Le roman de loka-blabla...
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- Guest
Ça fait bizarre de faire un truc qui a été vu 2656 fois et auquel personne ne participe ! (Sauf deux ou trois membres, et encore!).
Enfin, c'est internet...c'est l'appel du vide! construire des châteaux de sable le plus près possible de la marée montante.
Je ne râle pas, mais même pas un petit mot "en passant", c'est un peu lourd.
Enfin, c'est internet...c'est l'appel du vide! construire des châteaux de sable le plus près possible de la marée montante.
Je ne râle pas, mais même pas un petit mot "en passant", c'est un peu lourd.
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- Guest
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Mon avis est tout aussi humble, mais se fait l'écho d'une relative frustration. Des deux rôles de la modération, je regrette la prédominance du maintien des règles sur l'animation des forums moins fréquentés.Maïwenn wrote:à mon humble avis, ce n'est pas ça qui va pousser les gens à participer
Le modérateur doit, à mon avis, contribuer activement à la réflexion, à la "Vie" d'un forum.
S'il s'agit uniquement de créer un "café du commerce virtuel" avec des conversations du même niveau, je me demande si c'était bien utile d'inventer internet.
Euh, excuse moi mais je te trouve injuste voire méchant dans ton post (au moins dans la partie que j'ai comprise). En ce qui concerne la présence active du modérateur; relis tous les sujets d'Arts et Littérature et tu verras que la modératrice a lancé de nombreux jeux littéraires, après c'est normal que les gens aient aussi plus ou moins le temps de s'y consacrer.gfa wrote:Mon avis est tout aussi humble, mais se fait l'écho d'une relative frustration. Des deux rôles de la modération, je regrette la prédominance du maintien des règles sur l'animation des forums moins fréquentés.Maïwenn wrote:à mon humble avis, ce n'est pas ça qui va pousser les gens à participer
Le modérateur doit, à mon avis, contribuer activement à la réflexion, à la "Vie" d'un forum.
S'il s'agit uniquement de créer un "café du commerce virtuel" avec des conversations du même niveau, je me demande si c'était bien utile d'inventer internet.
Par contre je comprends pas trop ce que tu veux dire par "la prédominance du maintien des règles sur l'animation des forums moins fréquentés". Peux-tu m'expliquer ?
"Qui trop sauce ses plats jamais ventre plat n'aura"
Humilité, fichtre vertu... On se dit l'être, et on ne l'est plus.gfa wrote: Mon avis est tout aussi humble
La modération a autre chose à faire que de s'inquiéter de la vitesse à observer selon qu'il s'agit de telle ou telle zone du forum.Des deux rôles de la modération, je regrette la prédominance du maintien des règles sur l'animation des forums moins fréquentés.
Le modérateur doit, à mon avis, contribuer activement à la réflexion, à la "Vie" d'un forum.
Je suis cependant tout à fait d'accord avec toi, la modératrice de Art&Littérature ne fait franchement rien de bon pour cette section. Je pense que tout le monde sera du même avi, n'est-ce pas ?
Tu n'es pas un animal en cage, si le niveau des conversations qui ont lieu ici ne te convient pas, tu connais la sortie.S'il s'agit uniquement de créer un "café du commerce virtuel" avec des conversations du même niveau, je me demande si c'était bien utile d'inventer internet.

Les courses hippiques, lorsqu'elles s'y frottent.
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- Guest
Bien que s'adressant à toi, mon intervention est bien "d'ordre général", Gfa.gfa wrote:Il ne faut pas prendre chaque post pour soi, mais peut-être prendre un peu de recul et y voir des considérations d'ordre général.
Comprenne qui pourra.
Tires-en la bonne conclusion.Et le fait que tu répondes systématiquement à chacun de mes posts (et dans trois forums différents) me laisse un peu perplexe.
Quant à la sortie, je la connais...la belle affaire!
Maintenant, revenons-en à notre train, déjà en avance d'une gare.
Si tu désires aller plus en avant dans cet aparté des plus attrayants, choisis le bouton "mp" (c'est sans alternative).
