Traduction calendrier français - basque & français-norvégien
Moderators: kokoyaya, Beaumont, Sisyphe
-
- Guest
Traduction calendrier français - basque & français-norvé
Afin de faire un calendrier franco-basque et franco- norvégien pour des amis, j'aimerai la traduction en euskara et en norvégien des mots suivants :
Calendrier
du bout de mon crayon (ce sont des croquis de voyage...)
les 12 mois de l'année (janvier...
les 7 jours de la semaine (lundi...
Un grand merci d'avance
Phil
Calendrier
du bout de mon crayon (ce sont des croquis de voyage...)
les 12 mois de l'année (janvier...
les 7 jours de la semaine (lundi...
Un grand merci d'avance
Phil
ben je vais pas vous avancez beaucoup mais bon :
januar, februar, mars, april, mai, juni, juli, august, september, oktober, november, desember.
mandag, tirsdag, onsdag, torsdag, fredag, lo/rdag, so/ndag.
kalender.
voili. Mais alors "du bout du crayon" ... ??? aucune idée Je ne sais même pas comment dire en anglais.
januar, februar, mars, april, mai, juni, juli, august, september, oktober, november, desember.
mandag, tirsdag, onsdag, torsdag, fredag, lo/rdag, so/ndag.
kalender.
voili. Mais alors "du bout du crayon" ... ??? aucune idée Je ne sais même pas comment dire en anglais.
Kto ne kurit i ne p'yot, tot zdoroven'kim pomret.
- captncavern
- Membre / Member
- Posts: 494
- Joined: 14 Jun 2002 02:00
- Location: Paris/Banlieu selon les jours
- Contact:
Je suis pas sur a 100% vu que ma langue c'est le suedois, mais c'est assez proche du norvegien... Je mettrai bien un rond sur le premier a de mandag. Sur un clavier normal (pas de portable), ca se fait en tapant ALT+134 et ALT+143 pour la majuscule correspondante.frantsuz wrote:ben je vais pas vous avancez beaucoup mais bon :
januar, februar, mars, april, mai, juni, juli, august, september, oktober, november, desember.
mandag, tirsdag, onsdag, torsdag, fredag, lo/rdag, so/ndag.
kalender.
voili. Mais alors "du bout du crayon" ... ??? aucune idée Je ne sais même pas comment dire en anglais.
Peut etre que sur la partie anglaise du forum vous aurez plus de reponses (evidemment, faut parler anglais ) ou sinon, en demandant directement a un traducteur des langues concernees sur le site http://www.freelang.com
Pourquoi faire simple ?
måndag ? Ben euh me semble pas. Chus pas une référence non plus .
pour le traducteur, il vaut mieux aller sur www.freeleng.net. Il y a plusieurs traducteurs anglais norvégien, mais David (un copain Américano-Canadien, qui n'a pas mis son nom de famille) comprend très bien le français (jlui ai tout appris :pinocchio: ). Son norvégien n'est pas encore parfait mais il ya déjà des chances pour qu'il vous dise comment dire "du bout du crayon (qqn peut me dire comment on dit ça en anglais d'abord ? ou en espagnol ? ou en russe ????)
pour le traducteur, il vaut mieux aller sur www.freeleng.net. Il y a plusieurs traducteurs anglais norvégien, mais David (un copain Américano-Canadien, qui n'a pas mis son nom de famille) comprend très bien le français (jlui ai tout appris :pinocchio: ). Son norvégien n'est pas encore parfait mais il ya déjà des chances pour qu'il vous dise comment dire "du bout du crayon (qqn peut me dire comment on dit ça en anglais d'abord ? ou en espagnol ? ou en russe ????)
Kto ne kurit i ne p'yot, tot zdoroven'kim pomret.
-
- Guest
Très intéressante votre question Frantsuz [enfin du moins m'inspire-t-elle! -- attention, je rappelle que je ne suis nullement prof ni dans la vie ni nulle part; je cherche et j'étudie seulement; et je sens surtout (je n'ai pas vérifié mes allégations dans le dictionnaire français, pour ne pas risquer de m'étendre de trop, et j'espère que je ne fais pas erreur!) Et là, quand on parle "crayon" je connais... car j'ai dessiné, comme a priori Phil Bichon! Donc Salutations "collègue"].
Votre question Frantsuz :
Comment dire "du bout du crayon (qqn peut me dire comment on dit ça en anglais d'abord ? ou en espagnol ? ou en russe ????)
A) D'abord, re-situons la question de l'ami Phil Bichon:
"du bout de mon crayon (ce sont des croquis de voyage...)"
Donc remis à l'endroit :
"ce sont des croquis de voyage" que j'ai fait "du bout de mon crayon"
ou
"ce sont des croquis de voyage" faits "du bout de mon crayon"
Alors là, il y a à mon sens un hic! en français:
selon moi: on prend quelque chose du bout des doigts # l'on dessine à la point du crayon
"Oh le précieux!" ...dirait Moona [ou un nom comme ça - je m'excuse de ne pas m'en souvenir avec précision!]
Non, il y a une différence de taille et elle est précieuse (c'est pas moi qui suit précieux, c'est l'expression):
Quand on prend quelque chose du bout des doigts, généralement c'est avec répulsion, c'est comme si on s'éloignait du sujet, il y a une sorte de mouvement rétractif, on ajoute dans ce cas, parfois, l'expression "berk"!
Il est vrai que l'on peut prendre qc du bout des doigts, comme par exemple des photos ou une peinture pas encore sèche afin de ne pas les salir, ou une feuille d'or pour l'apposer sur une sculpture ou une reliure, etc... Là, il y a également répulsion, mais on peut dire qu'elle est positive, elle est nécessaire soit à l'action soit à ses corollaires (du fait de la fragilité, ou que ce n'est pas sec, etc. Ce verbe "prendre" finalement est une prise casi fictive, c'est une prise mais avec une valeur d'effleurement qui tend à s'éloigner de l'objet.
Or sous jacente à l'expression de Phil Bichon, il y a le verbe "faire", ce qui n'est déjà plus un effleurement, même si également on peut avoir dans l'esprit du jongleur : si on prend un cliché, on a l'impression il ne touche les balles.
