[Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
- Ankhsenamon
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Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
Le soleil câlin me caressa
Quand j'ouvris les yeux, elle était là
Elle souriait, elle souriait,
Elle souriait, elle souriait
Elle souriait et jamais sourire
N'avait eu tant de douceur
Elle souriait et par son sourire
S'éveillaient toutes les fleurs
Elle souriait,
Et j'étais comme l'enfant émerveillé
Car je naissais à la tendresse et à l'été
Elle me nourrit de miel et de rosée
Et comme une fiancée
Ravie, elle me tendit la main
Et courut au détour du chemin
J'entendis le chant d'une rivière
Elle s'y baignait nue et légère
Et quand un frisson de l'onde
Me rendit mon rêve, ma Joconde
Elle souriait, elle souriait,
Elle souriait, elle souriait
Elle souriait,
Et comme une rose
Elle ruisselait de perles d'eau
Elle souriait quand elle s'endormit
Bercée par mille chants d'oiseaux
ADAMO, Elle souriait
Quand j'ouvris les yeux, elle était là
Elle souriait, elle souriait,
Elle souriait, elle souriait
Elle souriait et jamais sourire
N'avait eu tant de douceur
Elle souriait et par son sourire
S'éveillaient toutes les fleurs
Elle souriait,
Et j'étais comme l'enfant émerveillé
Car je naissais à la tendresse et à l'été
Elle me nourrit de miel et de rosée
Et comme une fiancée
Ravie, elle me tendit la main
Et courut au détour du chemin
J'entendis le chant d'une rivière
Elle s'y baignait nue et légère
Et quand un frisson de l'onde
Me rendit mon rêve, ma Joconde
Elle souriait, elle souriait,
Elle souriait, elle souriait
Elle souriait,
Et comme une rose
Elle ruisselait de perles d'eau
Elle souriait quand elle s'endormit
Bercée par mille chants d'oiseaux
ADAMO, Elle souriait
"La pause, elle aussi, fait partie de la musique" Stefan ZWEIG
Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
Tu es tombée du ciel
Moi qui voyais le mal partout
Si l'amour est encore sur terre
Rien n'efface les douleurs d'hier
Sans toi je n'aurais
Jamais pleuré autant de joie pour personne
Le canon qui résonne
Ici sur pilotis
Refuge de mes amours englouties
Mon cœur d'éponge à la dérive
Les marées ne me feront revenir
Je reste avec les étoiles de mer
Les oiseaux des terres amères
Et mon cœur qui se perd
{Refrain}
Je suis tombé pour elle
Je n'ai d'yeux que pour elle
Ma maison, ma tour Eiffel
Quand mes amours prennent l'eau
L'île aux oiseaux
Au-dessus des marées
J'ai de l'amour à perpétuité
P. Opispo - Tombé pour elle
Moi qui voyais le mal partout
Si l'amour est encore sur terre
Rien n'efface les douleurs d'hier
Sans toi je n'aurais
Jamais pleuré autant de joie pour personne
Le canon qui résonne
Ici sur pilotis
Refuge de mes amours englouties
Mon cœur d'éponge à la dérive
Les marées ne me feront revenir
Je reste avec les étoiles de mer
Les oiseaux des terres amères
Et mon cœur qui se perd
{Refrain}
Je suis tombé pour elle
Je n'ai d'yeux que pour elle
Ma maison, ma tour Eiffel
Quand mes amours prennent l'eau
L'île aux oiseaux
Au-dessus des marées
J'ai de l'amour à perpétuité
P. Opispo - Tombé pour elle
Maman disait toujours : La vie, c'est comme une boîte de chocolats ; on sait jamais sur quoi on va tomber...
Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
Je vis où tu m'as laissé
comme étranger à moi même
l'amour à perpétuité
je m'étais pris à en rêver
j'en suis où tu m'as laissé
c'est une absence qui m’enchaîne
les pieds et les poings liés
je m'étais pris dans tes filets
je vis où tu m'as laissé
comme étranger à moi-même
comme étranger à moi-même.
