Vos créations perso
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Mercimoonila wrote:J'aime beaucoup cette photo, en plus elle me rapelle le tableau de Monet "Impression Soleil Levant"

Pour le tableau en question, c'est par là
Les courses hippiques, lorsqu'elles s'y frottent.
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- Guest
Salut tout le monde, je viens de découvrir ce site et je me suis incrit, je trouve que y a pas mal des choses à partager, moi perso je fait de la peiture et donc je vous propose deux mini-pages concernant mon boulot.
A bientôt !!
A bientôt !!
Last edited by Latinus on 25 Feb 2023 17:54, edited 1 time in total.
Reason: liens invalides
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oh lala j'ai vraiment l'air un peu pitoyable moi par rapport à vous, vous faites de trs beau métier
moi je sui quand 4 ème , j'ai encor mon temps
mais si ca peu intéréssé quelqu'un ben moi je fais de la guitare ^^, depuis très longtemps et j'ai de grande capacitées
j'aimeré ètre chercheur ou ètre dans l'astronomie ou faire de la médecine plus tard ( je sais que sa vous passionne
)
par contre..........humm comment aborder ce sujet.......vous ète adulte ( oh lala ca me fais bizzar) vous certain métier et est ce que certain d'entre vous est scientifique ????
car j'aimeré savoir...........la mort comment la voyait vous, qu'on s'arrète ou qu'on continu a vivre?
moi je sui quand 4 ème , j'ai encor mon temps
mais si ca peu intéréssé quelqu'un ben moi je fais de la guitare ^^, depuis très longtemps et j'ai de grande capacitées
j'aimeré ètre chercheur ou ètre dans l'astronomie ou faire de la médecine plus tard ( je sais que sa vous passionne

