Sisyphe aurait dû être des nôtres, mais sa place est restée vide.
J'ai envoyé un SMS (le troisième, je crois, depuis le début de mon existence) depuis mon ordinateur au portable de M. Svernoux, faute de pouvoir appeler (j'ai oublié de payer le téléphone ! Riez pas, c'est vrai. Enfin, plus exactement, je conteste une sommes à F. Télécom).
Enfin bref, n'ayant pas mis mon réveil, je me suis réveillé à 10 heures trente sonnées, donc c'était illusoire d'arriver à 11h30 (je n'habite plus à Perrache). J'ai voulu passer pour les cafés, mais vous deviez être déjà partis (où alors je ne vous ai pas vus dans la salle : je ne me souvenais plus qu'elle fût si grande !).
Désolé, donc, surtout pour Aliciane que je ne verrai plus avant longtemps, j'imagine. Les autres, on se reverra bien vite.
La plupart des occasions des troubles du monde sont grammairiennes (Montaigne, II.12)