Donc, lorsque l'on fait qc, on est corps avec cette chose (au moins un peu),si l'on dessine, on se tend au maximum jusqu'à la pointe du crayon. On devient le crayon, et c'est à la pointe de ce crayon qu'on essaie de se tendre, tendre ses nerfs, tendre sa vue, tendre l'analyse de l'objet, tendre ses connaissance en géométrie de l'espace, tendre ses yeux, son habileté comme on tend un arc pour lancer la flèche. On s'effile comme un crayon.
Et à mi chemin de tout cela, il y a l'expression : je prends à pleine main une cuisse de poulet, autrement dit je n'ai pas peur de me salir, et la cuisse de poulet et moi ne formons qu'un, en bloc, dans l'assiette.
Donc l'expression française à rendre en norvégien russe, anglais, basque, etc... c'est à mon sens :"ce sont des croquis de voyage" réalisés "à la pointe de mon crayon"
[et si on voulait être parfait dans l'expression :
"ce sont des croquis de voyage à la mine de plomb"
B) traduction [alors là, j'ai vais être nettement moins "savant"...! et j'espère que les connaisseurs viendront apporter leur science - dans le bon sens du terme.]
B1) En espagnol, je trouve dans le dico Esp/français [Larousse]:
tocar con las puntas de los dedos = toucher du bout des doigts
al cabo de los dedos = au bout des doigts
compte tenu que "con" veut tout aussi bien dire à, au, avec, auprès, contre, après, de, par, pour, etc...
alors que al cabo = al final = a la extremidad
Ce serait donc cette seconde expression qui semble la plus adéquate à utiliser :
>>donc pour traduire à la pointe de crayon >=> al cabo de mi lapiz
ou en langage poétique : al cabo de lápiz mío [...je m'amuse]
Toutefois, allons voir ce que le dico offre pour le mot "pointe" et si par hasard, on avait une expression modelée sur notre hypothèse en français :
Pour traduire "à la pointe de l'épée", le dico me propose :
a la punta de la espada, por la fuerza de las armas, a viva fuerza
(pour ceux qui ne connaisse pas l'espagnol - j'ai retenu la leçon de Boubbie -, j'explique tout:)
a la punta de la espada = c'est comme un mot à mot, mais sans énergie
por la fuerza de las armas = (littéralement : à la force des armes), là, on voit qu'il y a l'expression de l'effort qui est souligné, qui est même primordiale
a viva fuerza = (littéralement, à vive force) : on peut dire que c'est une sorte de synthèse des deux précédentes expressions, mais il n'est pas dit avec qu'elle arme on agit.
Par contre je vois que l'on propose:
punta seca = pointe sèche (qui est un terme technique)
punta de diamante = pointe de diamant (terme technique)
donc si je voulais traduire à la mine de plomb = a la mina del lápiz (en fait, le plomb en question est fictif, je crois qu'il y a une histoire d'origine..., il faudra chercher pour quoi on dit plomb alors qu'il n'y a pas de plomb), donc en espagnol, ce serait à la mine du crayon.
Je vois aussi : ser al más adelantado = être à la pointe du progrès
Donc pour traduire l'espression de Phil Bichon (selon mon hypothèse en français - et je répète, je sais ce que c'est que dessiner), il me semble qu'il faut user de deux expressions:
a la punta y por la fuerza de los dedos
Que Mesdames et Messieurs les traductrices z'et les traducteurs nous disent comme cela se dit et peut-être plus simplement, et sûrement plus rapidement ! Gracias = Merci.
B2) voyons à présent le dico Anglais-français [Robert Collins, le gros] [je donne mes sources, car j'aime la franchise! Mais pour autant, je ne traduis pas bien, je montre simplement comment on peut essayer de s'en sortir quand on est tout seul face au problème. J'attends que l'on m'explique d'autre façon de procéder, quand on est comme moi non diplômé es-langue, mais qu'on veut tout de même trouver une solution en bon konokmintszmar = têtu comme un âne!]
Mine de plomb = black lead, graphite => at black lead ou at graphite (at = au : ici ?)
crayon à mine dure/douce = hard/soft pencil, pencil with a hard/soft lead
Il y a aussi: pointe sèche : dry-point
à la pointe du crayon = at the tip of the pencil (on doit pouvoir contracter : ah l'aide les traducteurs/-trices...!)
Mais le commentaire de français disparaît dans cette proposition...
Bon, j'arrête là, parce que ça là, je suis mal... : merci d'aller plus loin!
Votre question Frantsuz :
Comment dire "du bout du crayon (qqn peut me dire comment on dit ça en anglais d'abord ? ou en espagnol ? ou en russe ????)
A) D'abord, re-situons la question de l'ami Phil Bichon:
"du bout de mon crayon (ce sont des croquis de voyage...)"
Donc remis à l'endroit :
"ce sont des croquis de voyage" que j'ai fait "du bout de mon crayon"
ou
"ce sont des croquis de voyage" faits "du bout de mon crayon"
Alors là, il y a à mon sens un hic! en français:
selon moi: on prend quelque chose du bout des doigts # l'on dessine à la point du crayon
"Oh le précieux!" ...dirait Moona [ou un nom comme ça - je m'excuse de ne pas m'en souvenir avec précision!]
Non, il y a une différence de taille et elle est précieuse (c'est pas moi qui suit précieux, c'est l'expression):
Quand on prend quelque chose du bout des doigts, généralement c'est avec répulsion, c'est comme si on s'éloignait du sujet, il y a une sorte de mouvement rétractif, on ajoute dans ce cas, parfois, l'expression "berk"!
Il est vrai que l'on peut prendre qc du bout des doigts, comme par exemple des photos ou une peinture pas encore sèche afin de ne pas les salir, ou une feuille d'or pour l'apposer sur une sculpture ou une reliure, etc... Là, il y a également répulsion, mais on peut dire qu'elle est positive, elle est nécessaire soit à l'action soit à ses corollaires (du fait de la fragilité, ou que ce n'est pas sec, etc. Ce verbe "prendre" finalement est une prise casi fictive, c'est une prise mais avec une valeur d'effleurement qui tend à s'éloigner de l'objet.