Calogero : je vis où tu m'as laissé
comme étranger à moi même
l'amour à perpétuité
je m'étais pris à en rêver
j'en suis où tu m'as laissé
c'est une absence qui m’enchaîne
les pieds et les poings liés
je m'étais pris dans tes filets
je vis où tu m'as laissé
comme étranger à moi-même
comme étranger à moi-même.
Calogero : je vis où tu m'as laissé
Personne n'est en charge de ton bonheur, sauf toi.
- Ankhsenamon
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Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
Il a bu dans le cours d'un ruisseau
Parcouru les montagnes et le bourg
Il a vu dans vos yeux tant de haine
Qu'il s'est cru, un instant, plus le même
Il a pris des chemins solitaires
Privé d'os comme un chien qui se terre
Il s'est mis à pleurer comme on aime
Continué à prier quand même
C'est devant soi, qu'il faut se voir
La vie n'est pas toujours ce que l'on croit
C'est devant soi, que je veux vivre
J'ai devant moi beaucoup de vie et de rire
C'est devant soi, qu'il faut se voir
La vie n'est pas toujours ce chemin droit
Le vent me dit quand vient le noir
J'ai devant moi beaucoup de vie et d'espoir
Mylène FARMER, Devant soi
Parcouru les montagnes et le bourg
Il a vu dans vos yeux tant de haine
Qu'il s'est cru, un instant, plus le même
Il a pris des chemins solitaires
Privé d'os comme un chien qui se terre
Il s'est mis à pleurer comme on aime
Continué à prier quand même
C'est devant soi, qu'il faut se voir
La vie n'est pas toujours ce que l'on croit
C'est devant soi, que je veux vivre
J'ai devant moi beaucoup de vie et de rire
C'est devant soi, qu'il faut se voir
La vie n'est pas toujours ce chemin droit
Le vent me dit quand vient le noir
J'ai devant moi beaucoup de vie et d'espoir
Mylène FARMER, Devant soi
"La pause, elle aussi, fait partie de la musique" Stefan ZWEIG
- Andergassen
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Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
Cette bouteille était tombée
De la soutane d'un abbé
Sortant de la messe ivre mort.
Une bouteille de vin fin
Millésimé, béni, divin,
Je la recueillis sans remords.
Et je repris ma route en cherchant, plein d'espoir,
Une brave gosier sec pour m'aider à la boire.
Car c'est une des pir's perversions qui soient
Que de garder du vin béni par-devers soi.
Le premier refusa mon verre,
En me lorgnant d'un oeil sévère,
Le deuxième m'a dit, railleur,
De m'en aller cuver ailleurs.
Si le troisième, sans retard,
Au nez m'a jeté le nectar,
Le quatrièm', c'est plus méchant,
Se mit en quête d'un agent.
Car aujourd'hui, c'est saugrenu,
Sans être louche, on ne peut pas
Trinquer avec des inconnus,
On est tombé bien bas, bien bas...
Avec la bouteille de vin
Millésimé, béni, divin,
Les flics se sont rincé la dalle,
Un vrai scandale !
G. Brassens - La rose, la bouteille et la poignée de main
De la soutane d'un abbé
Sortant de la messe ivre mort.
Une bouteille de vin fin
Millésimé, béni, divin,
Je la recueillis sans remords.
Et je repris ma route en cherchant, plein d'espoir,
Une brave gosier sec pour m'aider à la boire.
Car c'est une des pir's perversions qui soient
Que de garder du vin béni par-devers soi.
Le premier refusa mon verre,
En me lorgnant d'un oeil sévère,
Le deuxième m'a dit, railleur,
De m'en aller cuver ailleurs.
Si le troisième, sans retard,
Au nez m'a jeté le nectar,
Le quatrièm', c'est plus méchant,
Se mit en quête d'un agent.
