
Bon, bon, bon : stoooooooooop !
Bon, soyons clairs chère Gayanet :
1. Je veux bien croire dans l'absolu ton histoire de copine ; mais si tu n'as jamais fait de latin, tu ne
pourras pas deviner le sens de ce texte. Je le répète, le latin ce n'est pas de l'espagnol ou de l'anglais, on ne peut pas s'en tirer sans connaître parfaitement ses déclinaisons. Et à moins d'être particulièrement douée pour les langues, il me paraît illusoire de vouloir apprendre en deux jours ce qu'il faut au moins deux ans pour apprendre à une élève de ce que je suppose être ton niveau (le texte étant d'une difficulté de fin quatrième/troisième/début seconde).
2. Que ce soit le tien ou celui d'un autre, ce texte est
forcément un texte scolaire, et qui n'a du reste aucun intérêt. Donc, il s'agit forcément, d'une manière ou d'une autre, d'un devoir scolaire. Donc,
non, non et non nous ne te le traduirons pas tant que tu ne feras pas toi-même (ou ta copine) le premier effort.
3. La seconde traduction que tu nous as donnée
n'a pas été rédigée par toi. Je ne suis pas plus bête que n'importe quel prof, et tu ne me feras pas croire que tu peux avoir écrit six lignes
sans aucune faute de français, en utilisant même des tournures aussi compliquées que "maître de maison" ou le verbe "se fier", alors que tous tes autres messages comportent plusieurs fautes par phrase.
4. La seconde traduction, je te le dis clairement, en tant que prof, je mets zéro tout de suite.
5. Il peut arriver à tout le monde de faire des fautes, et je rappelle à tous les membres qu'il est bon de s'abstenir de tout commentaire à ce sujet (d'autant qu'il ne s'agit pas de SMS dans le cas présent, Gayanet a fait l'effort d'écrire en toute lettre)...
... Cela étant, Gayanet, tu nous as poussé à bout dans cette histoire. Tu n'es pas la première, de loin, à venir nous raconter des histoires incroyables pour que l'on te fasse un devoir de latin. Pardon d'avance si tu es la 500e personne honnête parmi 499 menteurs, mais les histoires de copines, de paris, les traductions prétendument faites toutes seules écrites à l'imparfait du subjonctif, j'en ai ma claque !
Alors je clos ce topique et on en reste là.
La plupart des occasions des troubles du monde sont grammairiennes (Montaigne, II.12)