je suis d'accord, le tout est de trouver le degré de deprime
pour moi "triste" n'est pas aussi fort que "avoir le cafard" = idees noires d'ou ma traduction deprimante
Est-ce qu'on ressent de la tristesse du fait des idées noires qui nous hantent à un moment donné, ou l'expression recouvre deux états d'esprit alternatifs, sans liaison mutuelle ?
ldngli wrote:Est-ce qu'on ressent de la tristesse du fait des idées noires qui nous hantent à un moment donné, ou l'expression recouvre deux états d'esprit alternatifs, sans liaison mutuelle ?
Je crois que c'est un peu comme le spleen, le cafard est un mélange de ces états d'esprit. Est-ce les idées noires qui nous rendent tristes ou notre tristesse nous fait sombrer plus facilement dans ces idées ? À mon avis les deux sont possibles, parfois c'est même un cercle vicieux qui s'enclenche.
Wir brauchen keinen Appetit, wir haben den Hunger. (Bertolt Brecht)
ldngli wrote:Mes précédentes reponses ne sont pas bonnes.
Euh, je les trouve bonnes. Je ne croi pas qu'il existe une et une seule possibilité d'exprimer le fait de ne pas être bien dans sa peu, d'avoir le moral à zéro...
Au passage, lors d'une conversation en italien, ma tante a dit "Aveva il morale an terra" (c'est retranscrit en prononciation dialectale)...
ldngli wrote:Mes précédentes reponses ne sont pas bonnes.
Euh, je les trouve bonnes. Je ne croi pas qu'il existe une et une seule possibilité d'exprimer le fait de ne pas être bien dans sa peau, d'avoir le moral à zéro...
Au passage, lors d'une conversation en italien, ma tante a dit "Aveva il morale an terra" (c'est retranscrit en prononciation dialectale)...
En italien on l'écrit sans 'n' : "aveva il morale a terra".
Je suis d'accord avec toi. Les proposition de ldngli me paraissent bonnes. "Traduire : transvaser un liquide d'un vase à col large dans un vase à col étroit. Il s'en perd toujours." (1) Parfois il faut s'y résigner même pour de petites phrases.
(1) Au passage, merci à Chatoune pour cette belle phrase de V. Hugo.
Wir brauchen keinen Appetit, wir haben den Hunger. (Bertolt Brecht)