Or sous jacente à l'expression de Phil Bichon, il y a le verbe "faire", ce qui n'est déjà plus un effleurement, même si également on peut avoir dans l'esprit du jongleur : si on prend un cliché, on a l'impression il ne touche les balles.
Donc, lorsque l'on fait qc, on est corps avec cette chose (au moins un peu),si l'on dessine, on se tend au maximum jusqu'à la pointe du crayon. On devient le crayon, et c'est à la pointe de ce crayon qu'on essaie de se tendre, tendre ses nerfs, tendre sa vue, tendre l'analyse de l'objet, tendre ses connaissance en géométrie de l'espace, tendre ses yeux, son habileté comme on tend un arc pour lancer la flèche. On s'effile comme un crayon.
Et à mi chemin de tout cela, il y a l'expression : je prends à pleine main une cuisse de poulet, autrement dit je n'ai pas peur de me salir, et la cuisse de poulet et moi ne formons qu'un, en bloc, dans l'assiette.
Donc l'expression française à rendre en norvégien russe, anglais, basque, etc... c'est à mon sens :"ce sont des croquis de voyage" réalisés "à la pointe de mon crayon"
[et si on voulait être parfait dans l'expression :
"ce sont des croquis de voyage à la mine de plomb"
B) traduction [alors là, j'ai vais être nettement moins "savant"...! et j'espère que les connaisseurs viendront apporter leur science - dans le bon sens du terme.]
B1) En espagnol, je trouve dans le dico Esp/français [Larousse]:
tocar con las puntas de los dedos = toucher du bout des doigts
al cabo de los dedos = au bout des doigts
compte tenu que "con" veut tout aussi bien dire à, au, avec, auprès, contre, après, de, par, pour, etc...
alors que al cabo = al final = a la extremidad
Ce serait donc cette seconde expression qui semble la plus adéquate à utiliser :
>>donc pour traduire à la pointe de crayon >=> al cabo de mi lapiz
ou en langage poétique : al cabo de lápiz mío [...je m'amuse]
Toutefois, allons voir ce que le dico offre pour le mot "pointe" et si par hasard, on avait une expression modelée sur notre hypothèse en français :
Pour traduire "à la pointe de l'épée", le dico me propose :
a la punta de la espada, por la fuerza de las armas, a viva fuerza
(pour ceux qui ne connaisse pas l'espagnol - j'ai retenu la leçon de Boubbie -, j'explique tout:)
a la punta de la espada = c'est comme un mot à mot, mais sans énergie
por la fuerza de las armas = (littéralement : à la force des armes), là, on voit qu'il y a l'expression de l'effort qui est souligné, qui est même primordiale
a viva fuerza = (littéralement, à vive force) : on peut dire que c'est une sorte de synthèse des deux précédentes expressions, mais il n'est pas dit avec qu'elle arme on agit.
Par contre je vois que l'on propose:
punta seca = pointe sèche (qui est un terme technique)
punta de diamante = pointe de diamant (terme technique)
donc si je voulais traduire à la mine de plomb = a la mina del lápiz (en fait, le plomb en question est fictif, je crois qu'il y a une histoire d'origine..., il faudra chercher pour quoi on dit plomb alors qu'il n'y a pas de plomb), donc en espagnol, ce serait à la mine du crayon.
Je vois aussi : ser al más adelantado = être à la pointe du progrès
Donc pour traduire l'espression de Phil Bichon (selon mon hypothèse en français - et je répète, je sais ce que c'est que dessiner), il me semble qu'il faut user de deux expressions:
a la punta y por la fuerza de los dedos
Que Mesdames et Messieurs les traductrices z'et les traducteurs nous disent comme cela se dit et peut-être plus simplement, et sûrement plus rapidement ! Gracias = Merci.
B2) voyons à présent le dico Anglais-français [Robert Collins, le gros] [je donne mes sources, car j'aime la franchise! Mais pour autant, je ne traduis pas bien, je montre simplement comment on peut essayer de s'en sortir quand on est tout seul face au problème. J'attends que l'on m'explique d'autre façon de procéder, quand on est comme moi non diplômé es-langue, mais qu'on veut tout de même trouver une solution en bon konokmintszmar = têtu comme un âne!]
Mine de plomb = black lead, graphite => at black lead ou at graphite (at = au : ici ?)
crayon à mine dure/douce = hard/soft pencil, pencil with a hard/soft lead
Il y a aussi: pointe sèche : dry-point
à la pointe du crayon = at the tip of the pencil (on doit pouvoir contracter : ah l'aide les traducteurs/-trices...!)
Mais le commentaire de français disparaît dans cette proposition...
Bon, j'arrête là, parce que ça là, je suis mal... : merci d'aller plus loin!
C'est impressionant comme cela ressemble au néerlandaisfrantsuz wrote:ben je vais pas vous avancez beaucoup mais bon :
januar, februar, mars, april, mai, juni, juli, august, september, oktober, november, desember.
mandag, tirsdag, onsdag, torsdag, fredag, lo/rdag, so/ndag.
kalender.
voili. Mais alors "du bout du crayon" ... ??? aucune idée Je ne sais même pas comment dire en anglais.
Les courses hippiques, lorsqu'elles s'y frottent.
Il n'y a pas de hic! en français si l'on considère que "fait du bout de mon crayon" suppose une notion de vitesse. [croquis fait à la va-vite]konokmintszamar wrote:Très intéressante votre question Frantsuz [enfin du moins m'inspire-t-elle! -- attention, je rappelle que je ne suis nullement prof ni dans la vie ni nulle part; je cherche et j'étudie seulement; et je sens surtout (je n'ai pas vérifié mes allégations dans le dictionnaire français, pour ne pas risquer de m'étendre de trop, et j'espère que je ne fais pas erreur!) Et là, quand on parle "crayon" je connais... car j'ai dessiné, comme a priori Phil Bichon! Donc Salutations "collègue"].
Votre question Frantsuz :
Comment dire "du bout du crayon (qqn peut me dire comment on dit ça en anglais d'abord ? ou en espagnol ? ou en russe ????)
