Pour l'arabe la translittération serait atkallam fī

Bon, j'ai confondu un tâ' et un un yâ', mais yâ' est tout à la fin alors j'ai des excuses. J'ai oublié la chadda aussi, mais bon, elle est toute petite, c'est pas ma faute, hem...
Google, en excellent traducteur, comme d'habitude hein, te traduit ton infinitif par un verbe nominal (ou nom verbal, je ne sais plus comment on les appelle en français)
"Nom verbal" chez Blachère et Gaudefroy-Demonbynes, qui disent tout simplement "masdar" dont je découvre l'existence.
Pour l'hébreu, il me semble que ce qui a été pris pour un k final est un r.

Oulà, c'est subtile la différence entre kaf et resh... J'ai de mauvais yeux...
takallama (lui non plus n'a pas de alif) : forme du passé à la troisième du singulier masculin, et c'est la forme de citation des verbes.
Ainsi, pour dire parler de, il faut d'abord choisir si l'on veut rendre une forme de citation ou si l'on veut insérer l'infinitif à une subordonnée.

C'est intéressant : j'ignorais que la forme de citation en arabe était la troisième personne. En latin ou en grec, c'est la première. En sanscrit, c'est la racine nue.
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Un énorme merci à tous les deux pour vos corrections et vos remarques (et bienvenue à Samuel)
La plupart des occasions des troubles du monde sont grammairiennes (Montaigne, II.12)