Si, si, je confirme. Sur msn ça se voit déjà plus !svernoux wrote:tu dois vachement intérioriser alors, parce que c'est pas du tout l'impression que tu me fais !flamenco wrote:je suis un flippé de la vie alors...
Club des paumés de l'orientation!!
le problème des études qui ont un but plus défini, et pour reprendre la physique comme exemple, c'est que c'est de plus en plus bouché... alors on se retrouve de nouveau devant un dilème... essayer de trouver à tout pris dans son domaine en faisant des petits boulots pour survivre en attendant ou reprendre des études plus "larges" pour aumenter ses chances des trouver quelque chose... pas facile non plusMaïwenn wrote:J'admet tout à fait que ça puisse être flippant. Mais comme tu le dis Svernoux, il faut l'accepter. Ou alors il faut se réorienter vers des études au but plus défini.
Helena
- Maïwenn
- Modératrice Arts & Litté.
- Posts: 17581
- Joined: 14 Nov 2003 17:36
- Location: O Breiz ma bro
- Contact:
Il n'y a rien de facile on dirait ! (quoi ? c'est pas une surprise ?helena wrote:le problème des études qui ont un but plus défini, et pour reprendre la physique comme exemple, c'est que c'est de plus en plus bouché... alors on se retrouve de nouveau devant un dilème... essayer de trouver à tout pris dans son domaine en faisant des petits boulots pour survivre en attendant ou reprendre des études plus "larges" pour aumenter ses chances des trouver quelque chose... pas facile non plusMaïwenn wrote:J'admet tout à fait que ça puisse être flippant. Mais comme tu le dis Svernoux, il faut l'accepter. Ou alors il faut se réorienter vers des études au but plus défini.
Penn ar Bed
The end of the land
Le commencement d'un monde
The end of the land
Le commencement d'un monde
Ouais, y'a rien de facile, mais je crois que cette incertitude est due au fait qu'aujourd'hui, il faut être de plus en plus polyvalent, de plus en plus "flexible", de plus en plus multi-casquette... On ne va plus faire le même métier toute notre vie comme nos parents, on va peut-être faire médecin puis traducteur médical puis traducteur plus médical du tout puis expert auprès de la justice puis finalement caviste...
Ce que je conseillerais le plus je crois, pour ceux qui ont le temps, les moyens financiers, les capacités et enfin l'envie et la motivation, c'est un double cursus (simultané ou successif), surtout pour ceux qui s'orientent vers les langues (langues + droit, langues + sciences dures, langues + informatique...)
Mais je pense que ça va devenir de plus en plus vrai dans toutes les fillières,pas que pour les langues.
Ce que je conseillerais le plus je crois, pour ceux qui ont le temps, les moyens financiers, les capacités et enfin l'envie et la motivation, c'est un double cursus (simultané ou successif), surtout pour ceux qui s'orientent vers les langues (langues + droit, langues + sciences dures, langues + informatique...)
Mais je pense que ça va devenir de plus en plus vrai dans toutes les fillières,pas que pour les langues.
Sonka - Сонька
It's crazy how the time just seems to fly
But for a moment you and I, we caught it
It's crazy how the time just seems to fly
But for a moment you and I, we caught it
J'y ai pensé mais il faut encore savoir vers quoi on veut aller!Maïwenn wrote:J'admet tout à fait que ça puisse être flippant. Mais comme tu le dis Svernoux, il faut l'accepter. Ou alors il faut se réorienter vers des études au but plus défini.
Le terme graduat n'existe pas en France ? en fait ce sont des études qui débouchent sur un diplome de valeur inférieure à une licence. mais bon j'ai entendu dire qu'un gradué se faisait engager plus facilement parce qu'il ne peut pas exiger un salaire aussi elevé que celui du licencié, alors..flamenco wrote:De quoi s'agissait-il?Thissiry wrote:un graduat de 3 ans en tourisme. avec possibilité de prendres des langues supplémentaires en option.
C'est en fait ds ce cas un type d'enseignement modulaire et pas annuel comme à l'unif par exemple . c'est réparti sur 3 ans mais si les cours de" 3éme" sont organisés au bon moment(c'est pas toujours le cas) et qu'on à déjà reussi ceux de "deuxième "on peut très bien le faire en 2 ans.
