Je crois bien, sauf à confondre avec un autre titre à curé, que c'est un livre dont je n'ai pas, non plus, achevé la lecture lorsque je m'y suis essayée, ce qui remonte à ... j'étais mineure!Maïwenn wrote:Plusieurs livres pas finis ces derniers temps, notamment Le journal d'un curé de campagne de Georges Bernanos que j'ai trouvé vraiment trop lent.
Mais récemment j'ai dû renoncer à plusieurs livres comme toi, faute d'intérêt harponné... et un faute de temps mais que j'espère emprunter à nouveau: "L'énigme de St-Olav", de Indrek Hargla, polar médiéval traduit de l'estonien qui m'avait agréablement plongée en détails dans cette ambiance d'un ailleurs temporel et géographique dépaysant et avait réussi à rapidement me saisir par l'intrigue, le tout en faisant ressortir les personnalités des individus en présence auxquels on s'attache donc... Bonne pioche à confirmer!
Parallèlement j'ai eu le plaisir de terminer ce petit livre: "Un verger au Pakistan" de Peter Hobbs; c'est un morceau de sucre que l'on croque et qui fond sans le moindre effort en nous délectant d'une poésie et d'un orientalisme certains, malgré l'histoire contée qui est loin d'être heureuse; l'accent porte sur le pouvoir salvateur de l'imagination, à qui le personnage principal doit sa survie et sa reconstruction après avoir tout perdu pour des amours adolescentes "non autorisées" qui le mènent en prison...
Elie, j'ai entendu parler récemment de cette correspondance entre Voltaire et Frédéric II de Prusse, je suis sûre qu'elle doit être assez croustillante à lire en effet, tout en lecture codée derrière des mots courtois et bien tournés de façade! J' y jetterais volontiers un oeil!
J'avais bien aimé lire, moi, il y a quelques temps, les lettres de la princesse Palatine, belle-soeur de Louis XIV, qui fut un personnage haut en couleurs et n'avait pas la langue dans sa poche!
Sinon je suis DECUE!!!!!!
Je viens de terminer "Epépé", roman (culte, paraît-il) traduit du hongrois, de Ferenc Karinthy et je n'ai pas aimé la façon dont le livre s'achève! 
Après m'avoir menée dans une dimension quasi parallèle où le héro, malgré ses connaissances en langues diverses et son érudition, ne peut peut absolument pas se faire comprendre d'une population au jargon "parfaitement inintelligible" et doit se débrouiller pour survivre et tenter d'enfin retourner chez lui, je me retrouve, le livre fermé, avec mes interrogations non-résolues malgré la porte ouverte bienvenue qui autorise l'imagination à travailler! Il n'empêche que j'attendais une fin différente et des explications!!!! 
Tous les passages encyclopédiques sont assez rébarbatifs à lire, mais j'ai aussi appris plein de nouveaux mots 
