Bonjour Imène.
J'imagine que tu as plusieurs matières ou arguments à préparer. As-tu déjà essayé de commencer par celle que tu préfères ? D'après mon expérience personnelle, ça aide énormément.
Je te racontais plus haut que j'ai fait mes études universitaires un peu comme toi, à distance. Il y a des moments où l'on a vraiment envie de penser à autres choses. D'autres où l'on passe beaucoup de temps sur les polycopiés, pour ne rien capter : notre esprit est ailleurs. Souvent c'est dans les moments de fatigue ou suite à une pause (on perd vite l'habitude).
Dans ce cas, si j'avais dû recommencer par mon cours de paléographie (

, ce que je ne ferais à ces notaires qui écrivaient comme des pouilleux !

) je serais encore en train d'essayer de m'y remettre. J'attaquais plutôt les modules qui me passionnaient. Aidé par le plaisir, tout devenait plus facile. Une fois que j'avais redémarré, je pouvais me consacrer aux modules chiants. Quand on a récupéré son rhytme, on est prêt pour s'attaquer à toutes les matières.
Est-ce qu'il y a des thèmes dans ton programme que tu aimes particulièrement ? Parfois partager peut augmenter l'enthousiasme (et te donner l'impression d'être moins seule). Si tu veux échanger avec nous, à partir des arguments de ton programme, je suis partant.
Je me posais une question. Est-ce que l'organisation qui organise tes cours peut rendre disponible un annuaire des participants. Tu pourrais créer un blog (c'est plus simple qu'un forum et ça se crée très vite) et mettre au courant les autres participants. En vous servant de cet espace sur le net, vous pourriez échanger vos impressions, des conseils pour telle ou telle matière, bref, casser cet isolement qui, à mon avis, doit être lourd à la longue.
Tes examens commencent en mars, c'est peut-être un peu juste pour mettre en place tout ça. Dans tous les cas, on est là. Dans la mesure de ce qui est possible, nous pourrions être, en quelque sorte, ton campus virtuel.
En attendant de te revoir sur le forum, bon courage !
Ciao,
Michka

Wir brauchen keinen Appetit, wir haben den Hunger. (Bertolt Brecht)