En ce qui concerne les cours de langues supplémentaires (parce qu'en fait ds la formation en elle meme il y a juste anglais et néerlandais , où j'ai reussi le test d'admission au cours de niveau 4,qui sont obligatoires, ce qui est peu , et encore cette année il y a juste néerlandais ds notre programme)
Donc je me suis inscrite au niveau moyen en espagnol donné le lundi en fin d'après-midi, avec ds quelques mois un certificat si bien sur je reussis le test. de plus c'est recommandé car comme disent les profs avec le néerlandais on ne va pas loin. et ils conseillent aussi de prendre le chinois. il y a des cours tout publics donnés à l'université de Mons-Hainaut que m'ont tentée(avec cette fois ci un certificat de l'unif), mais bon à 150 euros les 30 h de cours pour 120 heures en tout, j'ai préféré ne pas insister, du moins pour cette année...enfin voilà.
1) C'est plutot la 3 è propositionMaïwenn wrote:
Mais par rapport à ton parcours, je ne comprends pas bien. Tu voudrais abandonner ton graduat et retourner à l'unif ? Ou bien tu penses reprendre des études longues après ton graduat ? Ou bien tu te poses des questions sur ce que tu aurais pu faire en restant dans la même voie ?
Sinon, une autre remarque : tu dis qu'aller à Bruxelles aurait posé un gros problème. Mais je crois que pour ses études il faut accepter de bouger. Ils sont de plus en plus rares les étudiants qui font tout leur cursus dans la même ville, surtout maintenant avec le développement des masters. Je sais que financièrement ça peut être difficile. Mais la Belgique doit bien avoir un système de bourses. Et tu peux peut être trouver un petit boulot ? Refuser de bouger c'est se fermer de trop nombreuses portes.
2) J'en ai bien conscience et c'est pour çà que juste avant de rentrer à l'E.I.I j'avais pris une brochure reprenant l'ensemble des possibilitès de formations pour la Wallonie et Bruxelles. il y avait effectivement plus de choix et des filières qui auraient pu m'interesser.mais mon ignorance sur les débouchés était toujours la meme et je n'ai pas trouvé de vraies réponses. voilà pourquoi je suis finalement restée à Mons. je m'étais récemment renseigné sur une formation touristique intéressante à Charleroi, mais ma mère m'a rappellé que l'endroit était pas super fréquentable (c'est le moins qu'on puisse dire), donc je suis une nouvelle fois restée à Mons. il y en a quand meme certains qui viennent d'assez loin ds ma "classe", ce qui veut dire qu'une formation à Mons n'est pas forcèment une solution de facilité.
En ce qui concerne la remarque qu'a également faite Svernoux sur le coté imprevisible des études en sciences humaines(et aussi celles de langues, surtout l'interprétation j'ai l'impression), je tiens préciser que je ne deteste pas du tout les surprises. que les débouchés soient un peu obscurs soit, mais j'aurais au moins aimé savoir s'il y en avaient. et justement j'en avais aucune certitude.
J'avais en autre entendu dire que avec un diplome de l'E.I.I on avait de bonnes chances de se faire employer par la commission européenne qui recruterait beaucoup de traducteurs et d'interpretes de cette université. le salaire de traducteur là dedans doit certainement etre super chouette, mais c'est quand meme passer son temps à un bureau, et je suppose que traduire leurs dossiers ou des trucs ds ce genre là çà doit pas etre une partie de plaisir.
Sinon des études en langues avec quelques cours à options à orientation sciences humaines, comme je l'ai dit,çà me convenait parfaitement. mais bien souvent on peut pas se permettre de faire des études rien que pour le plaisir(surtout quand on n'a pas encore de revenus) et on doit tenir compte des débouchés...et s'il y en a savoir s'ils y en a un qui nous plait.
