
Avis au grand chef manitou de ce jeu : ce serait considéré comme triche que je donne lien d'une vidéo pour expliquer à ceux qui ne reconnaissent pas ?
Parce que quand même... c'est à Paris hein... tout le monde connait pas...
Pas du tout, tu peux y aller.Chrysopale wrote:Avis au grand chef manitou de ce jeu : ce serait considéré comme triche que je donne lien d'une vidéo pour expliquer à ceux qui ne reconnaissent pas ?
Je ne saurais pas non plus... J'ai déjà raffolé des pains au chocolat, mais on dirait que j'ai eu ce qu'il me fallait et maintenant je "trippe" plus sur les petits pains chauds, les pains multigrains...Chrysopale wrote:Pour les p'tits pains au chocolat, je sais pas dire, je suis pas allée à l'hôtel.![]()
sans doute est ce parce que tu l'as vu avec un regard d'enfant à l'époque... il y a des souvenir qui restent eternellement gravésAnuanua wrote:(...)Les longs métrages animés genre Bambi et Cinderella sont, à mes yeux, plus riches que Le roi lion ou Pokahontas.
Anuanua wrote:Je ne saurais pas non plus... J'ai déjà raffolé des pains au chocolat, mais on dirait que j'ai eu ce qu'il me fallait et maintenant je "trippe" plus sur les petits pains chauds, les pains multigrains...Chrysopale wrote:Pour les p'tits pains au chocolat, je sais pas dire, je suis pas allée à l'hôtel.![]()
C'est pareil en fait, je pense, tu les as vus étant jeune.Chrysopale wrote:Pas uniquement leo. Je suis encore relativement jeune, et aime à aller voir les nouveaux Disney, mais mes préférés restent sans conteste les plus anciens (La Belle et la Bête, le Livre de la Jungle...)
Je ne crois pas. Bien sûr, il y a l'enchantement de l'enfant et, je l'admets, certains se sont gravés dans une âme perméable.leo wrote:sans doute est ce parce que tu l'as vu avec un regard d'enfant à l'époque...
Walt, lui ne se posait pas toutes ces questions...Robert Copeland wrote:Pour arriver à faire quelque chose, un comité devrait être composé de trois personnes, dont deux sont absentes
Dans Bambi, le bonheur, on n'en parle pas : on le vit. On ne cherche pas le bonheur permanent et transcendant (qui, d'ailleurs, est une illusion) mais on VIT! On vit la surprise du printemps avec les fleurs (et avec "Flower"). On vit la misère de l'hiver où on a froid et on manque de nourriture. On vit un premier amour tout surpris, tout gêné... On vit le chagrin de la cruauté en automne (les chasseurs) et de la perte de l'être le plus aimé. On a le courage de se relever même quand tout semble fini ("Get up Bambi! You MUST get up!!!). Et on atteint la maturité d'une âme saine. Dans "Le loup des steppes", on parle sans arrêt du bonheur transcendant, on le cherche, on abandonne tout à sa recherche... et on s'enfonce toujours plus dans une pauvreté matérielle, une apathie émotive et une agonie spirituelle : dans Bambi on n'en parle jamais, mais on vit ici et maintenant. On ne perd pas sa vie à courir après un rêve philosophique : on vit quoi!Ceux qui l'ont en parlent peu ; ceux qui en parlent beaucoup ne l'ont pas.
C'est vrai. Je ne l'avais jamais vu sous cet angle mais je dois admettre que c'est tout à fait exact. Je crois que je vais le revoir et que j'aurais beaucoup à y apprendre...
Tout à fait! De fait, Bambi, que j'ai revu au moins 5 fois, a été pour moi un précieux enseignement.leo wrote:il y a des souvenir qui restent eternellement gravés