Études... besoin de lumière

Venez tous :o) ... blabla, coup de gueule, délire... Faut que ça bouge!!
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Zalatta
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Études... besoin de lumière

Post by Zalatta »

Coucou tout le monde!

J'allais poster sur le forum en français mais vu que je vais vous raconter un peu ma vie, je préfère poster sur Loka-Blabla (ceci étant, s'il faut le changer... allez-y! :D )

Alors, avant de tenter l'ESIT, j'aimerai faire un master. J'en ai trouvé un à Marseille qui m'intéresse: "Master études européennes". Ils font un peu de tout et de rien... politique, droit, histoire, économie, beaucoup d'anglais appliqué et une autre langue vivante. Ce master équivaut à l'ancienne MST.
Jusque ici, tout va bien. Surtout que je suis "obligée" de partir à l'étranger au second semestre, quel malheur, la pauvre! ;)
Mais tous mes amis ont postulé pour 4 ou 5 masters et moi, juste pour celui là. J'ai essayé d'en trouver des autres sur le net, mais les sites ne sont pas tous au jour. Par exemple, il parait qu'à Paris VIII il y avait la MST mais ils ne parlent plus de ce que c'est devenu avec la réforme.

Donc, voilà ma question, vous connaissez d'autres masters en France qui soient à peu près dans le mème genre?

Ce master me plaît vraiment car si jamais je ne suis pas faite pour devenir interprète, j'aimerai bien travailler dans un ambassade ou une institution (n'importe) comme lien entre pays, surtout en ce qui concerne la culture.

Voilà, désolée d'avoir fait un peu du 3615MYLIFE mais je savais pas à qui demander :confused:
Merci beaucoup d'avance! ;)

Zalatta :drink:
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Sisyphe
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Post by Sisyphe »

:roll: Je ne peux pas te renseigner sur le fond puisque ce n'est pas mon domaine exactement, mais je tiens quand même à te mettre en garde, en tant qu'ancien vaguement syndicaliste étudiant, et surtout observateur habitué de la vie universitaire : prends garde aux trop nombreux "masters" ( :mad: que ce nom m'énerve !) que proposent les facultés. D'abord soit bien sûr qu'il s'agisse de masteïr "pro" (en clair : des DESS) - beaucoup de facs jouent sur l'ambiguïté (genre un master "à finalité professionnel" alors que c'est un DEA).

Il y en a des très sérieux, dont la formation est solide, les stages valables et l'employabilité honorable (très important : les associations d'anciens élèves de ; si elle existe, c'est déjà un argument de sérieux) :evil: Et il y en a aussi beaucoup de bidons ! Plus d'une faculté de province (mais on peut être très provincial à Paris) essaie de se "vendre" en proposant un truc joliment intitulés, du genre "Traduction et marketing vers les nouveaux pays émergents". Et en fait, c'est un peu d'éco niveau DEUG + un bouche-trou (thésard, PRAG, vacataire de tous poils et plumes) diplômé d'histoire qui vient parler de la Chine au 12e siècle, et deux heures de chinois assimil, plus un stage à la mairie de Ploufignac-les-flots, à préparer le festival chinois de la salle des fêtes. J'exagère à peine !

Les facs ont pris la très mauvaise habitude d'essayer de singer les écoles de commerce en proposant des cursus rien-qu'à-eux-que-ça-fait-chic, mais sans en avoir la culture ni le sérieux (et les réformes les y poussent d'ailleurs, mais le problème est antérieur). Le pire, c'est que parfois les mandarins "s'y croient", et sont persuadés que leurs DESS m*rdiques vont réellement faire des cadres d'entreprise.

Donc : prudence, bien se renseigner (ce que tu fais présentement).

Pour le devenir de la mal nommée MST... Officiellement, elle a disparu corps et bien dans les "munsters" ( :mad: putroiuzerpatiticienne ce que ça m'énerve ce nom !), puisqu'elle était à bac+4. Je vais me renseigner...
Rastaman
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Post by Rastaman »

Sisyphe wrote:( :mad: putroiuzerpatiticienne ce que ça m'énerve ce nom
Mais que diable Sisyphe, pourquoi ça??
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Latinus
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Post by Latinus »

En ferait-il tout un fromage ?
Les courses hippiques, lorsqu'elles s'y frottent.
czort
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Post by czort »

Joignons nous a la protestation Sisyphinenne pour trouver une alternative au mot "master" !!! ...

c'est joli master pourtant ;) c'est limite chic
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Zalatta
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Post by Zalatta »

Merci!

