Pas la même motivation que Flam' à qui je souhaite bonne chance, mais la même langue à corriger. Il s'agit du résumé d'un article scientifique que j'ai rédigé, la revue scientifique me demandant un résumé dans les deux langues (français et anglais). Bref, c'est pas du commercial, mais je sais pas si la politique du forum intègre ou non ce genre de demandes. Je comprendrais le cas échéant que vous ne souhaitiez pas y répondre.
Alors voilà la version française :
Et voilà la version anglaise : c'est une traduction automatique (je sais ce que vous allez dire et je devrais avoir honte. D'ailleurs, j'ai honte) que j'ai retravaillée légèrement en supprimant ce qui me semblait être des aberrations et en re-modifiant certaines choses.Le métro parisien tisse depuis 1970 ses prolongements vers la banlieue de manière quasiment continue. Alors que, depuis quarante ans, l’idée d’une densification préférentielle autour des infrastructures de transport s’invite de manière récurrente dans les schémas directeurs successifs, et alors que le principe en est une nouvelle fois adopté dans la version 2007 du SDRIF, il est permis de se demander si ces injonctions ont été suivies d’effets.
À partir de l’exploitation de la base de données du Mode d’Occupation du Sol (MOS, IAURIF), cet article interroge l’évolution de l’occupation du sol autour des vingt-huit stations construites depuis les années soixante-dix. À travers l’observation des gradients d’occupation de différents types d’usages (surfaces résidentielles, économiques et vacantes) et de leur évolution sur vingt ans (1982-2003), il montre à la fois la pérennité des structures bâties et les tendances, très faibles, à une intensification différentielle des usages aux alentours des stations de métro. Mais devant la relative faiblesse de ces évolutions et l’existence pourtant réelle d’un potentiel de renouvellement des usages, nous sommes conduit à poser la question de l’opposabilité aux tiers de l’infrastructure de transport urbain comme levier d’action en matière d’urbanisation.
Juste pour aider à la lecture : le SDRIF, c'est le Schéma Directeur de la Région Île-de-France, qui définit l'ensemble des orientations en matière d'aménagement du territoire à l'échelle d'une région, notamment urbanisation, logement, environnement, établissements d'enseignements, de soins, transports, etc. Et l'IAURIF, c'est l'Institut d'Aménagement et d'Urbanisme de la Région Île-de-France, où le SDRIF est élaboré. Ce sont eux qui m'ont fourni les données (d'où la mention "MOS, IAURIF").Since 1970, the Paris underground weaves its extensions to the suburbs so almost continuously. Whilst for the past forty years, the idea of a preferential densification around transport infrastructures has become as a recurrent theme in successive [Regional Master Plans ?], and whilst the principle was adopted again in the 2007 version of SDRIF, it looks reasonable to wonder if those orders were followed.
From the exploitation of the Mode Occupation of Sol (MOS, IAURIF) database, this article questions the evolution of the land-use around twenty-eight stations built since the seventies. Through the observation of gradients occupation of different types of uses (residential, economic and vacant areas) and their evolution over twenty years (1982-2003), it shows both the sustainability of built structures and trend to a very low differential to a land-use intensification around the subway stations. But the relative weakness of these developments, and the existence of a [pourtant ?] real potential for renewal purposes, we are led to ask of opposability to the (aux tiers : fiscal bodies ?) of the urban transport infrastructure as a [levier d’action ?] in urbanization.
Merci d'avance,
Miguel