Car aujourd'hui, c'est saugrenu,
Sans être louche, on ne peut pas
Trinquer avec des inconnus,
On est tombé bien bas, bien bas...
Avec la bouteille de vin
Millésimé, béni, divin,
Les flics se sont rincé la dalle,
Un vrai scandale !
G. Brassens - La rose, la bouteille et la poignée de main
Par de bons mots foudroyons la sottise, craignons le sang ; ne versons que le vin.
Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
Le vrai scandale c'est la mort
les membres, la tête, le corps
la destruction de l'innocence
le règne obscur de la souffrance
pourquoi mépriser, torturer ?
pourquoi s'acharner à tuer ?
tous ces hommes, ces corps si doux
ces lèvres chaudes, ces genoux
ces mains souples, ces pieds agiles
ces yeux graves, ces yeux rieurs
cette poitrine où bat le coeur
ces artères, cette peau fragile
JeanneMoteau : Le vrai scandale c'est la mort...
les membres, la tête, le corps
la destruction de l'innocence
le règne obscur de la souffrance
pourquoi mépriser, torturer ?
pourquoi s'acharner à tuer ?
tous ces hommes, ces corps si doux
ces lèvres chaudes, ces genoux
ces mains souples, ces pieds agiles
ces yeux graves, ces yeux rieurs
cette poitrine où bat le coeur
ces artères, cette peau fragile
JeanneMoteau : Le vrai scandale c'est la mort...
Personne n'est en charge de ton bonheur, sauf toi.
- Ankhsenamon
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Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
Mon indocile, mon difficile
Et puis docile, mon si fragile,
Tu es la vague où je me noie,
Tu es ma force, tu es ma loi.
A peine le temps s´est posé,
Printemps, hiver, automne, été.
Tu t´en souviens? C´était hier,
Printemps, été, automne, hiver.
A peine tu m´avais entrevue,
Déjà, tu m´avais reconnue.
A peine je t´avais souri
Que déjà, tu m´avais choisie.
Ton indocile, ta difficile
Et puis docile, ta si fragile,
Je suis la vague où tu te noies,
Je suis ta force, je suis ta loi.
Dans la chambre, s´est glissée l´ombre.
Je t´aperçois dans la pénombre.
Tu me regardes, tu me guettes.
Tu n´écoutais pas, je m´arrête.
Au loin, une porte qui claque.
Il pleut, j´aime le bruit des flaques.
Ailleurs, le monde vit, ailleurs
Et nous, nous vivons là, mon cœur
Et je m´enroule au creux de toi
Et tu t´enroules au creux de moi.
Le temps passe vite à s´aimer.
A peine l´avons-nous vu passer
Que déjà, la nuit s´est glissée,
Légère, si légère.
Ta bouche à mon cou, tu me mords.
Il fait nuit noire au dehors.
Ta bouche à mon cou, je m´endors.
BARBARA, A peine
Et puis docile, mon si fragile,
Tu es la vague où je me noie,
Tu es ma force, tu es ma loi.
A peine le temps s´est posé,
Printemps, hiver, automne, été.
Tu t´en souviens? C´était hier,
Printemps, été, automne, hiver.
A peine tu m´avais entrevue,
Déjà, tu m´avais reconnue.
A peine je t´avais souri
Que déjà, tu m´avais choisie.
Ton indocile, ta difficile
Et puis docile, ta si fragile,
Je suis la vague où tu te noies,
Je suis ta force, je suis ta loi.
Dans la chambre, s´est glissée l´ombre.
Je t´aperçois dans la pénombre.
Tu me regardes, tu me guettes.
Tu n´écoutais pas, je m´arrête.
Au loin, une porte qui claque.
Il pleut, j´aime le bruit des flaques.
Ailleurs, le monde vit, ailleurs
Et nous, nous vivons là, mon cœur
Et je m´enroule au creux de toi
Et tu t´enroules au creux de moi.
Le temps passe vite à s´aimer.