Je continue ma recherche et je vous tient au courant, mais c'est dur de trouver un "second cycle" ( :loljump: ) car ça va conditionner notre futur emploi :sweat:
Pour celui de Marseille il paraît que c'est sérieux. Je vous laisse le link pour si jamais vous vous ennuyez dans vos nuits ;)
http://www.up.univ-mrs.fr/~wmstcee/index.htm

Alors, alternatives au mot ma**er: un magister? une première année de second cycle? un meg première année? (il me semble que meg- est la racine indo-européenne de master, mais il me semble :confused: )

Merci!

Zalatta :drink:
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Sisyphe
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Post by Sisyphe »

"to be a master" signifie "être maître".

Donc, si on veut un mot, soit on dérive à partir du français, et cela fait "maîtrise", soit on dérive à partire du latin, et cela fait "magistère". C'est de la linguistique de base, même un ministre peut le savoir.

Les deux mots existaient, et comme nom de diplôme. Passe encore qu'on ait évité le premier pour éviter la confusion (et encore : est-ce qu'on confond les doctorats d'Etat d'autrefois avec les doctorats 82 ?), mais le deuxième était libre.

Ce qui me tue, avec "master", c'est que c'est un mot anglais, et que c'est la première fois qu'une autorité d'Etat comme l'Université entérine un tel anglicisme. Qu'on adopte le régime anglo-saxon des diplômes, je veux bien (on pourrait en discuter, mais soit).

Mais vous savez le pire ? C'est que dans l'avant-projet de loi, il y avait bien "maîtrise". C'est dans le première version de la loi qu'on est passé à "mastaire". Et même : il y a eu un décret-loi (un machin compliqué, qui passe par le Conseil d'Etat, les services du ministères, quinze signatures, une armée de juriste et finalement un passage au conseil des ministres) dont l'article unique était << dans la loi précédente, "mastaire" et partout remplacé par "master" >>. A quoi servent nos maîtres...

L'explication du ministre était : il faut que le titre soit visible internationalement (c'est leur grand trip : le système français est incompréhensible à l'étranger. C'est pas faux. Mais ce n'est pas en inventant un 150e diplôme qu'on va régler les choses). :evil: Dans ce cas appelons tout de suite la licence BA et le doctorat PhD et le bac A-Level ça ira plus vite !

La vérité, c'est qu'on a voulu faire "branché" en adoptant un titre anglais. Il suffit d'écouter l'actuelle pub radiophonique où l'on vante les mérite des universités de métier (censées réhabiliter l'apprentissage). On y dit texte "votre fils pourra y passer un master avec un bel accent anglais". C'est comme les écoles de commerce de province bien françaises qui délivrent des "bachelors" - sans aucun lien avec une université anglophone, juste "pour le faire".

:sun: Mais c'est hors-sujet, donc couic-couic.
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svernoux
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Post by svernoux »

Juste pour dire que je suis d'accord avec Sisyphe (sur le danger des masters) et que personnellement, je te conseillerais de choisir un master plus spécialisé. Tu dis toi-même : "Ils font un peu de tout et de rien" mais tu sais, un peu de tout et de rien, au final, ça signifie surtout rien. Il vaut mieux être spécialisé en quelque chose, même si après tu changes d'orientation, plutôt que de n'être spécialisé en rien. Parce que sp&cialisé en rien, c'est pas très porteur sur le marché du travail.

Par ex, si tu veux aller à l'ESIT après, tu ferais mieux de postuler à un master de traduction, ça augmenterait tes chances d'entrer à l'ESIT. Et franchement, je ne vois pas en quoi être diplômée de traduction ou d'interprétaion (à l'ESIT ou en master) pourrait te gêner pour travailler ensuite dans une ambassade ou une ONG. A contraire.
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Zalatta
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Post by Zalatta »

Merci Sisyphe et Svernoux!

Si j'ai bien compris Svernoux... tu me conseilles de faire un master bien centré, et j'ajoute, dans quelque chose qui me plait vraiment car ensuite je ne suis pas obligé de travailler comme traductrice, c'est ça?
En fait, mon problème c'est que les études des langues me passionent mais je me vois pas plus tard à traduire des textes ou des livres pendant 40 ans de ma vie (voir plus). De part mon caractère (ceux qui m'ont connu au resto on pu le sentir j'imagine) j'ai besoin d'être en contacte avec les gens. Être dans une cabine d'interprétariat ou être chez moi à traduire... j'ai peur que ça me plaise pas :confused:
Vous comprenez?