En ce qui concerne les sciences humaines, j'aurais peut etre du faire preuve de patience et d"endurance"(et c'est pas éxagéré comme mot) et continuer l'aventure.d'ailleurs jusque au mois de Mars à peu près j'étais assez motivée.mais un beau jour au mois d'avril le prof d'anthropo sociale(un de mes cours préférés avec socio où j'avais 15/20 à l'exam) nous a parlé de son métier, anthropologue et nous a expliqué entre les lignes que c'était un metier où il fallait s'accrocher, car il faut beaucoup donner de sa personne, comme par exemple supporter des condtions matérielles et psychologiques peu confortables quand on doit partir s'integrer ds une autre culture(souvent très différentes de notre culture occidentale et rester vivre là bas un an ou deux pour ensuite rendre son rapport qu'on aura fait au fur et à mesure) comme il l'a dit, peu de gens s'en sentent capables.sinon je me suis dit que bien sur il y avait l'autre possibilité, sociologue(les 2 disciplines ont bien sur le meme genre d'objet d'étude, mais les méthodes employèes sont en tout cas différentes).
Mais lors du discours que le prof d'éco pol a fait le jour de la remise des résultats, où il disait qu'il y avait de l'avenir pour un diplomé en sciences humaines ds le Hainaut , pour moi çà sonnait comme un beau mensonge.Je ne suis meme pas sure qu'il y ait des débouchés à Bruxelles ou en Flandres, où j'aurais eventuellement été . je me demande meme si je n'aurais pas du m'expatrier.(j'ai remarqué les services de l'immigration sont en général plutot conciliants avec les immigrès porteurs de beaux diplomes
J'ai donc beaucoup réflèchi à tout çà pendant les vacances. et j'ai finalement jugé que tout cette histoire était trop incertaine, meme pour moi qui n'aime pas pourtant pas beaucoup l'idée d'une vie rangée.mais je pense que ce qui m'a finalement décidé est mon impatience. en tourisme mon interet pour les langues est très utile ,je connais toutes les possibilitès de metiers , et rien ne m'empeche d'évoluer de l'un à l'autre ds ce secteur, ce que je vais d'ailleurs certainement faire. donc au fond je pense que finalement j'ai choisi une formule équilibrée. la possibilité de varier sur base d'un minimum de certitudes. fin de la reflexion (du moins pour le moment
Qu'est-ce que tu veux dire par là (pour l'interprétation)?Thissiry wrote:En ce qui concerne la remarque qu'a également faite Svernoux sur le coté imprevisible des études en sciences humaines(et aussi celles de langues, surtout l'interprétation j'ai l'impression)
C'est malheureusement faux en ce qui concerne les interprètes. Les écoles belges sont même à éviter pour ceux qui visent cette profession.Thissiry wrote:J'avais en autre entendu dire que avec un diplome de l'E.I.I on avait de bonnes chances de se faire employer par la commission européenne qui recruterait beaucoup de traducteurs et d'interpretes de cette université.
Pour l'interprétation je veux dire qu'il y a quand meme beaucoup plus de variété de situations que pour les traducteurs. il travaille pas forcèment en cabine. il peut aussi etre employé ds une ambassade ou ds un tribunal il peut par exemple en avoir un sur le plateau de télé pour interpreter les propos d'un artiste,souvent anglo-saxon.(à moins que ce soit les journalistes bilingues qui le fassent ?)enfin il me semble que c'est quand meme plus varié...didine wrote:Qu'est-ce que tu veux dire par là (pour l'interprétation)?Thissiry wrote:En ce qui concerne la remarque qu'a également faite Svernoux sur le coté imprevisible des études en sciences humaines(et aussi celles de langues, surtout l'interprétation j'ai l'impression)
C'est malheureusement faux en ce qui concerne les interprètes. Les écoles belges sont même à éviter pour ceux qui visent cette profession.Thissiry wrote:J'avais en autre entendu dire que avec un diplome de l'E.I.I on avait de bonnes chances de se faire employer par la commission européenne qui recruterait beaucoup de traducteurs et d'interpretes de cette université.
pour L'E.I c'était aussi un mensonge alors...pourtant il y a beaucoup d'étrangers présent en majorités des italiens, des espagnols et des anglophones. ils ont été bernès eux aussi ? ceci dit çà m'étonne et je me demande pourquoi les unif belges sont de mauvaise qualité alors...