A) D'abord, re-situons la question de l'ami Phil Bichon:
"du bout de mon crayon (ce sont des croquis de voyage...)"
Donc remis à l'endroit :
"ce sont des croquis de voyage" que j'ai fait "du bout de mon crayon"
ou
"ce sont des croquis de voyage" faits "du bout de mon crayon"
Alors là, il y a à mon sens un hic! en français:
selon moi: on prend quelque chose du bout des doigts # l'on dessine à la point du crayon
A ne pas confondre avec la notion de finesse qui peut aussi être supposée [aquarelle faite du bout de mon pinceau]
- Moonila -konokmintszamar wrote: "Oh le précieux!" ...dirait Moona [ou un nom comme ça - je m'excuse de ne pas m'en souvenir avec précision!]
Nous n'allons pas débattre sur qui est précieux et qui ne l'est pas (à demi-précieux, précieux et demi). Mais merci de ne pas relancer des débats qui sont clôs. D'autant plus qu'ils sont à l'origine d'un coup de tête de votre part. Supporteriez-vous mal la critique? Dès lors, ne parlons pas "d'ouverture d'esprit". Et abstenez-vous d'en faire à autrui.
Je vais reprendre mon exemple d'une aquarelle, ou d'une esquisse... faite du bout du pinceau ou du crayon, ou du fusain... du bout de l'outil, car cela précise avec quel degré de finesse le travail à été réalisé. (je ne parle pas de croquis, ou c'est la notion de vitesse qui entre en jeu - rappel -).konokmintszamar wrote:Non, il y a une différence de taille et elle est précieuse (c'est pas moi qui suit précieux, c'est l'expression):
Quand on prend quelque chose du bout des doigts, généralement c'est avec répulsion, c'est comme si on s'éloignait du sujet, il y a une sorte de mouvement rétractif, on ajoute dans ce cas, parfois, l'expression "berk"!
Il est vrai que l'on peut prendre qc du bout des doigts, comme par exemple des photos ou une peinture pas encore sèche afin de ne pas les salir, ou une feuille d'or pour l'apposer sur une sculpture ou une reliure, etc... Là, il y a également répulsion, mais on peut dire qu'elle est positive, elle est nécessaire soit à l'action soit à ses corollaires (du fait de la fragilité, ou que ce n'est pas sec, etc. Ce verbe "prendre" finalement est une prise casi fictive, c'est une prise mais avec une valeur d'effleurement qui tend à s'éloigner de l'objet.
Or sous jacente à l'expression de Phil Bichon, il y a le verbe "faire", ce qui n'est déjà plus un effleurement, même si également on peut avoir dans l'esprit du jongleur : si on prend un cliché, on a l'impression il ne touche les balles.
Donc, lorsque l'on fait qc, on est corps avec cette chose (au moins un peu),si l'on dessine, on se tend au maximum jusqu'à la pointe du crayon. On devient le crayon, et c'est à la pointe de ce crayon qu'on essaie de se tendre, tendre ses nerfs, tendre sa vue, tendre l'analyse de l'objet, tendre ses connaissance en géométrie de l'espace, tendre ses yeux, son habileté comme on tend un arc pour lancer la flèche. On s'effile comme un crayon.
Et à mi chemin de tout cela, il y a l'expression : je prends à pleine main une cuisse de poulet, autrement dit je n'ai pas peur de me salir, et la cuisse de poulet et moi ne formons qu'un, en bloc, dans l'assiette.
De-même que l'on peut prendre du recul par rapport à un objet, voir même un concept afin d'en apprécier toutes les subtilités.
Au contraire, lorsque quelque chose est scruté au point que l'on s'y colle le nez... c'est souvent pour y trouver un défaut, ou une anomalie => ce qui peut entrainer par la suite une réaction de recul et/ou de dédain.
Je pense que "du bout de mon crayon" est une bonne formule, lorsque phil bichon en use pour parler de ses croquis de voyage. Vouloir la changer afin qu'elle soit plus "french correct" me semble changer complètement le sens qu'a voulu apporté Phil. Certes, je ne suis pas traducteur, mais il me semble qu'il est primordial de conserver le sens d'un mot, d'une phrase, d'un texte... dans tout exercice de traduction.konokmintszamar wrote: Donc l'expression française à rendre en norvégien russe, anglais, basque, etc... c'est à mon sens :"ce sont des croquis de voyage" réalisés "à la pointe de mon crayon"
[et si on voulait être parfait dans l'expression :
"ce sont des croquis de voyage à la mine de plomb"
B) traduction [alors là, j'ai vais être nettement moins "savant"...! et j'espère que les connaisseurs viendront apporter leur science - dans le bon sens du terme.]
B1) En espagnol, je trouve dans le dico Esp/français [Larousse]:
tocar con las puntas de los dedos = toucher du bout des doigts
al cabo de los dedos = au bout des doigts
compte tenu que "con" veut tout aussi bien dire à, au, avec, auprès, contre, après, de, par, pour, etc...
alors que al cabo = al final = a la extremidad
Ce serait donc cette seconde expression qui semble la plus adéquate à utiliser :
>>donc pour traduire à la pointe de crayon >=> al cabo de mi lapiz
ou en langage poétique : al cabo de lápiz mío [...je m'amuse]
Toutefois, allons voir ce que le dico offre pour le mot "pointe" et si par hasard, on avait une expression modelée sur notre hypothèse en français :
Pour traduire "à la pointe de l'épée", le dico me propose :
a la punta de la espada, por la fuerza de las armas, a viva fuerza
(pour ceux qui ne connaisse pas l'espagnol - j'ai retenu la leçon de Boubbie -, j'explique tout:)
a la punta de la espada = c'est comme un mot à mot, mais sans énergie
por la fuerza de las armas = (littéralement : à la force des armes), là, on voit qu'il y a l'expression de l'effort qui est souligné, qui est même primordiale
a viva fuerza = (littéralement, à vive force) : on peut dire que c'est une sorte de synthèse des deux précédentes expressions, mais il n'est pas dit avec qu'elle arme on agit.
