Je travaille encore sur le sujet des retraites britanniques (hé oui! y en a qui se souçis des ptits vieux

Et donc j'appelle encore une fois votre bienveillance pour me dire ce qui va pas dans le texte résumé suivant. Sachant que Systran n'est pas parfait..

TEXTE EN FRANCAIS:
Longtemps, le régime des retraites britannique, a bien fonctionné : fonctionnant principalement avec le privée qui complète la part très mince de l’Etat.
Aujourd'hui, il est, à son tour, en crise. Une crise qui résulte de certaines causes communes à d'autres pays d'Europe - l'allongement de la durée de vie, le vieillissement de la génération du baby-boom - ou plus spécifiques : la volonté des employeurs de se délester sur les salariés d'une partie des risques financiers du système, volonté liée à la moindre rentabilité des fonds de pension due à la chute de la Bourse.
Cela emmène l’Etat à tirer des conclusions et à prévoir une refonte du système des retraites : ce qui est un conflit majeur au sein du Labour au pouvoir.
1) Structure du système de retraite anglais
L’obtention de la pension de retraite se fait au Royaume-Uni à 60ans pour les femmes et à 65ans pour les hommes, mais les salariés ne sont pas obliger de cesser leur activités pour demander la liquidation de leur pension (celui qui ajourne, au maximum 5 ans, à droit à une pension majorée : « extra pension »).
Le système de retraite britannique se compose comme suit :
-->La pension de base (« basic pension ») : Obtenue si les cotisations ont été payés durant 9/10ième de la vie active (une vie active pour une femme est de 39ans de travail et 44ans pour un homme). Cette pension est de 82.05 Livres par semaine.
-->pensions complémentaires :
- « additional pension » ou SERPS (pension complémentaire publique):
S’applique obligatoirement à tous les salariés qui n’ont pas souscrit à 1 régime privé mis en place par l’employeur ou qui n’ont pas un plan personnel de retraite.
Le montant est proportionnel aux salaires.
- Les retraites privées : L’employeur s’occupe des retraites de ses employés. Le montant de la pension est fonction des investissements versé par chaque membre lorsque le travailleur prend sa retraite.
- « Personnal pension », retraites complémentaires personnels : Les salariés peuvent choisir eux-mêmes leur propre mode de constitution de retraites, de préférence au régime complémentaire publique (par les assurances, les banques, les sociétés immobilières, etc.…).
2) Effritement et crise du système en place
Le niveau de vie des retraités est un problème majeur : la dégradation progressive des prestations de retraites, pendant les années Tacher, a conduit à l’appauvrissement des retraités (fin de l’indexation de la retraite de base sur la croissance des salaires et les prestations du SERPS a été réduites.). Et les systèmes privés, promus par le gouvernement Tacher afin de remplacer le SERPS, ont fait l’objet de plusieurs scandales qui les ont discrédité auprès de l’opinion publique (Affaire Maxwell, ventes abusives, etc..).
Le système en place a comme caractéristique la faible implication de l’Etat : le retraité britannique perçoit une faible pension de l’Etat (environ 130€ par semaine). Ce qui lui assure environ 20% des revenus dont il disposait lorsqu’il travaillait. Résultat : un retraité sur cinq vit au-dessous du seuil de pauvreté. L’avantage du système, c’est qu’il ménage le contribuable : les retraites d’Etat ne représente que 5% du produit national brut (contre 12% en France).
L’essentiel du fardeau des retraites repose donc sur les salariés et les employeurs du secteur privé. Mais les fonds de pension n’étant plus capable de financer les retraites, il laisse la place rapidement à un nouveau système, beaucoup moins favorable, qui ne garantit plus un niveau de retraite précis et fait dépendre étroitement la valeur des pensions des performances aléatoires du marché.
3) Réformes
La Commission chargée de proposer une réforme des retraites, présidé par Lord Turner préconise de repousser l'âge de départ. Le gouvernement de Tony Blair de tranchera avant l'été.
Lord Turner propose de hausser, progressivement, de 65 à 69 ans, l'âge légal du départ à la retraite pour les hommes pour 2050 et de 60 à 65 ans pour les femmes.
Un Britannique sur deux y est hostile, selon les enquêtes d'opinions. Mais, il estime qu'il n'y a pas d'autre moyen de financer les pensions compte tenu à la fois du nombre des baby-boomers, du vieillissement de la population et d'une démographie déclinante. Le recours aux fonds de pension pour garantir ses vieux jours ayant montré ses limites avec l'effondrement boursier du début du millénaire. Et propose d'indexer les retraites non plus sur la hausse des prix – décision thatchérienne –, mais sur celle des salaires.
En outre, il presse le gouvernement d'établir une manière d'épargne-retraite obligatoire (National Pensions Savings Scheme) gérée par l'Etat et financée à hauteur de 5% par le salarié et 3% par son employeur.
Il reconnaît que ses propositions ont un coût au plan fiscal pour les contribuables, mais resteront limités (de 6,2% du PIB à 7,5%).
