres, nominal et verbal. Une fois produits ces deux cadres, le mouvement structural va continuer son développement en s'éloignant, par décadence verticale, de l'horizon aperturale du système et rencontrer une série de finitudes dont l'adverbe est la dernière.
Vous faites tout ça chaque fois que vous utilisez un adverbe !
mais qui peut pondre un truc pareil ? ça doit se soigner non ?
le Travail c'est bien une maladie, puisqu'il y a une Médecine du Travail (Coluche)
La transcendance est le domaine de développement d'un mouvement qui prend son départ au point où un mouvement antérieur s'est terminé. La transprédicativité, transcendance de la prédicativité, est du point de vue le plus général, un mouvement vers une infinitude faisant suite à une finitude atteinte. Le système s'ouvre donc au pont où le mouvement structural, caractérisé par son infinitude, se fait porteur de substance notionnelle. L'infinitude première est déjà binaire intérieurement, par inscription en elle du tenseur binaire radical (marche à l'étroit, marche au large) : aussi la substance rencontrée est-elle répartie dans deux cadres, nominal et verbal. Une fois produits ces deux cadres, le mouvement structural va continuer son développement en s'éloignant, par décadence verticale, de l'horizon aperturale du système et rencontrer une série de finitudes dont l'adverbe est la dernière.
Vous faites tout ça chaque fois que vous utilisez un adverbe !
mais qui peut pondre un truc pareil ? ça doit se soigner non ?
Les soigner, j'en doute. Disons qu'on peut les isoler, dans des espèces d'asiles qu'on nomme "universités". Pour les cas les plus graves et les plus pathogènes, il existe des institutions plus confinées encore qu'on appelle des "centres de recherche".
Cum grano salis encore une fois, puisque j'y prétends moi-même...
*
Tract "en interne" de mon syndicat ce mois-ci
Page un
la rénovation des ACMO et des inspecteurs HS : une victoire syndicale !
Page deux :
Pour la mise en place du DUER !
Page trois
Exigeons une CHSCT dans tous les EPLE !
il va de soi que je soutiens pleinement toutes ces revendications... Mais je ne suis pas loin de créer la tendance "syndicalisme et langue française" à la prochaine AG : si du moins le SG du S4 est d'accord et que les tendances EE, U&A et OUYE ne s'y opposent pas...
La plupart des occasions des troubles du monde sont grammairiennes (Montaigne, II.12)
Je viens d'entendre ça sur BFM TV, au sujet de la juge Prévost-Duprez dessaisie de l'affaire du Mediator : Cette affaire est difficile à comprendre, c'est du Canada dry judiciaire.
Il y a un truc qui m'échappe, vous comprenez cette comparaison, vous ?
Penn ar Bed
The end of the land
Le commencement d'un monde
Son slogan publicitaire, qui fut longtemps « Ça ressemble à l’alcool, c’est doré comme l’alcool… mais ce n’est pas de l’alcool » (généralement déformé en « Ça a la couleur de l’alcool, le goût de l’alcool… mais ce n’est pas de l’alcool »), a souvent été pastiché[réf. souhaitée].
En référence à cette publicité, le nom « Canada Dry » est parfois utilisé en France pour qualifier une chose qui a les apparences sans avoir la fonctionnalité de ce qu’elle prétend ou semble être. On entend ainsi parfois qu’une organisation décerne des diplômes « Canada Dry » pour indiquer qu’ils ont l’allure de vrais diplômes, mais qu’ils ne correspondent pas à une véritable formation.