

Personnellement, j'ai eu "du mal" avec mes derniers livres: certains que je n'ai pas pu finir par manque de temps ou d'intérêt; un, terminé, mais décevant (La garçonne, d'Alia Mamdouh) où l'écriture confuse sert tout-à-fait l'histoire au début mais perd ensuite le lecteur (enfin au moins moi) qui ne trouve plus ni fil conducteur ni repères et finit par ne plus rien suivre d'une histoire dominée par la souffrance que je ne saurais résumer exactement et que je ne reconnais pas même dans la présentation de quatrième de couverture! Je n'y ai pas retrouvé les "promesses" affichées hormis peut-être une plongée superficielle dans un Irak des années 60 et le fonctionnement de sa société livrée à la domination des hommes...
Depuis j'ai attaqué "Les Enfants de la nuit", de Frank Delaney; un thriller qui a reçu d'excellentes critiques décrivant un livre inoubliable et puissant quant à l'émotion qu'il délivre; j'en suis à la page 50 (sur 560) et je suis déjà agréablement piégée, à la fois par l'intrigue, déjà mise en place et par l'écriture très fluide et emplie d'un suspens qui donne beaucoup d'intérêt à l'histoire... A suivre!