par contre..........humm comment aborder ce sujet.......vous ète adulte ( oh lala ca me fais bizzar) vous certain métier et est ce que certain d'entre vous est scientifique ????
car j'aimeré savoir...........la mort comment la voyait vous, qu'on s'arrète ou qu'on continu a vivre?
JURIA anata wa watashi no tenshi desu
- Maïwenn
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C'est pas vraiment le thème de ce sujet, Angimania. Je te propose donc d'ouvrir un nouveau topic dans loca blabla. Les anciens sages que nous sommes te répondront avec plaisir.a mort comment la voyait vous, qu'on s'arrète ou qu'on continu a vivre?
Penn ar Bed
The end of the land
Le commencement d'un monde
The end of the land
Le commencement d'un monde
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Expo
Salut tout le monde, je vais profiter de ce rappel de message pour vous inviter voir une expo de mon dernière travail en peinture et ça se passe au Cloître des Billettes à Paris, 24 rue des Archives dans le Marais
Vernissage le Mardi 17 Mai a partir de 18 Hs.!
Voili-voila qui est dit !!
Vernissage le Mardi 17 Mai a partir de 18 Hs.!
Voili-voila qui est dit !!
- Nephilim
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- Joined: 25 Sep 2003 04:33
- Location: où tu veux quand tu veux, baby..!
à défaut d'être doué pour tout ce qui est photo/images, voilà quelques textes (j'aime pas dire "poèmes") parmi ceux que j'ai écrits et que je peux bien rendre "publics"
si z'êtes sages, je vous montrerai quelques photos de Tchéquie, des paysages, etc...Un dimanche et un week-end passés comme d’habitude :
Seul
Seul dans les rues
Seul dans ma chambre
Seul dans ma vie
Seul…devant ma radio
Qui joue des notes que je ne discerne même plus
Les mêmes notes, monotones, fades
Mais lancinantes
Comme une complainte, un hurlement à la lune
Comme cette question, énigme sphyngienne
A cause de laquelle je meurs chaque jour :
Pourquoi ?
Je demande "pourquoi ?"
Mais la seule réponse c’est
Ces mêmes notes monotones, fades…
Et qui me rappellent à la réalité
Et qui me rappellent qui je suis…
Je le sais. Ou plutôt
Je l’apprends chaque jour
Avec la même douleur…lancinante !
Alors, en un long soupir, je fais
La seule chose que je peux faire
La seule chose que je sais faire :
J’écris, je m’écrie,
Avec ce sentiment qui chaque jour, chaque heure
M’étreint le cœur
--------------
Un autre moment d’amertume, alors je me noie dans un livre
Je le traverse en papillon et en ressors ivre
Bateau ivre de Rimbaud je dois survivre
Titubant jusqu’à mon livre où à nouveau je livre
Ma confession, ces lignes grâce auxquelles je puis vivre
Cette fois, c’est ici non pas une déception amoureuse
Mais une pensée qui me rend la gorge pleureuse
"Amour" … qu’est ce mot ?
Appartient-il aux mots ou aux maux ?
Il est un mal pour moi, de son non-être je pâtis
Quand je l’oublie, il revient et me réanéantit
Ainsi que c’en est aujourd’hui
Hier, et demain bien sûr aussi
"Demain est un autre jour" et carpe diem
Mais que faire si je sais déjà demain ? Délicieux dilemme
Tous les jours siéent à ce poème
Car au grand jamais je n’ai encore carpe diem
Là-haut dans ma tour d’ivoire, seule ma pensée va à tire-d’aile
Moi, j’attends. J’attends d’un jour la rencontrer, Elle
---------------
Et au fond, qu’est-ce que l’amour ? C’est si impalpable
Mais pourtant toujours aussi capable
De me faire sentir et me faire subir
Les tortures les pires
Qui soient…
Et alors que vous vous, je vous vois
Vous, la foule aux mille voix
Qui me foule du doigt et rit de moi :
"Ha – ha, regarde-le, chéri, tu le vois ?
Ce pauvre fou, comme il te jalouse, toi ! "
Hors de moi, sans voix, la voie
Du bonheur cent fois, je crois,
J’ai pensé trouver, mais là encore je vois
Une voie sans issue s’ouvrir à moi
Et alors en moi hurle une voix
Chargée de tout l’émoi accumulé en moi
Les mois passent mais jamais je ne vois
Quelqu’un changer ma vie…à moi !
Aidez-moi, j’en ai assez
De toujours devoir me contenter
De voir les autres baigner
Dans cette affligeante félicité !
J’ai goûté à l’amour, je n’aurais pas du !
A présent, je ne puis m’en passer, du
Sentiment de torpeur fiévreuse
Qui sait rendre mon âme ô si bienheureuse
J’aurais dû me taire et terrer
Mes sentiments, les enterrer
Au plus profond de mon être
Et pas un mot à chaque fois ne laisser paraître
Maintenant, il est trop tard, ce fut toujours une erreur
Pour moi que de vouloir offrir mon cœur
Une erreur dont à présent je me mords les doigts
Mais qui chez vous ne suscite aucun émoi
Allons, je le sais, ne le niez pas !
Mes états d’âme ne touchent personne d’autre que moi
Et c’est tenant mon cœur entre les doigts
Le voyant pourrir et se décomposer devant moi
Qu’enfin je réalise
Ce que toujours j’ai refusé qu’on me dise :
"On est en nombre impair sur Terre, c’est une loi
Car il y en a un qui doit rester esseulé
Un qu’Éros fait mine d’avoir oublié"
Vous vous en doutez, cet être c’est moi
-------------
la porte glisse sur la moquette et se referme
même odeur
même horreur
même mal-être même tristesse
je suis mal
je suis pire
ces mots que je couche
ne riment même plus
témoins terrifiants du vide qui m’habite
je cours après ce que je n’aurai jamais
je n’avais pas envie de rentrer
marcher
je veux marcher au son de ma musique
et aller jusqu’au bout du monde
et me jeter
dans l’espace
dans les étoiles
seul oublié inexistant
rejoindre mes mères mes pères
les étoiles
attendez-moi
je suis perdu
------------------
La fenêtre ouverte, j’écoute la ville
Elle dort, je l’entends respirer, elle vit
Les talons d’une demoiselle battent le pavé
Il est tard, elle se dépêche, il faut rentrer
Les soupirs que font les voitures qui passent
Sont autant de bruits de la ville qui rêvasse
Et moi. Et moi ? Mouais…rien à déclarer
Grand sourire, mine heureuse et enjouée
“ Les convenances sont les convenances “. Surtout
Il faut se taire, prétendre, et rien du tout
Ne laisser paraître. “ Salut, ça va ? – Oui oui “
Cette question est devenue automatique, sans vie
Et, pour réponse, j’aimerais tant crier “ Non ! “ …mais
Les convenances sont les convenances. Et ainsi malgré
Ma nouvelle vie, je me morfonds toujours et encore
Il est même des jours où je veux me réveiller mort
Hé oui – encore ces détestables sentiments qui me consument
J’ouvre les yeux, m’arrête, tends l’oreille et l’air hume
Ça sent la pluie, je crois qu’il va encore pleurer
Oui, c’est fort possible. Puisque si seul, vide, désemparé
Tel Phénix je suis né à nouveau. Mais dans quoi ?
L’isolement, la solitude. Hébété, j’en reste coi
Alors que dehors le chant d’un oiseau retentit
Moi, c’est juste contre un coussin que je me blottis
J’en veux pas tellement, juste à me lover dans les bras
De quelqu’un, qui je sais ne me repoussera pas
Oh, qui est cette personne, il faut que vous me le disiez
Ne me laissez pas, venez me chercher… tasukete !
(tasukete = "au secours" en JAP)
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Il n'était que carte postale, voix au loin au téléphone
Voix courtoise mais sourde me rendant aphone
Il était moi, mendiant aux passants
De quoi me lover dans ses sons un instant
Il n'a été qu'une image, un reflet, un idéal
Auquel de tout cœur je m'accrochais quand j'avais mal
Il a été le tiens bon, le ça ira mieux
La promesse de lendemains moins pluvieux
Il fut l'île, le salut. Le refuge, l'oxygène et la sortie
Dont je me languissais et dont dépendait mon équanimie
Il fut l'espoir, jamais la certitude
L'espoir récurrent de la semaine, rassurante habitude
Il était néanmoins un soutien. Mais davantage financier que moral
Grand bien lui en fasse, mais l'argent ne guérit pas le mal
Il a été l'éloignement et le départ
Me forçant, pour le garder, à aller en d'autres parts
Il fut, comme toujours, homme d'affaires
Investissant dans une autre famille quand l'ancienne fonctionne en solitaire
Il est le port d'attache qui se meut sans cesse
Impossible de lancer des amarres, elles cassent toutes, les laisses
Il est celui qui fait toujours ce qu'il lui sied, à lui, de faire
Et moi? Un hère solitaire qui erre en im-père sur terre
You may feel alone when you’re falling asleep
And every time tears roll down your cheeks
But I know your heart belongs to someone you’ve yet to meet
Someday you will be loved
And every time tears roll down your cheeks
But I know your heart belongs to someone you’ve yet to meet
Someday you will be loved
Bon moi j'ai écrit quelques paroles mais paraît que c'est tout simplement incompréhensible...
enfin en même temps ça a déjà quelques mois ces trucs là... 


Last edited by Latinus on 25 Feb 2023 18:04, edited 1 time in total.
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