A peine l´avons-nous vu passer
Que déjà, la nuit s´est glissée,
Légère, si légère.
Ta bouche à mon cou, tu me mords.
Il fait nuit noire au dehors.
Ta bouche à mon cou, je m´endors.
BARBARA, A peine
"La pause, elle aussi, fait partie de la musique" Stefan ZWEIG
Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
Tu viens comme dans un rêve
et tu t'endors tout contre moi
comme le jour qui se lève
dans mon cœur quand j'ai un peu froid
tu souris et rien n'est plus tendre alors
que le vent et la pluie
qui glissent sur ton corps...
Lââm : jamais loin de toi
et tu t'endors tout contre moi
comme le jour qui se lève
dans mon cœur quand j'ai un peu froid
tu souris et rien n'est plus tendre alors
que le vent et la pluie
qui glissent sur ton corps...
Lââm : jamais loin de toi
Personne n'est en charge de ton bonheur, sauf toi.
- Ankhsenamon
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Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
Et dans la nuit sombre,
Leurs corps enlacés,
Ne faisait qu'une ombre,
Quand tous deux s'embrassaient.
Une joie douce illuminait,
Tes grands yeux clairs quand il disait,
Lily, Lily Marlène.
Lily, Lily Marlène.
Le temps passe vite,
Quand on est heureux,
Il faut qu'on se quitte,
A l'heure de couvre-feu.
Te souviens-tu de tes regrets,
Quand sa voix te murmurait,
Marie LAFORET, Lily Marlène
Leurs corps enlacés,
Ne faisait qu'une ombre,
Quand tous deux s'embrassaient.
Une joie douce illuminait,
Tes grands yeux clairs quand il disait,
Lily, Lily Marlène.
Lily, Lily Marlène.
Le temps passe vite,
Quand on est heureux,
Il faut qu'on se quitte,
A l'heure de couvre-feu.
Te souviens-tu de tes regrets,
Quand sa voix te murmurait,
Marie LAFORET, Lily Marlène
"La pause, elle aussi, fait partie de la musique" Stefan ZWEIG
Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
Il murmurait à mon oreille
tout en me serrant dans ses bras
"Je vous promets monts et merveilles
amour toujours, et caetera"
il me disait avec emphase
"J'ai choisi de mourir pour vous"
mourir pour moi, des mots, des phrases !
ce que j'ai choisi est moins fou
j'ai choisi de rire, de rire de tout
de rire du pire, du meilleur itou
j'ai choisi de rire du tiers comme du quart
des jeux de hasard, des printemps qui passent
des amours fugaces, des baisers perdus
j'ai choisi de rire des baisers perdus...
Jeanne Moreau : j'ai choisi de rire
tout en me serrant dans ses bras
"Je vous promets monts et merveilles
amour toujours, et caetera"
il me disait avec emphase
"J'ai choisi de mourir pour vous"
mourir pour moi, des mots, des phrases !
ce que j'ai choisi est moins fou
j'ai choisi de rire, de rire de tout
de rire du pire, du meilleur itou
j'ai choisi de rire du tiers comme du quart
des jeux de hasard, des printemps qui passent
des amours fugaces, des baisers perdus
j'ai choisi de rire des baisers perdus...
Jeanne Moreau : j'ai choisi de rire
Personne n'est en charge de ton bonheur, sauf toi.
- Ankhsenamon
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Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
Non je ne me souviens plus
du nom du bal perdu.
Ce dont je me souviens
ce sont ces amoureux
Qui ne regardaient rien autour d´eux.
Y´avait tant d´insouciance
Dans leurs gestes émus,
BOURVIL, Le p'tit bal perdu
du nom du bal perdu.
Ce dont je me souviens
ce sont ces amoureux
Qui ne regardaient rien autour d´eux.