Les courses hippiques, lorsqu'elles s'y frottent.
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- Guest
CHAPITRE PREMIER: (Il faudrait lui trouver un titre non?)
Je pensais que ça n'arrivait que dans les films. Qu'est-ce que je faisais dans cette garde-robe, en pyjama avec un oiseau coiffé d'un bonnet de Père Noël sur l'épaule?Et puis je l'entendais, elle, à quelques mètres de mon refuge, avec sa voix toujours haut perchée...Mais que disait-elle ? et à qui? J'essayais de me concentrer pour identifier la voix de l'homme avec elle. Mais soudain le piaf s'est mis à brailler. Je n'imaginais pas la fin du monde comme un cri d'oiseau ! Evidemment elle l'a entendu et a ouvert la porte de l'armoire.
Qui, d'elle ou moi fut le plus surpris de ce qu'il voyait maintenant ? Je ne saurais le dire. En une fraction de seconde, mon esprit avait enregistré tous les détails de la scène. Et ce que je voyais me laissait pantois.
Lui d'abord.Un balèze sortit tout droit d'un roman de Dashiell Hammett.Le type boxeur, qui vous broie les os d'un seul regard...et là justement, il me regardait...
Et elle, elle... Elle était nue ! En soi c'était déjà un événement étant donné sa pudeur naturelle. Mais en plus elle arborait un immense tatouage au dessus du sein gauche. Il me fallut quelques instants pour comprendre ce qu'il représentait.
Ce dessin, c'était moi.Ou plutôt mon visage...près de son coeur.Ce coeur qui avait battu pour moi l'espace d'une année. Pourquoi avait-elle voulu prolonger dans sa chair une histoire si douloureuse ?
Tout avait pourtant si bien commencé. J'avais, par erreur, embarqué un de ses Tshirts à la laverie. Elle avait répondu à mon annonce affichée au dessus du sèche-linge. Pour me faire pardonner je lui avais offert un café, on était vite devenu inséparables.
Pendant toute une année, j'appris à la découvrir, à graver dans mon esprit chacune de ses mimiques, chacun de ses traits de caractères. Et... oui, je suis tombée amoureuse d'elle. Au bout de cette année, enfin, je parvins à lui avouer mes sentiments pour elle. J'avais tout préparé, la journée, le lieux, l'heure; il ne me restait plus qu'à prendre mon courage à deux mains, ce que je fit:
Elle ne parlait plus depuis longtemps, perdue dans ses pensées.
Je lui sourit.... silence.... puis, en regardant vers le ciel, je lui dit :
- Nina... tu me l'avais interdit, tu ne voulais pas que ça m'arrive, je sais bien que tu voulais me préserver. J'ai longtemps essayé de croire que nous vivions simplement une merveilleuse histoire d'amitié, mais c'est impossible. Nina, je t'aime.
-Dominique,...ce n'est pas possible et tu le sais...
-Mais Nina ?...
-Non, je dois partir! Loin, très loin...
-Nina, à quoi ça sert de partir loin s'il n'y a plus personne lorsqu'on revient?
Et elle se leva, laissant ma phrase sans réponse..Et voilà...
Ensuite, pour combler ma solitude, il y a eu ce Forum sur internet...les échanges virtuels puis la première rencontre dans le "réel"...Un membre de ce Forum avait posté "Et si on fêtait Noël ensemble ?"...
Ce soir là, je m'étais préparé comme pour passer un examen: j'étais tendu et mon ventre me rappellait chaque seconde que j'étais face à un terrain inconnu. Le chemin vers le petit restaurant miteux où nous nous étions donnés rendez-vous me semblait étrangement long. Je fit plusieurs pauses pour reprendre ma respiration: j'étais en retard.
En arrivant, j'ai jeté un regard furtif à travers l'unique vitre ouvrant sur la rue:
Un père noêl en plastique mollement accoudé contre le distributeur de cacahouètes constituait l'unique décoration de ce lieu. Une jeune femme était assise à une table: elle devait avoir une trentaine d'années son teint était clair et ses cheveux d'un blond parfait faisaient ressortir la couleur noisette de ses yeux. Un homme fit son entrée par la porte de service: grand, brun, regard assuré. il alla s'assoir face à la jeune femme et leva la main en direction de l'homme derrière le bar, celui-ci repondit par un hochement de la tête.
