La réaction des syndicalistes est tantôt la colère et l'indignation face à une pratique totalement illégale, tantôt l'humour : "Il faut bien qu'ils s'amusent, et nous, ça nous divertit" déclare Danièle Garnier, responsable de la communication du syndicat CGT. Mais, avec le blocage total de la boîte électronique personnelle de Marc Blondel, délégué général de Force Ouvrière, ce spamming entre dans la pure illégalité. En France, il s'agit d'un délit pénal passible de trois années d'emprisonnement et de 45 000 € d'amende.
[source : Lelezard.com]
Ah ! Si ça avait été le contraire, les syndicalistes seraient déjà en prison et on aurait tout de suite affirmé dans tous les médias qu'ils sont allés trop loin, que les syndicats c'est pas bien, etc.
