
Bin, le sampa est surtout une
retranscription biunivoque de l'API pour les cas où on ne peut pas produire les caractères de l'API, comme du temps de la table ASCII, de usenet autrefois, ou sur un chat (je précise qu'en dépit de mes [mja'u], je parle bien ici du [tʃαt] et pas du [ʃa]).
Mais c'est de toute façon de moins en moins le cas : l'unicode s'est répandu partout, aussi bien sur internet (maintenant même les titres des forums php peuvent supporter des caractères bizarres) que dans nos traitements de texte (ma petite police Gandhari Unicode chérie affiche 3000 caractères - bon, c'est vrai qu'il en manque toujours un ou deux dans quelques langues très très bizarres que j'utilise). Donc, le sampa, c'est comme la bougie : je veux bien en garder une sous l'évier en cas de panne (et pour la prochaine fois qu'on discute phonétique du protoroman de stade II sur le chat freelang, mais y'a pu de chat freelang), mais je préfère m'éclairer à l'électricité.
Le Bourciez, c'est déjà différent : c'est pas le même principe de représentation.
Bon, au fait, toujours pas de jeux de mots sur "sampa" ?

Je sais pas moi : danser le sampa, c'est sampa de te voir, un romaniste sampa à pied sur le point d'être expulsé...

'Faut vraiment que je fasse tout moi-même dans ce forum.
La plupart des occasions des troubles du monde sont grammairiennes (Montaigne, II.12)