Au moment où je me decidais à entrer, une main se posa sur mon épaule.
-Dominique ? c’est bien toi, Dominique ?
-Euh...oui…
-Salut, moi c’est Latinus…enfin Lat. Bon, je te le dis tout de suite, c’est le bordel !Moi, je le savais bien que deux ans pour organiser une rencontre, c’était trop court !Et depuis le rétablissement de la monarchie en France, c’est encore pire qu’avant…
-Ha…
-Bon, je vais devoir te laisser parce que je dois aller chercher Sisyphe au poste…
-Sisyphe ?!
-Ben oui, il y a eu un contrôle de police : « z’avez vos papiers, jeune homme ? » qu’on lui a dit. Lui, il a répondu que bien qu’il n’avait pas ses livres sur lui (et sans ses livres,il était stupide), il lui semblait que depuis le Haut Moyen Age, la formule consacrée était « puis-je avoir vos papiers, s’il vous plait Monsieur »...Pas un latiniste, le flic….
-Et bien…
-Et puis il y a Beaumont et Maïwenn : ils sont bloqués dans la zone de transit de l’aéroport de Sarkoland… Ils doivent passer un test de connaissance du Français vu qu’ils ne résident plus en France depuis quelques années…
-Je peux t’aider ?
-En fait, oui ! Tu veux bien t’occuper de la mascotte du site ? C’est l’oiseau de KoKoyaya… Faut pas t ‘étonner, il ressemble à son avatar…
CHAPITRE SECOND:
"Joyeux Noël!" était écrit sur le comptoir. Sisyphe était assis dans un coin du commissariat, sans vraiment comprendre la raison profonde de son arrestation. L'homme à l'accueil n'était pas vraiment du genre prolixe et les seuls sons qu'il laissait entendre étaient les bruits peu ragoutants de la mastication de son sandwich au thon et à la tomate. Le téléphone sonnait parfois, mais le policier continuait consciencieusement à mâcher sans y prêter la moindre attention. Heureusement, Lat' devait arriver d'un moment à l'autre, et il savait que, comparée à la suite des événements, cette petite aparté dans ce lieu ressemblerait à un instant de plaisir...
-Bon suivez-moi dans mon bureau ! J’y comprends rien à vos trucs d’internet !
-Heu…oui.
-Donc, en résumé, vous êtes membre d’une communauté et vous aidez les gens à apprendre des langues, c’est ça ?
-En gros, oui !
-Et vous, c’est quoi votre langue ?
-Ma langue ?
-Ben oui, vous aidez les gens qui veulent apprendre quelle langue ?
-Ah ! le latin,…
-Hahahaha, vous êtes peinard ! y’ a plus personne qui parle latin, sauf en Italie bien sûr !
-…
-Et votre copain, Latinus, il parle latin aussi, je suppose ?
-Heu non… Lui, il est Belge et il parle français.
-Hum ?! Et c’est quoi ce truc ? un zavatar ?
-Non non, des avatars, un avatar…
-Ouais ! votre navatar, c’est quoi ? un code ? dites c’est mal embarqué votre histoire !
J’me demande si je vais pas refiler le dossier aux Mœurs moi !
-Les Moeurs ? pourquoi les Moeurs ?
-Ouais, c'est quoi cet'histoire de rencontre ? Vous en connaissez beaucoup des gens qui ne se connaissent pas et qui veulent passer Noël ensemble ?
-Heu...
Je pensais que ça n'arrivait que dans les films. Qu'est-ce que je faisais dans cette garde-robe, en pyjama avec un oiseau coiffé d'un bonnet de Père Noël sur l'épaule?Et puis je l'entendais, elle, à quelques mètres de mon refuge, avec sa voix toujours haut perchée...Mais que disait-elle ? et à qui? J'essayais de me concentrer pour identifier la voix de l'homme avec elle. Mais soudain le piaf s'est mis à brailler. Je n'imaginais pas la fin du monde comme un cri d'oiseau ! Evidemment elle l'a entendu et a ouvert la porte de l'armoire.