Par contre je vois que l'on propose:
punta seca = pointe sèche (qui est un terme technique)
punta de diamante = pointe de diamant (terme technique)
donc si je voulais traduire à la mine de plomb = a la mina del lápiz (en fait, le plomb en question est fictif, je crois qu'il y a une histoire d'origine..., il faudra chercher pour quoi on dit plomb alors qu'il n'y a pas de plomb), donc en espagnol, ce serait à la mine du crayon.
Je vois aussi : ser al más adelantado = être à la pointe du progrès
Donc pour traduire l'espression de Phil Bichon (selon mon hypothèse en français - et je répète, je sais ce que c'est que dessiner), il me semble qu'il faut user de deux expressions:
a la punta y por la fuerza de los dedos
Que Mesdames et Messieurs les traductrices z'et les traducteurs nous disent comme cela se dit et peut-être plus simplement, et sûrement plus rapidement ! Gracias = Merci.
B2) voyons à présent le dico Anglais-français [Robert Collins, le gros] [je donne mes sources, car j'aime la franchise! Mais pour autant, je ne traduis pas bien, je montre simplement comment on peut essayer de s'en sortir quand on est tout seul face au problème. J'attends que l'on m'explique d'autre façon de procéder, quand on est comme moi non diplômé es-langue, mais qu'on veut tout de même trouver une solution en bon konokmintszmar = têtu comme un âne!]
Mine de plomb = black lead, graphite => at black lead ou at graphite (at = au : ici ?)
crayon à mine dure/douce = hard/soft pencil, pencil with a hard/soft lead
Il y a aussi: pointe sèche : dry-point
à la pointe du crayon = at the tip of the pencil (on doit pouvoir contracter : ah l'aide les traducteurs/-trices...!)
Mais le commentaire de français disparaît dans cette proposition...
Bon, j'arrête là, parce que ça là, je suis mal... : merci d'aller plus loin!
Je terminerai en disant que, malheureusement, un dictionnaire ne suffit pas pour saisir toutes les subtilités d'une langue... et qu'il faut parfois se fier à son intuition. Le dictionnaire "formalise" la langue... c'est qui est assez paradoxal pour une langue vivante.
Latinus
Les courses hippiques, lorsqu'elles s'y frottent.
J'avoue ne pas voir la différence, d'autant qu'il faut un 's' à la fin de "faits" dans les deux cas puisque le participe passé, si je ne m'abuse, s'accorde avec le complément d'objet lorsque celui-ci est placé avant le verbe.konokmintszamar wrote: A) D'abord, re-situons la question de l'ami Phil Bichon:
"du bout de mon crayon (ce sont des croquis de voyage...)"
Donc remis à l'endroit :
"ce sont des croquis de voyage" que j'ai fait "du bout de mon crayon"
ou
"ce sont des croquis de voyage" faits "du bout de mon crayon"
Tout à fait d'accord avec Latinus sur ce point : je doute qu'on puisse faire des esquisses de voyage avec dédain.Alors là, il y a à mon sens un hic! en français:
selon moi: on prend quelque chose du bout des doigts # l'on dessine à la point du crayon
Sus à l'envahisseur, je m'insurge !B1) En espagnol, je trouve dans le dico Esp/français [Larousse]:
tocar con las puntas de los dedos = toucher du bout des doigts
al cabo de los dedos = au bout des doigts
compte tenu que "con" veut tout aussi bien dire à, au, avec, auprès, contre, après, de, par, pour, etc...
alors que al cabo = al final = a la extremidad
Ce serait donc cette seconde expression qui semble la plus adéquate à utiliser :
>>donc pour traduire à la pointe de crayon >=> al cabo de mi lapiz
ou en langage poétique : al cabo de lápiz mío [...je m'amuse]
Les licences poétiques sont souvent accordées à la va-vite on dirait : "al cabo de lápiz mío" n'est en rien plus poétique (ça fait d'ailleurs plus pouet que poète). "Amor mío" pour "mon amour", ça va encore mais pour un crayon !
"Cabo" est faux dans ce cas. Sans entrer dans des débats lingüistico-philosophiques pompeux, on ne fait pas de la trad par copier-coller.
Sans vouloir défoncer des portes ouvertes, je crois que c'est le norvégien et le basque qui sont demandés...B2) voyons à présent le dico Anglais-français...
-
- Guest
Ah M'sieur Kokoya, je suis content de vous revoir! J'ai pensé à vous hier justement, en composant le nouveau sujet "au Aveugles et aux Sourds...", car il me semble avoir lu quelque part, que vous vous occupiez de qch en ce sens. J'espère que vous allez faire des propositions intéressantes.
Sinon, quand vous dites "qu'il faut un 's' à la fin de "faits" dans les deux cas puisque le participe passé, si je ne m'abuse, s'accorde avec le complément d'objet lorsque celui-ci est placé avant le verbe", vous avez raison, je ferais bien de réviser ma grammaire française; je vous ai déjà vu faire des remarques à qq sur ce rapport de conjugaison, et vous devez certainement avoir raison.
Vous relevez mes propos "
voyons à présent le dico Anglais-français... "
et vous dîtes " Sans vouloir défoncer des portes ouvertes, je crois que c'est le norvégien et le basque qui sont demandés... ":
oui, au départ, c'est le norvégien et la basque qui sont demandés, puis Frantsuz a souhaité connaître la traduction d'une partie du sujet en espagnol, en anglais, en norvégien et en russe. Donc là, je n'ai fait que suivre la demande (enfin essayer")!
Pour le reste..., à chacun son point de vue. Le débat est ouvert... Je ne partage votre objection quiest aussi celle de Latinus - au demeurant fort interessante), mais bon..., d'autres peut-être seront d'accord. Je vais d'ailleurs revoir le sujet aussi, de mon côté.
Et à propos de crayon, connaissez-vous ce poème de Jorge Guillén :
A LÁPIZ
¿El mundo será tan fino?
¿Lo veo por nuevas lentes?
Hay rayas. Inteligentes,
Circunscriben un destino,
Sereno así. Yo adivino
Por los ojos, por la mano
Lo que se revuelve arcano
Bajo calidad tan lisa.
Toda un alma se precisa,
Vale. Tras ella me afano.