Et le second problème est que je sors d'une filière littéraire... Licence de Lettres Modernes... je ne sais pas s'ils voudront bien m'accepter dans les masters de traduction ou ils veulent des gens ayant déjà fait de l'éco, du droit, etc.

J'attends vos conseils, merci merci et merci ;)

Zalatta
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didine
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Post by didine »

Zalatta wrote:De part mon caractère (ceux qui m'ont connu au resto on pu le sentir j'imagine) j'ai besoin d'être en contacte avec les gens. Être dans une cabine d'interprétariat ou être chez moi à traduire... j'ai peur que ça me plaise pas :confused:
Vous comprenez?
Et pour le métier d'interprète, c'est vrai que tu passeras ta vie en cabine car la consécutive ne doit représenter que 5 à 10% du marché... La simultanée est elle aussi une véritable forme de communication, mais certes différente. Tu vois les personnes pour qui tu travailles mais tu n'es pas avec elles, et elles ne te voient pas forcément. Tout dépend de la configuration de la salle.

:hello:
flamenco
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Post by flamenco »

Sisyphe wrote: Les facs ont pris la très mauvaise habitude d'essayer de singer les écoles de commerce en proposant des cursus rien-qu'à-eux-que-ça-fait-chic, mais sans en avoir la culture ni le sérieux (et les réformes les y poussent d'ailleurs, mais le problème est antérieur). Le pire, c'est que parfois les mandarins "s'y croient", et sont persuadés que leurs DESS m*rdiques vont réellement faire des cadres d'entreprise.
Super, je ne sais pas si je dois rire ou pleurer... :cry: je choisis de pleurer alors!

Si ce que tu dis est vrai de vrai, je suis dans une m**** monumentale...

Flamy
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Sisyphe
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Post by Sisyphe »

Flamenco wrote: Super, je ne sais pas si je dois rire ou pleurer... je choisis de pleurer alors!

Si ce que tu dis est vrai de vrai, je suis dans une m**** monumentale...
:nono: Attention, j'ai bien dit aussi qu'il y a des DESS tout à fait sérieux ! Les DESS sont installés depuis un certain temps maintenant dans le paysage universitaire, il y a sa légitimité, et certains d'entre eux ont un "passé" (emploi des anciens...) qui plaide en leur faveur. MAIS il faut se méfier, c'est tout.

Dans une grande université (et les universités lilloises en sont), il y a plus de chance pour que les DESS soient sérieux. Mais ce n'est pas évident, ni l'inverse d'ailleurs...

... Et il faut prendre garde au discours "publicitaires" des facultés. C'est pas parce qu'il s'agit d'établissement publics (donc : sans besoin de rentabilité, et un peu hors de l'économie et de son monde impitoyaaableu Daaaallaaaas...) que leurs démarches envers les étudiants sont nobles, désintéressées, et généreuses. C'est même d'une certaine manière pire, parce que les sup' de co' au moins ont une culture commerciale, et se vivent comme des prestataires de services, donc elles ont tout intérêt à être "performantes" (même si c'est au prix d'un "esprit" pas forcément plaisant, à mes yeux).

Les DESS sont voués à offrir des compétences à mi-chemin entre l'enseignement académique (la géo pour la géo, l'espagnol pour l'espagnol) et la sphère économique (les entreprises). Compétences qui peuvent être, précisément, très appréciées par les entreprises. Les boîtes n'ont pas besoin que de commerciaux et de comptables d'un côté et d'ingénieurs de l'autre, elles ont aussi besoin de gens qui connaissent des langues, de la linguistique ou de la géo, et qui sont capables d'appliquer ces compétences aux besoin de l'entreprise (ex. : traduction, réalisation de bases de donnée ou étude du milieu urbain en vue d'un marché spécialisé). Et certaines facs ont développés des DESS dans cet esprit, et ont des résultats tangibles (en clair : une forte employabilité post-diplôme). Mais d'autres cherchent à utiliser les DESS pour faire "comme si" elles étaient des sup' de co' (ou des écoles d'ingé, etc.), et là, ça coince.
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didine
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Post by didine »

Sisyphe wrote::nono: Attention, j'ai bien dit aussi qu'il y a des DESS tout à fait sérieux ! Les DESS sont installés depuis un certain temps maintenant dans le paysage universitaire, il y a sa légitimité, et certains d'entre eux ont un "passé" (emploi des anciens...) qui plaide en leur faveur. MAIS il faut se méfier, c'est tout.

