[Jeu] "Paroles, paroles, paroles..."




Récapitulatif des règles
Principe de base :
Le premier joueur cite un passage de paroles de chansons (entre 2 et 8 « vers » maxi, selon l'humeur).
Le joueur suivant doit citer lui aussi un extrait de chanson contenant le dernier mot de la citation précédente.
Et ainsi de suite.
Règles à ne pas oublier !
1) Les paroles citées peuvent l’être en français ou bien en toute autre langue (mais dans ce cas, il faut fournir une traduction libre entre parenthèses).
2) Si le dernier mot est un verbe, il peut être conjugué à n'importe quel temps et à n'importe quelle personne dans l'extrait suivant.
De même pour les adjectifs qui peuvent être au pluriel ou au singulier, au masculin ou au féminin.
La même règle s’applique pour les comparatifs/superlatifs anglais (high >> higher ou highest, par exemple) ainsi que pour les cas similaires de formes grammaticales basées sur l’ajout de préfixes/suffixes, dans quelque langue que ce soit.
3) Si on peut modifier conjugaisons et accords, on ne peut en revanche pas changer la catégorie grammaticale à laquelle le mot appartient.
Mais, on a le droit d'utiliser un même mot dans un sens complètement différent (du moment qu’on ne modifie pas sa catégorie grammaticale). Ex : « glace » au sens de « miroir » / « glace » au sens de « crème glacée ».
4) Pour faciliter le passage d'une langue à l'autre le cas échéant, on peut utiliser un homophone ou homographe (cf. mélodie >> melody en anglais).
Cela veut dire que, dans les deux langues, cela s'écrit de la même façon OU que cela se prononce (plus ou moins) de la même manière.
Le tout est que le dernier mot signifie quelque chose dans une autre langue : on peut avoir, par exemple, gâteau > gato (mais pas gâteau > pastel ou gato > chat)... Ou bien créer > creer : même orthographe ou presque mais prononciation différente, et sens différent.
En cas d'utilisation d'un prénom dans une langue donnée, on a le droit de le transposer dans sa forme communément acceptée dans une autre langue.
Le problème, dans le cas de Léo et celui de Manu, c'est que les homophones ne sont autorisés que pour le changement de langue. C'est plus clair, comme ça ?

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Allez, allez, on reste motivés !

Pour la suite, je propose (avec souris en verbe...) :
Oh oh oh oh...
Quand tu souris
Je m'envole au paradis
Je vais à Rio de Janeiro
Je prends ta main
Et nos cœurs font plus de bruit
Que toutes les cymbales
Du carnaval
Cl. François - Je vais à Rio
Maman disait toujours : La vie, c'est comme une boîte de chocolats ; on sait jamais sur quoi on va tomber...
C'est faitchatoune wrote:Ce serait peut-être plus simple de faire figurer la totalité des règles dans le premier post.

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Combien de coups, crois-tu avant que tu dénonces ?
Combien de peurs avant de supplier ?
Combien de jours de faim, as-tu la réponse ?
Avant de te battre, avant de ramper
Combien de pouvoir, avant d'en abuser ?
De désillusion avant de quitter ?
Combien d'alcool pour tenir à la mine ?
De chantage avant que tu ne t'inclines ?
Goldman - Un goût sur tes lèvres
Maman disait toujours : La vie, c'est comme une boîte de chocolats ; on sait jamais sur quoi on va tomber...
Ce soir la femme du torero
Dormira sur ses deux oreilles
Est-ce que ce monde est sérieux ?
Est-ce que ce monde est sérieux ?
J'en ai poursuivi des fantômes
Presque touché leurs ballerines
Ils ont frappé fort dans mon cou
Pour que je m'incline
Ils sortent d'où ces acrobates
Avec leurs costumes de papier ?
J'ai jamais appris à me battre
Contre des poupées
Sentir le sable sous ma tête
C'est fou comme ça peut faire du bien
J'ai prié pour que tout s'arrête
Andalousie, je me souviens
F. Cabrel : La Corrida
Dormira sur ses deux oreilles
Est-ce que ce monde est sérieux ?
Est-ce que ce monde est sérieux ?
J'en ai poursuivi des fantômes
Presque touché leurs ballerines
Ils ont frappé fort dans mon cou
Pour que je m'incline
Ils sortent d'où ces acrobates
Avec leurs costumes de papier ?
J'ai jamais appris à me battre
Contre des poupées
Sentir le sable sous ma tête
C'est fou comme ça peut faire du bien
J'ai prié pour que tout s'arrête
Andalousie, je me souviens
F. Cabrel : La Corrida
Personne n'est en charge de ton bonheur, sauf toi.
Elle qui l'aimait tant
elle le trouvait le plus beau
de Saint Jean
elle restait grisée
sans volonté
sous ses baisers
Sans plus réfléchir, elle lui donnait
le meilleur de son être
beau parleur chaque fois
qu'il mentait
Patrick Bruel - Mon amant de Saint-Jean
elle le trouvait le plus beau
de Saint Jean
elle restait grisée
sans volonté
sous ses baisers
Sans plus réfléchir, elle lui donnait
le meilleur de son être
beau parleur chaque fois
qu'il mentait
Patrick Bruel - Mon amant de Saint-Jean
Maman disait toujours : La vie, c'est comme une boîte de chocolats ; on sait jamais sur quoi on va tomber...