J'en avais fait, il y a quelques années, la traduction suivante (je ne sais pas si je m'accorderais avec aujourd'hui, mais je vous laisse la juger, faîtes-donc si vous avez le temps!):
AU CRAYON
Le monde serait-il si fin ?
Des lunettes neuves me le font-elles voir ?
Il existe des limites. Intelligentes,
Elles circonscrivent un destin,
Calme ainsi. Je devine
Avec les yeux, avec la main
Le mystère de ce qui bouge
Sous une qualité si unie.
Toute une âme se précise,
Valorise. Je m'évertue à la suivre.
Vous voyez qu'avec un crayon, on peut faire un poème! Avec tout, d'ailleurs, comme en dessin, en aquarelle - M'sieur Latinus, vous pratiquez cet art ? Très difficile, très exigeant mais passionnant! Alors bravo. Il faudrait que vous exposiez quelques exemples. Moi je le ferais bien avec mes dessins, mais je n'ai pas le matériel informatique adéquate. Mais "l'envahisseur" y songera... un jour!
Ok, merci à tous pour une si rapide intervention. Je m'amuse beaucoup avec vous, je passe de très bons moments, et c'est pleins d'enseignements! J'espère que c'est autant le cas pour vous. Et j'espère aussi que d'autres, apporteront le contribution pleine d'images et d'infos. C'est cela un lieu d'échange. Et je ne crois pas sortir du sujet, même si je sors un peu de la forme. Donc libre à vous d'en faire autant!
Et bonne année , bon courage pour la reprise!
Sinon, quand vous dites "qu'il faut un 's' à la fin de "faits" dans les deux cas puisque le participe passé, si je ne m'abuse, s'accorde avec le complément d'objet lorsque celui-ci est placé avant le verbe", vous avez raison, je ferais bien de réviser ma grammaire française; je vous ai déjà vu faire des remarques à qq sur ce rapport de conjugaison, et vous devez certainement avoir raison.
Vous relevez mes propos "
voyons à présent le dico Anglais-français... "
et vous dîtes " Sans vouloir défoncer des portes ouvertes, je crois que c'est le norvégien et le basque qui sont demandés... ":
oui, au départ, c'est le norvégien et la basque qui sont demandés, puis Frantsuz a souhaité connaître la traduction d'une partie du sujet en espagnol, en anglais, en norvégien et en russe. Donc là, je n'ai fait que suivre la demande (enfin essayer")!
Pour le reste..., à chacun son point de vue. Le débat est ouvert... Je ne partage votre objection quiest aussi celle de Latinus - au demeurant fort interessante), mais bon..., d'autres peut-être seront d'accord. Je vais d'ailleurs revoir le sujet aussi, de mon côté.
Et à propos de crayon, connaissez-vous ce poème de Jorge Guillén :
A LÁPIZ
¿El mundo será tan fino?
¿Lo veo por nuevas lentes?
Hay rayas. Inteligentes,
Circunscriben un destino,
Sereno así. Yo adivino
Por los ojos, por la mano
Lo que se revuelve arcano
Bajo calidad tan lisa.
Toda un alma se precisa,
Vale. Tras ella me afano.
J'en avais fait, il y a quelques années, la traduction suivante (je ne sais pas si je m'accorderais avec aujourd'hui, mais je vous laisse la juger, faîtes-donc si vous avez le temps!):
AU CRAYON
Le monde serait-il si fin ?
Des lunettes neuves me le font-elles voir ?
Il existe des limites. Intelligentes,
Elles circonscrivent un destin,
Calme ainsi. Je devine
Avec les yeux, avec la main
Le mystère de ce qui bouge
Sous une qualité si unie.
Toute une âme se précise,
Valorise. Je m'évertue à la suivre.
Vous voyez qu'avec un crayon, on peut faire un poème! Avec tout, d'ailleurs, comme en dessin, en aquarelle - M'sieur Latinus, vous pratiquez cet art ? Très difficile, très exigeant mais passionnant! Alors bravo. Il faudrait que vous exposiez quelques exemples. Moi je le ferais bien avec mes dessins, mais je n'ai pas le matériel informatique adéquate. Mais "l'envahisseur" y songera... un jour!
Ok, merci à tous pour une si rapide intervention. Je m'amuse beaucoup avec vous, je passe de très bons moments, et c'est pleins d'enseignements! J'espère que c'est autant le cas pour vous. Et j'espère aussi que d'autres, apporteront le contribution pleine d'images et d'infos. C'est cela un lieu d'échange. Et je ne crois pas sortir du sujet, même si je sors un peu de la forme. Donc libre à vous d'en faire autant!
Et bonne année , bon courage pour la reprise!
-
- Guest
Ouais bon, mais ma traduction ???
Euh, je vois que mes questions inspirent beaucoup certains...
de toutes façon je ne reviendrais pas sur "du bout de mon crayon" car je l'ai déjà écrit.
Merci LATINUS de votre appui....
ma question n'était pas de savoir si la formule était correcte en francais, ou encore moins la traduction en anglais, espagnol ou russe...
mais en BASQUE et en NORVEGIEN.
Alors tant pis je vais essayer de formuler ma requête ailleurs...
Phil
de toutes façon je ne reviendrais pas sur "du bout de mon crayon" car je l'ai déjà écrit.
Merci LATINUS de votre appui....
ma question n'était pas de savoir si la formule était correcte en francais, ou encore moins la traduction en anglais, espagnol ou russe...
mais en BASQUE et en NORVEGIEN.
Alors tant pis je vais essayer de formuler ma requête ailleurs...
Phil
Re: Ouais bon, mais ma traduction ???
Je suis désolé que votre question soit "détournée" de la sorte...phil bichon wrote:Euh, je vois que mes questions inspirent beaucoup certains...
de toutes façon je ne reviendrais pas sur "du bout de mon crayon" car je l'ai déjà écrit.
Merci LATINUS de votre appui....
ma question n'était pas de savoir si la formule était correcte en francais, ou encore moins la traduction en anglais, espagnol ou russe...
mais en BASQUE et en NORVEGIEN.
Alors tant pis je vais essayer de formuler ma requête ailleurs...
Phil
J'invite les traducteurs à y apporter une réponse dans la limite de leur moyens.