Qui, d'elle ou moi fut le plus surpris de ce qu'il voyait maintenant ? Je ne saurais le dire. En une fraction de seconde, mon esprit avait enregistré tous les détails de la scène. Et ce que je voyais me laissait pantois.
Lui d'abord.Un balèze sortit tout droit d'un roman de Dashiell Hammett.Le type boxeur, qui vous broie les os d'un seul regard...et là justement, il me regardait...
Et elle, elle... Elle était nue ! En soi c'était déjà un événement étant donné sa pudeur naturelle. Mais en plus elle arborait un immense tatouage au dessus du sein gauche. Il me fallut quelques instants pour comprendre ce qu'il représentait.
Ce dessin, c'était moi.Ou plutôt mon visage...près de son coeur.Ce coeur qui avait battu pour moi l'espace d'une année. Pourquoi avait-elle voulu prolonger dans sa chair une histoire si douloureuse ?
Tout avait pourtant si bien commencé. J'avais, par erreur, embarqué un de ses Tshirts à la laverie. Elle avait répondu à mon annonce affichée au dessus du sèche-linge. Pour me faire pardonner je lui avais offert un café, on était vite devenu inséparables.
Pendant toute une année, j'appris à la découvrir, à graver dans mon esprit chacune de ses mimiques, chacun de ses traits de caractères. Et... oui, je suis tombée amoureuse d'elle. Au bout de cette année, enfin, je parvins à lui avouer mes sentiments pour elle. J'avais tout préparé, la journée, le lieux, l'heure; il ne me restait plus qu'à prendre mon courage à deux mains, ce que je fit:
Elle ne parlait plus depuis longtemps, perdue dans ses pensées.
Je lui sourit.... silence.... puis, en regardant vers le ciel, je lui dit :
- Nina... tu me l'avais interdit, tu ne voulais pas que ça m'arrive, je sais bien que tu voulais me préserver. J'ai longtemps essayé de croire que nous vivions simplement une merveilleuse histoire d'amitié, mais c'est impossible. Nina, je t'aime.
-Dominique,...ce n'est pas possible et tu le sais...
-Mais Nina ?...
-Non, je dois partir! Loin, très loin...
-Nina, à quoi ça sert de partir loin s'il n'y a plus personne lorsqu'on revient?
Et elle se leva, laissant ma phrase sans réponse..Et voilà...
Ensuite, pour combler ma solitude, il y a eu ce Forum sur internet...les échanges virtuels puis la première rencontre dans le "réel"...Un membre de ce Forum avait posté "Et si on fêtait Noël ensemble ?"...
Ce soir là, je m'étais préparé comme pour passer un examen: j'étais tendu et mon ventre me rappellait chaque seconde que j'étais face à un terrain inconnu. Le chemin vers le petit restaurant miteux où nous nous étions donnés rendez-vous me semblait étrangement long. Je fit plusieurs pauses pour reprendre ma respiration: j'étais en retard.
En arrivant, j'ai jeté un regard furtif à travers l'unique vitre ouvrant sur la rue:
Un père noêl en plastique mollement accoudé contre le distributeur de cacahouètes constituait l'unique décoration de ce lieu. Une jeune femme était assise à une table: elle devait avoir une trentaine d'années son teint était clair et ses cheveux d'un blond parfait faisaient ressortir la couleur noisette de ses yeux. Un homme fit son entrée par la porte de service: grand, brun, regard assuré. il alla s'assoir face à la jeune femme et leva la main en direction de l'homme derrière le bar, celui-ci repondit par un hochement de la tête.
Au moment où je me decidais à entrer, une main se posa sur mon épaule.
-Dominique ? c’est bien toi, Dominique ?
-Euh...oui…
-Salut, moi c’est Latinus…enfin Lat. Bon, je te le dis tout de suite, c’est le bordel !Moi, je le savais bien que deux ans pour organiser une rencontre, c’était trop court !Et depuis le rétablissement de la monarchie en France, c’est encore pire qu’avant…
-Ha…
-Bon, je vais devoir te laisser parce que je dois aller chercher Sisyphe au poste…
-Sisyphe ?!