Dans une grande université (et les universités lilloises en sont), il y a plus de chance pour que les DESS soient sérieux. Mais ce n'est pas évident, ni l'inverse d'ailleurs...
Juste un exemple, celui de ma soeur car elle était à Lille 3 comme Flam et moi, ça peut donc l'intéresser. Ma soeur a fait le DESS commerce international de l'UFR des LEA de Lille 3 en 1999-2000 (ça fait déjà si longtemps??? :-o ). Les 15 personnes du DESS ont eu des propositions d'embauche avant même d'avoir été diplômées. C'est un DESS très renommé auprès des entreprises locales, il n'y a donc aucun problème de ce côté. Par contre je ne sais pas dans quelle mesure ce DESS aurait aidé les diplômés s'ils étaient tout de suite allés s'installer dans un autre coin de la France à la fin de l'année universitaire. Je pense que les diplômes des écoles de commerce ont une valeur nationale, alors les DESS de ce type ont plus une valeur au niveau local.
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Re: Études... besoin de lumière

Post by Latinus »

Études... besoin de lumière
Je t'en donne deux d'un coup, j'espère qu'ils feront l'affaire :D
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svernoux
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Post by svernoux »

Zalatta wrote:Si j'ai bien compris Svernoux... tu me conseilles de faire un master bien centré, et j'ajoute, dans quelque chose qui me plait vraiment car ensuite je ne suis pas obligé de travailler comme traductrice, c'est ça?
En fait, mon problème c'est que les études des langues me passionent mais je me vois pas plus tard à traduire des textes ou des livres pendant 40 ans de ma vie (voir plus).
Oui, tu as bien compris ce que je voulais dire. Ne t'inquiète pas pour le "je veux pas faire ça pendant 40 ans" : de toute façon, de nos jours, on n'est plus guère amenés à faire le même métier pendant 40 ans.
Zalatta wrote:De part mon caractère (ceux qui m'ont connu au resto on pu le sentir j'imagine) j'ai besoin d'être en contacte avec les gens. Être dans une cabine d'interprétariat ou être chez moi à traduire... j'ai peur que ça me plaise pas :confused:
Vous comprenez?
Je comprends bien ce que tu veux dire. Même avec un caractère moins expansif que le tien, je connais plein de gens qui après un stage en traduction ont compris qu'ils ne pourraient pas faire ça et qui s'orientent soit vers l'interprétation, soit vers les relations internationales.
Donc, dans ton cas, j'ai envie de te dire : oublie immédiatement la traduction comme métier, tu ne tiendras pas trois jours. Par contre, si tu tiens à entrer en interprétation à l'ESIT, un master de traduction me semble le meilleur chemin à suivre, même si ce n'est pas ce que tu veux faire après. La traduction, c'est ce qui reste le plus proche de l'interprétation quand même (à confirmer par didine).
PAR CONTRE, si tu es d'ores et déjà quasi certaine que l'interprétation ne va pas te convenir, je ne comprends pas pourquoi tu t'orientes vers ça... D'accord, l'ESIT, c'est prestigieux, mais si ce n'est pas le métier que tu veux faire, je ne vois pas l'intérêt. Si tuveux travailler dans les relations internationales, fais donc un DESS/master de relations internationales ! Et point besoin de faire l'ESIT dans ce cas, je ne vois pas ce que ça apportera, à part du stress et énormément de boulot (et de l'argent, non ?)
Zalatta wrote:Et le second problème est que je sors d'une filière littéraire... Licence de Lettres Modernes... je ne sais pas s'ils voudront bien m'accepter dans les masters de traduction ou ils veulent des gens ayant déjà fait de l'éco, du droit, etc.
Pas forcément. Il me semble que 80% des gens qui sortent des masters de trad viennent de filières littéraires...
en ce qui concerne l'admission dans les masters, ça dépend bien sûr de leur spécialisation. Dans le DESS biomédical de Lyon, je sais qu'ils sont très sélectif et comme il y a beaucoup de candidats, ils ne prennent quasiment que des personnes qui ont des notions de médecine ou autres filières scientifiques. Mais franchement, dans les autres DESS, je ne pense pas que ça joue un rôle...
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