A l'avenir, je veillerai à ce que ce genre de désagrément ne survienne plus. Qu'il faille en froisser certain(s) ou non.
Latinus
Les courses hippiques, lorsqu'elles s'y frottent.
-
- Guest
Re: Ouais bon, mais ma traduction ???
Phil Bichon dit :
"ma question n'était pas de savoir si la formule était correcte en francais"
=> (traduction) donc peut importe que le point de départ soit faux ou discutable, c'est à prendre ou à laisser
"de toutes façon je ne reviendrais pas sur "du bout de mon crayon" car je l'ai déjà écrit"
=> le prix de la gomme étant prohibitif, tout le monde comprendra qu'il est impossible de revenir en arrière même s'il était démontré que l'hypothèse était fausse. Certes, nous en sommes pas là, mais il n'y a pas matière à discuter, c'est comme ça, c'est pas autrement.
"Alors tant pis je vais essayer de formuler ma requête ailleurs..."
=> (traduction) Vous n'avez pas répondu à ma question, vous la discutez et moi je ne changerai rien, je veux la traduction, point final. Puisque c'est comme ça, je vais voir ailleurs.
Mon commentaire : pour un débat, c'est plutôt raté! Mr Phil Bichon vient ici pour une traduction, par pour débatre "obtempérer, sinon taisez-vous!"
à quoi on aurait dû répondre : -Bien mon caporal
- et lui : "fixe"
- tous en ligne par deux : on ouvre les dicos, on s'affaire à chercher la réponse"
- Phil Bichon : c'est bien, "rompez".
- (le lendemain) Phil Bichon : Alors c'est quoi la réponse ? Rien ? Adieux!
à une telle attitude, m'sieur Latinus répond :
"Je suis désolé que votre question soit "détournée" de la sorte..."
=> (traduction) donc peut importe que le point de départ soit faux ou discutable, c'est à prendre ou à laisser
=> (interprétation) "qui ne dit mot consens", donc Mr Phil Bichon est tout à fait fonder en sa requête, et toux ceux qui sont hors sujet sont condamnables et condamnés - donc Mr Latinus se condamane lui-même -il est vrai que s'il a fauté, c'est à causee de Konokmintszamar venu de nulle part; mais peu importe, là n'est pas le problème et surtout la façon de parler et le motif de Phil Bichon sont tout à fait conforme à l'idée que l'on se fait du forum! à bon entendeur salut!
Latinus continue :
"J'invite les traducteurs à y apporter une réponse dans la limite de leur moyens."
=> (traduction) j'invite LES TRADUCTEURS. Les autres, "dégagez! Silence"
Latinus conclue :
"A l'avenir, je veillerai à ce que ce genre de désagrément ne survienne plus. Qu'il faille en froisser certain(s) ou non. "
=> relevé des topics hors sujet :
- Frantsuz (1) = avait le droit de donner la liste des jours en norvégien; tout le reste est hors sujet
- Capverne = hors sujet (le suedois n'a pas sa place ici)
- Frantsuz (2)= paragraphe 1, sujet; le reste hors sujet
- Konokmintszamar = hors sujet (il donnait suite à la partie hors sujet de Frantsuz)
- Latinus (1) = hors sujet
- Latinus (2) = hors sujet
- Kokoya = hors sujet
Voilà, à l'aube de la nouvelle année, les nouvelles orientations du Forum Freelang: ici ne seront autoriser à intervenir que les TRADUCTEURS et sous réserve qu'ils ne sortent pas du sujet posé au départ.
Donc les hors sujet sont priés d'aller voir ailleurs. où ? Mystère! Mais Latinus a dit, et pas de discution. C'est comme ça.
Il est vrai qu'il faut se préparer à la guerre (on n'arrête pas de le répéter sur les ondes et partout. Alors, "fixe!", en rang, et que les intrus, virent!
Voilà le nouveau Forum Freelang version 2003.
Moi, petite
souris ,
petit âne gentil,
tout petit rikiki,
j'ose dire....
1) Chef Latinus : votre décret signe la mort du Forum Freelang
2) Chef Latinus : le Forum Freelang devient la section ouverte au public de la version fermée du Forum Freelang pour les traducteurs
3) Chef Latinus : je crains pour votre audience....à moins que cette remise au pas, soit dans votre esprit, la traduction d'une espérance : voir doubler l'audience du Forum Lokanova, où les exclus du Forum Freelang n'ont plus qu'à aller = on déshabille Pierre, pour habiller Paul! Mais Paul avait déjà un fort d'audience, et Pierre, lui, Pierre plate...dans la nouvelle mouture!
Je prends le risque que mes propos soient considérés comme de l'injure caractérisée, de la désobéissance civile, punissable d'une interdiction de séjour ou de droit de parole!
- Que l'on pende ou qu'on brûle Konokmintszamar!
= je suis d'accord, et dans mon dernier souffle, sur le bûcher ou "du bout" de la corde, je crierai "vive le Forum Freelang d'AVANT 2003"
Voire, je demande à être radié du droit de m'exprimer, car de toute façon, n'étant pas traducteur, je n'ai pas ma place ici, donc il ne faut pas hésiter à aller jusqu'au bout de ses actes, et "du bout" de vos doigts, Cher Latinus, il faut trancher les têtes et je vous invite à faire les manoeuvres adéquates pour nétoyer le forum de tous ces intrus qui parlent d'autres choses que du sujet initié et qui en plus, ne sont pas TRADUCTEURS!
ô le joli Forum Freelang, qu'il était beau, qu'il était grand, qu'il était fort..., mais l'an nouveau mit fin à ce beau cadeau! Notre souvenir sera éternel!
ô grand Chef, croyez-vous que c'est bien raisonnable tout ça ?
"ma question n'était pas de savoir si la formule était correcte en francais"
=> (traduction) donc peut importe que le point de départ soit faux ou discutable, c'est à prendre ou à laisser
"de toutes façon je ne reviendrais pas sur "du bout de mon crayon" car je l'ai déjà écrit"
=> le prix de la gomme étant prohibitif, tout le monde comprendra qu'il est impossible de revenir en arrière même s'il était démontré que l'hypothèse était fausse. Certes, nous en sommes pas là, mais il n'y a pas matière à discuter, c'est comme ça, c'est pas autrement.
