Condivido l'opinione du multi che in unage pagina del passato noi si resca a vedere meglio oltra la lettera, se per nostro conto e per urgenza di sollecitazioni dirette si è pervenuti non dico alle stesse conclusioni ma almeno a intravedere di una certa problematica termini simili o anche soltanto analoghi a quelli posti dall'autore antico
-Je partage l'opinion /de beaucoup de gens qui en une page/(multi je pense que c'est "molta gente" et "unage" n'existe pas, mais peut-etre simplement "una") du passé (il voulait peut-être "passage"? passato=passé, passage/extrait=passo/brano)
-noi si resca (soit fautes de frappes et c'est "on réussi" = si riesca (sans "noi", ou avec "noi" c'est "noi riusciamo") / voir même que ce n'est pas "noi" mais "non" et donc "on ne réussi pas")
-à mieux voir outre la lettre?
-si pour notre compte et dans l'urgence de sollicitations directes on est parvenus ?
-je ne dis pas (cela?) pour les mêmes conclusions, mais au moins d'entrevoir dans une certaine problématique, les termes similaires ou encore seulement analogues à ceux cités par l'ancien (précédent?) auteur.
L'inizio del libro VIII non sfigura accanto ad alcuni dei passi che sopra ha tradotti parafrasato
Le début du livre VIII ne fait pas piètre figure (d'après dico!) aux cotés de certains passages qui... (sont surparaphrasés dans la traduction? sopra=sur, au-dessus, super. souvent=spesso, le plus=il più)
In sostanza, anche queste capitoli contengono una dimostrazione del principo de economia del linguaggio ma contengono anche una implicita indicazione che il meccanismo di modificazione a fini sia lessicali sia grammaticali, movendo da quantitativi di lessemi e morfemi perfettamente controllabili dalla nostra mente (piniam, un migliaio circa di forme radicali, quattro specie primarie di modificazioni : verbo, sostantivo, forme nominali del verbo, avverbioà, genera poi un numero di forme derivate elevatismo et praticamente incalcolabile.
En somme, ces chapitres aussi montrent le principe de l'économie du langage, mais ils contiennent aussi une indication implicite du mécanisme de modification à fins soit lexicales soit grammaticales, en bougeant bip bip bip et morphèmes parfaitement contrôlables par notre esprit (piniam??, environ un millier de formes de radicaux, 4 sortes primaires de modification: verbe, nom, forme nominale du verbe , adverbe, générant ensuite un nombre de formes dérivées très élevé et pratiquement incalculable)
C'est surtout le passage souligné qui me pose problème, j'arrive pas à voir où sont les verbes et où sont les prépositions dans cette phrase.
-sia -> je ne sais pas si c'est un "verbe" ici, mais c'est comme en français: sia...sia...= soit... soit...
c'est le subjonctif présent du verbe essere: sia, sia sia, siamo, siate, siano (l'usage des pronoms personnels est souvent plus fréquent que dans le reste de la grammaire, vu que les 3 premières personnes sont similaires, parfois le contexte ne permet pas d'identifier le "je" du "tu": voglio che sia conteno... qui doit être content? on dira mettra donc plus facilement le pronom: voglio che tu sia contento)
Nella teoria che ci viene presentata da X la volutazione quantitativi, che si esercita naturalmente solo sull'aspetto formale del sistema, finisce nell'approssimazione e nel possibilisme. C'è da chiedersi perché mai ciò accada
Dans la théorie qui est présentée par X, l'évaluation quantitative (je te laisse voir pour la traduction! je pense qu'il s'agit de "valutazione"), qui est exercée naturellement seulement sur l'aspect formel du système, fini dans l'approximation et dans le "ce qui est possible". Il y a de quoi se poser des questions parce que ceci n'arrive jamais
En espérant que ça puisse t'aider vu que je n'y comprends toujours rien et que c'est assez loin d'un bon italien :s !