J'hésite toujours entre 2 solutions pour le côté français :
- mettre la forme normale, par exemple : je chante, j'ai chanté, que je chante
Il suffira dès lors de noter tout (= je chante) et l'on obtient la traduction.
- mettre une forme inversée dont le premier terme devient la cible
qui détermine le reste, par exemple : chante (je-), ai chanté (j'-), chante (que je-)
[exemple concret pris dans le dico des verbes conjugués hongrois:
songions (ns-), avons songé (ns-), songeâmes (ns-) <= côté français # ábrándoztunk <= côté hongrois
Ce qui permet de cibler une forme du verbe et d'obtenir beaucoup sur ce verbe en déroulant ensuite les alinéas, et l'on obtient aussi la personne et sa correspondance dans la langue considérée.
Jusqu'à ce jour, j'ai adopté la seconde solution, à mon sens plus logique dans un dictionnaire de ce type, mais je m'interroge si c'est la bonne solution, ou si la recherche devient dificile, ou l'adaptation à cette façon n'est pas un peu délicate.
J'ai pareille interrogation pour le futur dico hongrois "particularités"
qui s'offre ainsi : maison (sa-) selon mon choix, pour que l'on puisse tout de suite voir ce que maison devient dans la forme POSsessive, et l'on visionera par la même occasion l'emploi de maison sous forme pluriel ou cob (complément d'objet). De même l'on aura du côté français la forme naturelle (c'est-à-dire au singulier) du mot hongrois, ainsi que sa traduction au pluriel, le répondant en hongrois étant sa forme au pluriel hongrois; exemple concret :
côté français : bagoly [plur de-], hiboux # côté hongrois : baglyok
côté français : bagoly [cob de-], hibou # côté hongrois : baglyot
côté français : bagoly [pos de-], hibou (son-) # côté hongrois :baglya
D'où le sondage : faut-il garder la forme adoptée: l'inversion ?
ou revenir à ce qui est naturel en français, quitte à provoquer de longue liste de "sa"..., usage adopté côté hongrois dans le dico de Mathilde pour egy par exemple, ce qui constitue à mon sens une perte de données pour quelqu'un qui connaît peu la langue, car il faut savoir que ça commence toujours par egy, et dérouler une liste c'est prendre le risque de perdre le fil de sa recherche, à mon sens!
Pour le dictionnaire Français-ancien, cette inversion est rare sauf quand en français il est dit "sorte de chien" : je note "chien (sorte de-)", ou grosse bécasse -> "bécasse (grosse-)"
par contre j'emploie en début de ligne le signe "=" et un mot en ancien français et c'est ce mot qu'il faut taper pour avoir le sens, formule employée quand ce mot cible a plusieurs lignes de sens en français ancien
Autrement, toutes les abréviations sont incluses dans le corps du dictionnaire, de sorte qu'à tout moment, il suffit de taper l'abréviation (exemple "pos") et on apprend que c'est = à "possessif", donc pour en connaître l'équivalence, exception faite de 3 signes notés au début
Est-ce clair ? Ou sinon, comment faire mieux ? Il me plairait d'avoir vos avis, de connaître vos expériences heureuses ou malheureuses, vos souhaits (vu que j'ai - peut-être - d'autres dicos en projet). Merci.
