dictionnaires monolingues
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dictionnaires monolingues
des dictionnaires entièrement en français, ou anglais, ou tartempion sont-ils possibles avec la machine du dictionnaire de freelang?
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d'où tire-t-on des listes licites de vocabulaire?
l'exemple magistral d'un dictionnaire monolingue spécial utile est celui publié par ogden vers 1942 qui y a redéfini tout l'anglais standard en anglais anglais basic ce qui fait que toute personne maîtrisant les seulement 850 mots dont est composé l'anglais basic est assurément en mesure de comprendre les définitions de 40000 expression de l'anglais standard. cet ouvrage est malheureusement épuisé chez les éditeurs européens ou américains (seul un éditeur japonais en assure toujours la réimpression. avec quels droits, je l'ignore)
un autre exemple est la reprise d'ouvrages épuisés, donc introuvables (et peut-être déjà affranchis de droits d'auteur vu leur âge), surtout à l'étranger
j'ai par exemple en mains un "dictionnaire des racines des langues européennes" de R. Grandsaignes d'Hauterive, paru chez Larousse en 1949 (2ième édition), dont je doute fort que l'on puisse retrouver des exemplaires facilement quelque part. et surtout pas à l'étranger, ou un dictionnaire d'ancien français du même auteur.
naturellement, la question qui se pose aussi : quels fonds de savoir peut-on utiliser légalement. je suppose que les auteurs freelang n'ont pas réinventé de toute pièces les dictionnaires qu'ils ont compilés mais ont recopié des listes préexistantes faisant peut-être (sans doute?) l'objet de droit d'auteurs?
j'avais l'intention par exemple, un exemple tiré, lui, du domaine bilingue, de me taper le vocab en arabe romanisé contenu dans le modeste petit ouvrage de la vieille collection de vulgarisation paru en 1979 en intégrant dans le lexique le vocabulaire des leçons et de celle du vieil ouvrage "les langues pour tous" arabe, donc de créer une liste qui serait un pillage du lexique fourni prêt à l'emploi par guertal mahmed aly, mais amplifié par son propre vocab (qui n'est pas intégralement dans le lexique) et par celui de son confrère plus celui de un ou deux autres ouvrages dont je dispose en plus (assimil, un ouvrage de vulgarisation des ed. de beyrouth etc.).
est-ce licite et où est la limite?
un autre exemple est la reprise d'ouvrages épuisés, donc introuvables (et peut-être déjà affranchis de droits d'auteur vu leur âge), surtout à l'étranger
j'ai par exemple en mains un "dictionnaire des racines des langues européennes" de R. Grandsaignes d'Hauterive, paru chez Larousse en 1949 (2ième édition), dont je doute fort que l'on puisse retrouver des exemplaires facilement quelque part. et surtout pas à l'étranger, ou un dictionnaire d'ancien français du même auteur.
naturellement, la question qui se pose aussi : quels fonds de savoir peut-on utiliser légalement. je suppose que les auteurs freelang n'ont pas réinventé de toute pièces les dictionnaires qu'ils ont compilés mais ont recopié des listes préexistantes faisant peut-être (sans doute?) l'objet de droit d'auteurs?
j'avais l'intention par exemple, un exemple tiré, lui, du domaine bilingue, de me taper le vocab en arabe romanisé contenu dans le modeste petit ouvrage de la vieille collection de vulgarisation paru en 1979 en intégrant dans le lexique le vocabulaire des leçons et de celle du vieil ouvrage "les langues pour tous" arabe, donc de créer une liste qui serait un pillage du lexique fourni prêt à l'emploi par guertal mahmed aly, mais amplifié par son propre vocab (qui n'est pas intégralement dans le lexique) et par celui de son confrère plus celui de un ou deux autres ouvrages dont je dispose en plus (assimil, un ouvrage de vulgarisation des ed. de beyrouth etc.).
est-ce licite et où est la limite?