Y´avait tant d´insouciance
Dans leurs gestes émus,
BOURVIL, Le p'tit bal perdu
"La pause, elle aussi, fait partie de la musique" Stefan ZWEIG
Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
Les enfants font une farandole
et le vieux maître est tout ému :
demain, il va quitter sa chère école.
sur cette estrade, il ne montera plus.
adieu, monsieur le professeur.
on ne vous oubliera jamais
et tout au fond de notre coeur,
ces mots sont écrits à la craie.
Hugues Aufrey : adieu Monsieur le Professeur
et le vieux maître est tout ému :
demain, il va quitter sa chère école.
sur cette estrade, il ne montera plus.
adieu, monsieur le professeur.
on ne vous oubliera jamais
et tout au fond de notre coeur,
ces mots sont écrits à la craie.
Hugues Aufrey : adieu Monsieur le Professeur
Personne n'est en charge de ton bonheur, sauf toi.
- Ankhsenamon
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Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
Dors ma ville aux pluies d'automne
Odeurs de craie qu'enfant griffonne
Trottoirs mouillés
Les marronniers
Bonsoir
Dors, ma nuit au goût amer
De ces étés des bords de mer
Parents couchés
Rêves éveillés
Bonsoir
Tous mes souvenirs s'enfument
Aux trente bougies qui s'allument
Je soufflerai
Maxime LE FORESTIER (ici avec Maurane), J'ai eu 30 ans
Odeurs de craie qu'enfant griffonne
Trottoirs mouillés
Les marronniers
Bonsoir
Dors, ma nuit au goût amer
De ces étés des bords de mer
Parents couchés
Rêves éveillés
Bonsoir
Tous mes souvenirs s'enfument
Aux trente bougies qui s'allument
Je soufflerai
Maxime LE FORESTIER (ici avec Maurane), J'ai eu 30 ans

"La pause, elle aussi, fait partie de la musique" Stefan ZWEIG
Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
Le menton creusé
la barbe de deux jours,
sur le lieu désiré
il reviendra toujours.
ainsi les choses passent
et les quartiers se vident
et lui revient, livide
et la chemise ouverte
dans l’allée déserte
et la chemise ouverte, dans l’allée déserte.
mais c'est sûr, le vent soufflera toujours
pour effacer les traces, laver les blessures
et, quelles que soient les marques et les brûlures
cadenasser les portes et les serrures.
Gerard Manset : le lieu désiré
la barbe de deux jours,
sur le lieu désiré
il reviendra toujours.
ainsi les choses passent
et les quartiers se vident
et lui revient, livide
et la chemise ouverte
dans l’allée déserte
et la chemise ouverte, dans l’allée déserte.
mais c'est sûr, le vent soufflera toujours
pour effacer les traces, laver les blessures
et, quelles que soient les marques et les brûlures
cadenasser les portes et les serrures.
Gerard Manset : le lieu désiré
Personne n'est en charge de ton bonheur, sauf toi.
- Ankhsenamon
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Re: [Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."
Elle porte une bague égyptienne
Qui scintille lorsqu´elle doit parler
Elle porte une bague égyptienne
Qui scintille lorsqu´elle va parler
C'est une collectionneuse mondaine
Et toi un passant démodé
Tu commenceras debout
Fier d´entendre son moindre murmure
Tu commenceras debout
Fier d´entendre son moindre murmure
Tu finiras comme les autres
A genoux devant sa serrure
Va la saluer le dimanche
Et pour sa fête, fais le détour
Francis CABREL, Elle m'appartient (c'est une artiste)
Qui scintille lorsqu´elle doit parler
Elle porte une bague égyptienne
Qui scintille lorsqu´elle va parler
C'est une collectionneuse mondaine
Et toi un passant démodé
Tu commenceras debout
Fier d´entendre son moindre murmure
Tu commenceras debout
Fier d´entendre son moindre murmure
Tu finiras comme les autres
A genoux devant sa serrure
Va la saluer le dimanche
Et pour sa fête, fais le détour
Francis CABREL, Elle m'appartient (c'est une artiste)
"La pause, elle aussi, fait partie de la musique" Stefan ZWEIG