-Ben oui, il y a eu un contrôle de police : « z’avez vos papiers, jeune homme ? » qu’on lui a dit. Lui, il a répondu que bien qu’il n’avait pas ses livres sur lui (et sans ses livres,il était stupide), il lui semblait que depuis le Haut Moyen Age, la formule consacrée était « puis-je avoir vos papiers, s’il vous plait Monsieur »...Pas un latiniste, le flic….
-Et bien…
-Et puis il y a Beaumont et Maïwenn : ils sont bloqués dans la zone de transit de l’aéroport de Sarkoland… Ils doivent passer un test de connaissance du Français vu qu’ils ne résident plus en France depuis quelques années…
-Je peux t’aider ?
-En fait, oui ! Tu veux bien t’occuper de la mascotte du site ? C’est l’oiseau de KoKoyaya… Faut pas t ‘étonner, il ressemble à son avatar…
CHAPITRE SECOND:
"Joyeux Noël!" était écrit sur le comptoir. Sisyphe était assis dans un coin du commissariat, sans vraiment comprendre la raison profonde de son arrestation. L'homme à l'accueil n'était pas vraiment du genre prolixe et les seuls sons qu'il laissait entendre étaient les bruits peu ragoutants de la mastication de son sandwich au thon et à la tomate. Le téléphone sonnait parfois, mais le policier continuait consciencieusement à mâcher sans y prêter la moindre attention. Heureusement, Lat' devait arriver d'un moment à l'autre, et il savait que, comparée à la suite des événements, cette petite aparté dans ce lieu ressemblerait à un instant de plaisir...
-Bon suivez-moi dans mon bureau ! J’y comprends rien à vos trucs d’internet !
-Heu…oui.
-Donc, en résumé, vous êtes membre d’une communauté et vous aidez les gens à apprendre des langues, c’est ça ?
-En gros, oui !
-Et vous, c’est quoi votre langue ?
-Ma langue ?
-Ben oui, vous aidez les gens qui veulent apprendre quelle langue ?
-Ah ! le latin,…
-Hahahaha, vous êtes peinard ! y’ a plus personne qui parle latin, sauf en Italie bien sûr !
-…
-Et votre copain, Latinus, il parle latin aussi, je suppose ?
-Heu non… Lui, il est Belge et il parle français.
-Hum ?! Et c’est quoi ce truc ? un zavatar ?
-Non non, des avatars, un avatar…
-Ouais ! votre navatar, c’est quoi ? un code ? dites c’est mal embarqué votre histoire !
J’me demande si je vais pas refiler le dossier aux Mœurs moi !
-Les Moeurs ? pourquoi les Moeurs ?
-Ouais, c'est quoi cet'histoire de rencontre ? Vous en connaissez beaucoup des gens qui ne se connaissent pas et qui veulent passer Noël ensemble ?
-Heu...
Avant de nous distraire en rédaction, il me semble qu'une modératrice devrait recevoir quelques explications quant aux propos tenus ou, soyons fou, se voir présenter des excuses.
Aie donc l'initiative du "click sur le bouton mp" de la personne concernée.
Il n'est pas raisonnable de reprendre une activité de participant avant ce petit passage obligé.
Ce topic est fermé en attendant.
Bonne soirée et week-end.
Lat
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Edit : Puisque la personne concernée nous a informé avoir pris le large (...) je reouvre ce topic.
Que toute autre personne se sente libre d'y participer
Aie donc l'initiative du "click sur le bouton mp" de la personne concernée.
Il n'est pas raisonnable de reprendre une activité de participant avant ce petit passage obligé.
Ce topic est fermé en attendant.
Bonne soirée et week-end.
Lat
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Edit : Puisque la personne concernée nous a informé avoir pris le large (...) je reouvre ce topic.
Que toute autre personne se sente libre d'y participer

Les courses hippiques, lorsqu'elles s'y frottent.