J'ai mangé africain. Des chenilles en entrée. C'était original, pas mauvais finalement

Eh bien lis l'article de Wikipédia.Chrysopale wrote:![]()
Rien compris.
Ben comme Sisyphe, qui trouve toujours des points, ne serait-ce que pour l'effort de l'écriture peut-être aussi, sur conseil de l'inspecteur, qu'il a dit! La preuve:Andergassen wrote:. J'avais un prof d'allemand qui ne mettait jamais 0 à une prestation nulle. Il mettait un 2. Cela faisait plus mal d'ailleurs que le zéro absolu, vu que l'élève était privé de cette gloire.
Sisyphe wrote: ... l'inspecteur l'a bien dit : la nullité n'existe pas, il y a toujours une pensée derrière une réponse qu'il faut récompenser...
Ce qui est tout de même, à bien y réfléchir, d'une audace philosophique énorme, puisque cela consiste à contredire Parménide lui-même. Mais je n'en attends pas moins de l'institution à laquelle j'appartiens.Andergassen wrote:Oui, d'accord, pas de réponse, c'est aussi une réponse...
C'est toi qui l'as écrit ça, non?!!Sisyphe wrote: Parménide lui-même.
Ben Sisyphe, ce soir je veux bien t'accompagner dans ta déprime, je crois même que j'ai un peu d'avance sur toi... Tu m'offres un verre au club?Sisyphe wrote: Anaximandre faisait peut-être naître le cosmos d'une boule de flamme, mais moi, je suis pas loin du burn-out.
Et que fait-on de l'imaginaire ?La pensée suppose l’existence de son objet : on ne peut penser une chose sans penser cette chose comme existante. En conséquence le non-être n’est pas un objet de pensée, n’est rien pour nous et ne saurait être affirmé.
Platon te répondrait que ce qui est conçu par l'esprit relève davantage de l'être que ce qui est existe effectivement, puisqu'il est réduit à son concept, sans toutes les contingences : j'imagine le triangle dans sa définition, il sera plus parfait que ma grossière représentation sur le sable. Par conséquent, ce que tu imagines est plus que ce qui est. L'existant est de l'être par essence, mais le non-existant n'est pas pour autant du non-être.Chrysopale wrote:Et que fait-on de l'imaginaire ?La pensée suppose l’existence de son objet : on ne peut penser une chose sans penser cette chose comme existante. En conséquence le non-être n’est pas un objet de pensée, n’est rien pour nous et ne saurait être affirmé.
/Chryso qui pour une fois tente de comprendre et se doute qu'elle va le regretter...