Mais deux parties s’affrontent au sein du gouvernement : d’un coté Blair qui trouve le plan de Turner « remarquable » et de l’autre Gordon Brown qui le juge « onéreux » et « inapplicable », préférant le privée.
CCL : Ce que l’on appelait autrefois « la Rolls-Royce des retraites » est voué à disparaître, les fonds de pension n'étant plus à même de le financer. Laissant place peu à peu la place à un système où les retraites dépendront des fluctuations du marché. L’Etat n’a donc d’autres choix que de réformer le système en place. Les débats pour les réformes sont toujours en cours et se trouvent au cœur des oppositions au sein du Labour.
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LA TRADUCTION:
A long time, the British mode of the retirements, functioned well: functioning mainly with the private one which supplements the very mean share of the State.
Today, it is, in its turn, in crisis. A crisis which results from certain causes common to other countries of Europe - the lengthening of the lifespan, the ageing of the generation of the baby-boom - or more specific: will of the employers to lighten itself on the employees of part of the financial risks of the system, will related to the least profitability of the funds of pension due to the fall of the Stock Exchange.
That takes along the State to be drawn the conclusions and to envisage a recasting of the system of the retirements: what is a major conflict within the Ploughing with the capacity.
1) Structure of the system of English retirement
Obtaining the retirement pension is done in the United Kingdom with 60ans for the women and 65ans for the men, but the employees are not to oblige to cease their activities to request the liquidation of their pension (that which defers, from the maximum 5 years, with right to a raised pension: “extra pension”).
The British system of retirement is composed as follows:
-->with basic pension (“BASIC pension”): Obtained if the contributions were paid during 9/10th of the active life (an active life for a woman is of 39ans of work and 44ans for a man). This pension is of 82.05 Books per week.
-->complementary pensions:
- “additional pension” or SERPS (public complementary pension):
Apply obligatorily to all the employees who did not subscribe to 1 private mode not set up by the employer or who do not have a personal plan of retirement.
The amount is proportional to the wages.
- Private retirements: The employer deals with the retirements of his employees. The amount of the pension is a function of the investments poured by each member when the worker takes his retirement.
- “Personnal pension”, supplementary pensions personnel: The employees can choose themselves their own mode of constitution of retirements, preferably with the complementary mode public (by the insurances, the banks, the real estate companies, etc….).
2) Crumbling and crisis of the system in place
The standard of living of the pensioners is a major problem: the progressive degradation of the services of retirements, during the years To stain, led to the impoverishment of reprocessed (fine of the indexing of the basic retirement on the growth of the wages and the services of the SERPS was reduced.). And the private systems, promoted by the government To stain in order to replace the SERPS, were the subject of several scandals which discredited them near the public opinion (Maxwell Business, abusive sales, etc.).
The system places from there has like characteristic the weak implication of the State: the British pensioner perceives a weak government pension (approximately 130€ per week). What ensures approximately 20% of the incomes to him of which it laid out when it worked. Result: a pensioner on five lives below the poverty line. The advantage of the system, it is that it spares the taxpayer: the retirements of State accounts for only 5% of the gross national product (against 12% in France).
The essence of the burden of the retirements thus rests on the employees and the employers of the private sector. But the funds of pension not being able to finance the retirements, it quickly leaves the place to a new system, much less favorable, which does not guarantee any more one precise indent level and makes closely depend the value on the pensions of the random performances of the market.
3) Reforms
The Commission charged to propose a reform of the retirements, chaired by Lord Turner recommends to push back the starting age. The government of Tony Blair of will slice before the summer.
Lord Turner proposes to raise, gradually, from 65 to 69 years, the lawful age of the departure to the retirement for the men for 2050 and from 60 to 65 years for the women.
A British on two is hostile there, according to public opinion polls'. But, it estimates that it is not possible other to finance the pensions taking into account at the same time the number of the babies-boomers, of the ageing of the population and a declining demography. The recourse to the funds of pension to guarantee its old days having shown its limits with the stock exchange collapse of the beginning of the millenium. And proposes to index the retirements either on the rise of the prices – decision thatchérienne –, but on that of the wages.
Moreover, it presses the government to establish a manner of saving-retirement obligatory (National Thought Savings Scheme) managed by the State and financed to a total value of 5% by the employee and 3% by his employer.
There recognize that its proposals have a cost in the tax plan for the taxpayers, but will remain limited (of 6,2% of the GDP with 7,5%).
But two parts clash within the government: of with dimensions a Blair who finds the plan of Turner “remarkable” and other Gordon Brown which considers it expensive” and “inapplicable” “, preferring it private.
CCL: What one formerly called “Rolls-Royce of the retirements” is dedicated to disappear, the funds of pension not being more capable to finance it. Leaving place little by little the place with a system where the retirements will depend on the fluctuations of the market. The State has thus other choices only to reform the system in place. The debates for the reforms are always in hand and are in the middle of the oppositions within the Ploughing.
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Merci BEAUCOUP a ceux qui prendront le temps de m'aider!!!!!