"Alors tant pis je vais essayer de formuler ma requête ailleurs..."
=> (traduction) Vous n'avez pas répondu à ma question, vous la discutez et moi je ne changerai rien, je veux la traduction, point final. Puisque c'est comme ça, je vais voir ailleurs.
Mon commentaire : pour un débat, c'est plutôt raté! Mr Phil Bichon vient ici pour une traduction, par pour débatre "obtempérer, sinon taisez-vous!"
à quoi on aurait dû répondre : -Bien mon caporal
- et lui : "fixe"
- tous en ligne par deux : on ouvre les dicos, on s'affaire à chercher la réponse"
- Phil Bichon : c'est bien, "rompez".
- (le lendemain) Phil Bichon : Alors c'est quoi la réponse ? Rien ? Adieux!
à une telle attitude, m'sieur Latinus répond :
"Je suis désolé que votre question soit "détournée" de la sorte..."
=> (traduction) donc peut importe que le point de départ soit faux ou discutable, c'est à prendre ou à laisser
=> (interprétation) "qui ne dit mot consens", donc Mr Phil Bichon est tout à fait fonder en sa requête, et toux ceux qui sont hors sujet sont condamnables et condamnés - donc Mr Latinus se condamane lui-même -il est vrai que s'il a fauté, c'est à causee de Konokmintszamar venu de nulle part; mais peu importe, là n'est pas le problème et surtout la façon de parler et le motif de Phil Bichon sont tout à fait conforme à l'idée que l'on se fait du forum! à bon entendeur salut!
Latinus continue :
"J'invite les traducteurs à y apporter une réponse dans la limite de leur moyens."
=> (traduction) j'invite LES TRADUCTEURS. Les autres, "dégagez! Silence"
Latinus conclue :
"A l'avenir, je veillerai à ce que ce genre de désagrément ne survienne plus. Qu'il faille en froisser certain(s) ou non. "
=> relevé des topics hors sujet :
- Frantsuz (1) = avait le droit de donner la liste des jours en norvégien; tout le reste est hors sujet
- Capverne = hors sujet (le suedois n'a pas sa place ici)
- Frantsuz (2)= paragraphe 1, sujet; le reste hors sujet
- Konokmintszamar = hors sujet (il donnait suite à la partie hors sujet de Frantsuz)
- Latinus (1) = hors sujet
- Latinus (2) = hors sujet
- Kokoya = hors sujet
Voilà, à l'aube de la nouvelle année, les nouvelles orientations du Forum Freelang: ici ne seront autoriser à intervenir que les TRADUCTEURS et sous réserve qu'ils ne sortent pas du sujet posé au départ.
Donc les hors sujet sont priés d'aller voir ailleurs. où ? Mystère! Mais Latinus a dit, et pas de discution. C'est comme ça.
Il est vrai qu'il faut se préparer à la guerre (on n'arrête pas de le répéter sur les ondes et partout. Alors, "fixe!", en rang, et que les intrus, virent!
Voilà le nouveau Forum Freelang version 2003.
Moi, petite
souris ,
petit âne gentil,
tout petit rikiki,
j'ose dire....
1) Chef Latinus : votre décret signe la mort du Forum Freelang
2) Chef Latinus : le Forum Freelang devient la section ouverte au public de la version fermée du Forum Freelang pour les traducteurs
3) Chef Latinus : je crains pour votre audience....à moins que cette remise au pas, soit dans votre esprit, la traduction d'une espérance : voir doubler l'audience du Forum Lokanova, où les exclus du Forum Freelang n'ont plus qu'à aller = on déshabille Pierre, pour habiller Paul! Mais Paul avait déjà un fort d'audience, et Pierre, lui, Pierre plate...dans la nouvelle mouture!
Je prends le risque que mes propos soient considérés comme de l'injure caractérisée, de la désobéissance civile, punissable d'une interdiction de séjour ou de droit de parole!
- Que l'on pende ou qu'on brûle Konokmintszamar!
= je suis d'accord, et dans mon dernier souffle, sur le bûcher ou "du bout" de la corde, je crierai "vive le Forum Freelang d'AVANT 2003"
Voire, je demande à être radié du droit de m'exprimer, car de toute façon, n'étant pas traducteur, je n'ai pas ma place ici, donc il ne faut pas hésiter à aller jusqu'au bout de ses actes, et "du bout" de vos doigts, Cher Latinus, il faut trancher les têtes et je vous invite à faire les manoeuvres adéquates pour nétoyer le forum de tous ces intrus qui parlent d'autres choses que du sujet initié et qui en plus, ne sont pas TRADUCTEURS!
ô le joli Forum Freelang, qu'il était beau, qu'il était grand, qu'il était fort..., mais l'an nouveau mit fin à ce beau cadeau! Notre souvenir sera éternel!
ô grand Chef, croyez-vous que c'est bien raisonnable tout ça ?
[HS] <= comme d'habitude :)
ouh là, il ne faut pas s'emporter !
A+ les cactus !
A izza i ana sacranou
Askaratni kaasoun kaasoun khalidah
Ana mal' anou bihoubbinn raasikhinn
Lan yatroukani abada...
A izza i ana sacranou
Askaratni kaasoun kaasoun khalidah
Ana mal' anou bihoubbinn raasikhinn
Lan yatroukani abada...
J'avais plutôt envie de rester mais là, ça commence à me courir sérieusement sur le haricot.
1) Je n'ai jamais vu de débat sur le crayon : le sens est plus qu'évident.
2) Il y a une différence entre faire un petit écart par rapport au sujet (et Latinus a bien fait d'essayer de recentrer) et envoyer des messages de six pieds de long carrément HS.
3) Pas la peine de s'emporter, ça marche aussi bien avec le sourire.
1) Je n'ai jamais vu de débat sur le crayon : le sens est plus qu'évident.
2) Il y a une différence entre faire un petit écart par rapport au sujet (et Latinus a bien fait d'essayer de recentrer) et envoyer des messages de six pieds de long carrément HS.
3) Pas la peine de s'emporter, ça marche aussi bien avec le sourire.