
J'ai déjà beaucoup écrit sur ce post je ne voudrais pas en rajouter, mais je m'accorde avec Franck et Romuald : au nom de quoi le français ne pourrait-il intégrer des termes étrangers à sa propre phonétique et à sa propre orthographe voire à sa propre langue comme le fait paraît-il l'espagnol...
... Et comme Franck, quand les enfants commencent à parler de l'imèl des dents, où - dans un autre registre, c'est un témoignagne direct - de l'academy française (où il n'y a pas que des stars...) ou du peintre "Maïkeul Andje", y' comme un problème
Les orthographes françaises et anglaises sont les deux plus c... du monde, puisque l'une comme l'autre se sont arrêtées au XIIe siècle. Mais ce n'est peut-être pas la peine d'ajouter leurs deux difficultés.

Allez, pour ne pas avoir toujours l'air d'un râleur, voici ce que j'ai lu dans un livre assez précieux (Lucien d'Azay, Ovide ou l'Amour puni, coll. "eux et nous", éd. les belles lettres, p.13 - c'est une sorte de biographie du poète)
" EN 14, après la mort d'Auguste, Tibère a confirmé la relégation. Faute de pouvoir rentrer à Rome, Ovide aimerait bien qu'on le transfère ailleurs. Il fait des pieds et des mains, comme on dit, pour qu'on l'entende, mais de toute évidence, on ne l'entend guère. Les rives de Tomes sont fort loin et il n'y a pas encore de portable ni
d'hymèle."
Joli, non ?